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 La Revue de presse

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Attia.
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MessageSujet: La Revue de presse   La Revue de presse Icon_minitimeLun 21 Fév 2011 - 17:41

Citation :
PARIS (AAP) - C’est dans le pavillon « Bal-tard », en plein cœur du quartier des Halles et des Galeries LaFayotte que se tiendront prochainement les premières « Victoires de la Musique (sur nos tympans) », un concours de chant qui récompensera le meilleur troubadour du Royaume de France, et qui permettra de mettre en lumière les représentants de cet Art méconnu.

Il est bien rare - pour ne pas dire impossible - que l’un d’entre eux parvienne à faire fortune grâce à son talent, bien que certains bienfaiteurs, encore peu nombreuses, commencent à se lancer dans le mécénat pour apporter leur soutien à une poignée d’artistes privilégiés.

Pourtant, ces personnages souvent hauts en couleurs, aux instruments et à la prose parfois étranges, sont les dignes représentants d’un Art existant pour nous divertir et nous égayer, qui mériterait d’être reconnu à sa juste valeur.

C’est dans l’idée de dorer le blason de tous ces bardes anonymes peuplant le Royaume de France, que sont nées « Les Victoires de la Musique (sur nos tympans) », un grand concours qui récompensera le ménestrel le plus talentueux d’entre eux. Les participants auront là l’occasion de se faire connaitre et, avec un peu de chance, de se trouver un mécène parmi les amateurs de musique grandement attendus lors cet événement exceptionnel.

Le concours se déroulera le premier jour du mois de mars, dans le quartier des Halles et des Galeries LaFayotte, à Paris. Les candidats souhaitant mettre à l’épreuve leur talent sont invités dès aujourd’hui à se manifester auprès de l’organisatrice, Griotte de Blanc-Combaz [IG = Griotte], les inscriptions se clôturant la veille du concours. Les duos ou les groupes sont également les bienvenus. Les prestations des participants seront jugées par un jury composé de professionnels, mais également d’un représentant de chaque caste sociale, afin de gagner en impartialité.

La musique, le chant et la danse seront évalués par Mahaut de Nabinaud, membre du groupe « Les Poneys Roses ». Attia des Juli, couturière de « l’Atelier des Doigts d’Or », aura la charge d’apprécier la prestance et la tenue de scène des candidats. La noblesse dorée sera représentée par Aimbaud de Josselinière, à la parentèle tri-ducaillonne, tandis que Saltarius le Simple sera la voix du peuple. L’Eglise n’étant pas oubliée, le Père Lotx, fondateur de la chorale « Gégène et son orchestre », se fera une joie d'assister à ce concours en tant que cinquième membre du jury.

Troubadours, faites chauffer vos cordes vocales. Amateurs de musique, lavez bien vos oreilles et allez réserver vos places au pavillon « Bal-tard ». Le spectacle va bientôt commencer !

La Gribouille, pour l’AAP
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Attia.
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MessageSujet: Re: La Revue de presse   La Revue de presse Icon_minitimeMar 29 Mar 2011 - 18:28

Citation :
Paris (AAP) - Dans le milieu de la mode, outre le bruissement des précieuses étoffes, se font entendre des échos de plus en plus nombreux au sujet d'un évènement en préparation par le populaire atelier des Doigts d'Or.

Le 3 avril, celui-ci lancera en effet cinq jours de festivités dans les jardins du Louvre. Défilés, bien sûr, mais également conférences de presse et rencontres avec les créatrices ponctueront le déroulement de cette manifestation inédite. Tout le monde ne pourra toutefois pas profiter du buffet préparé, dit-on, par les cuisines royales : une invitation sera nécessaire pour se mêler au gratin parisien à cette occasion.

McY, pour l'AAP
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Attia.
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MessageSujet: Re: La Revue de presse   La Revue de presse Icon_minitimeJeu 22 Mar 2012 - 22:01

La Revue de presse 337955enttecopie

La Revue de presse 405784Editorialcopie

Citation :
Amies, Amis de la mode,

Nous nous lançons dans une grande nouveauté un journal destiné à la mode.
Les Aiguilles Déchainées premier canard sur la mode dirigé par la Guilde des Fines Aiguilles soit la GFA.

Pour ce premier numéro plusieurs sujets seront abordés. Comment en sommes nous arrivé là ?
Après la révolte des aiguilles et la création de la GFA nous ferons un point sur la mode sous deux reines ainsi qu'un article sur les tendances prochaines.

Vous trouverez aussi un espace réclame, si vous le souhaitez vous pourrez profiter de cet espace pour un prix attractif.

Rose Bertin pour les Aiguilles Déchaînées


La Revue de presse 929442Larvoltedesaiguilles

Citation :
Revenons sur le contexte, le sacre de la Reyne Nebisa de Malemort approche, les fournisseurs royaux sont sollicités pour réaliser des tenues pour la famille royale. Tout le monde est sur le pied de guerre quelque soit l'atelier et pourtant ...

Pourtant, Attia des Juli verra son travail refusé, en effet, le Roy consort n'acceptera pas de porter la tenue commandée par la Garde Robe Royale à l'Atelier des Doigts d'Or. De fil en aiguille d'autres ateliers se rebelles, des commandes sont refusées d'être livrées, des démissions sont données, ... La révolte des aiguilles est alors en route.

Pour mieux expliquer tout cela nous avons rencontrés un panel de personnalités du milieu de la mode, elles nous expliqueront tout, leurs craintes, leurs sentiments vis à vis de l'affaire et ce qu'elles pensent de l'avenir pour leur atelier et pour la mode en général.

Rose Bertin (RB) :
Qu'est ce qu'un fournisseur royal ? Depuis quand l'êtes vous ? Qu'est ce que cela vous apporte ?

Alatariel du Bois Doré (ABD) : Je suis fournisseuse royale depuis septembre 1455, c'est à dire que j'habille les souverains de France et leur famille. Cela m'a apporté l'exigence de la perfection dans les moindres détails et surtout de penser le vêtement autrement que comme un élément à la mode. Lorsqu'on est roi de France, le vêtement est une barrière entre votre intimité et le monde extérieur, il montre ce que vous voulez qu'on voit de vous. Un vêtement riche et luxueux donnera l'air dépensière, mais vous donnera une certaine présence. Une tenue austère montrera votre rigueur, mais la sévérité n'est rarement sympathique au yeux des courtisans.

Attia des Julis (ADJ) : Un fournisseur royal réalise des tenues commandées par l’office de la Garde robe royale pour la maison royale, cela peut aller des personnes mêmes des souverains et leurs familles aux officiers royaux. Je ne me rappelle plus pour tout vous dire, il faut dire que je ne l’ai pas officiellement consigné, cela doit dater de l’abdication du roi Levan je crois.
Eh bien cela m’a sans doute ouvert des portes. J’habillais déjà celle qui deviendrait la reine Beatritz et je me rappelais avoir été très heureuse que mon travail ait été remarqué par le grand maitre de la garde robe de l’époque Alatariel du Bois Doré. J’en ai ressenti une grande fierté et la réputation de l’atelier s’en est ressentie, nous avons commencé a attirer plus de monde.

Idril de la Fiole Ebréchée de Sparte (IFES) :
Tout est dans le nom, "Fournisseur Royal" c'est la reconnaissance de notre art.
Peritum Perfection n'est pas Fournisseur Royal, l'atelier est bien trop récent pour cela.

Elisael d'Andéol (EA):
Le statut de fournisseur royal est une reconnaissance d'excellence. A mon sens, il accorde l'honneur de vêtir la famille royale en toute circonstance, et rejaillit sur tout un atelier, permettant de mettre en valeur les travaux de ses membres.
Malheureusement, ce n'est plus un honneur actuellement de travailler pour la famille royale...

Aemilia (A) : Moi on m'a dit que c'était quand on cousait pour le roy ou la reyne, mais faut qu'ils soient gentils et qu'ils le méritent. Parait que c'est quand on est très forts et qu'on fait des belles tenues qu'on peut l'être, mais faut être grand, alors moi suis encore petite, alors ptêtre plus tard quand je serai une grande et si la reyne est plus gentille, sauf si suis trop fatiguée et que c'est l'heure de dodo.

Mise à part Maîtresse Alatariel du Bois Doré qui restera fournisseur royal "jusqu'à sa mort" selon ses mots, aucun autre atelier n'a l'envie ou le besoin de cette "reconnaissance". Les ateliers tels que DECO ou le Manoir des Artistes ont une réputation déjà bien en place grâce à de nombreuses couturières aguerries. Les Doigts d'Or habillent actuellement là Cour Impériale, ont habillé la Cour de Castille et Leon lors du règne d'Elena Ruth et n'ont plus rien à prouver. DTC n'a point l'envie de travailler pour la couronne tout comme PP.

RB : Quels sont les évènements qui vous ont poussé à mener cette action ?

Ayena d'Alquines (AA) :
Je pense que chacun, du pauvre hère au plus noble a le doit à de la reconnaissance pour le travail qu'il fournit. La valeur se mérite... Et doit savoir être appréciée par l'entourage, qu'importe la taille de la pierre amenée à l'édifice. En envoyant paitre les couturière et les Officiers de la Garde Robe, la famille Royale ne pouvait que se mettre à dos les âmes travailleuses et dévouées, qui, se sentant bafouées, n'ont plus eut envie que de se faire entendre.

ADJ : Le refus de la manière la plus grossière que possible de la tenue que j’avais mis du temps et du cœur a confectionner pour son altesse royales Cerberos a l’occasion du sacre. Une tenue qui je le sais aurait trouvé sa place dans n’importe quelle garde robe royale plus respectueuse. Il me vient l’idée de la proposer a son excellence Keridil d’Amahir peut être saura il en faire don a un souverain plus enclin a l’apprécier.

IFES : Tout jeune atelier rêve d'atteindre un jour ne serait-ce que la moitié de la réputation des plus grands ateliers du Royaume de France, que plusieurs de ces ateliers se voient refuser une tenue on ne peut que s'en indigner et réagir.
En tant que jeune atelier, Peritum Perfection a encore ses preuves à faire, et en apprenant que des tenues sortant des plus grands ateliers de couture du Royaume de France avaient été refusées cela fiche un sacré coup au moral.

EA : Le Maître de la Garde-Robe, Damoiselle Ayena d'Alquines, était venu me trouver pour confectionner les tenues des Huissiers Royaux ainsi que vêtir les gens de la Chambre Royale. Voyant la réaction du Roy quant à la tenue que Maistre Attia des Juli proposait, et la démission en cascade du fournisseur royal et du Maître de la Garde-Robe, j'ai été solidaire et gardé tous mes patrons. Vu la qualité de la tenue proposée, il était inutile de travailler pour quelqu'un qui ne savait apparemment pas apprécier une œuvre d'art à sa juste valeur, et sûrement encore moins un travail de moindre facture.

A : Bah moi j'étais pô encore là, mais on m'a expliqué, pis je trouve ça pô gentil. Pas'que j'ai vu le croquis de la tenue culotte, elle est trop belle d'abord. Pis j'aime pô les intusjices alors je dis que c'nul.

RB : Pourquoi soutenir le mouvement de révolte ?

ADJ : Je ne le soutiens pas, je SUIS ce mouvement. Une part de l’affront m’a été infligé et je souhaite faire passer le message clair que tout souverains qu’ils soient, les régnants de France n’ont pas à bafouer le travail des artisans les plus émérites du royaume. Une telle chose ne se serait jamais produite sous le règne de la défunte reine Beatritz que la terre lui soit légère.

EA : Par solidarité. Il est inadmissible de traiter un artiste de la sorte, par caprice, sans aucune considération pour le travail fourni durant de longues journées afin de livrer une tenue conforme aux attentes.

A : Tata Kalo l'est pô beaucoup là alors faut que je fasse pour elle, pas'que suis pô contente moi non plus! La couture c'trop bien alors faut la défendre!

Linien de DTC : Chaque atelier de France, malgré ses différences, oeuvre pour la même chose : la mode. A ce titre, refuser une tenue créée par Attia des Juli, un mentor pour beaucoup de couturières, est un sacrilège. Et la façon dont cela a été fait nous a révoltés, et fait comprendre que les ateliers devaient s'unir pour éviter que des béotiens piétine allègrement notre art.

ABD : Son Altesse, aurait put dire "cette tenue n'est point à mon goût malgré sa qualité" lorsqu'il a renvoyé la tenue de ma consœur Attia, mais il a préféré être désagréable, hautain et insultant.
La couture à notre niveau est un art et cet art à un coût : le respect et la politesse. Que ceux qui ne sont pas capable de ces simples choses ne viennent pas s'habiller chez nous.

RB : Dernière question pour les maîtres artisans. Comment qualifieriez-vous l'attitude de la Reine ? Du Roy ?

AA : D'irrespectueuse. A mon humble avis, la Reine et le Roy ont d'autres choses à faire que de se mêler de tissu. C'est d'ailleurs pourquoi, à mon sens, nous avons des personnes allouées à la Garde Robe Royale. Remettre en cause le travail de ces personnes, c'est remettre en cause le choix du Grand Chambellan qui a nommé les Officiers Royaux, et donc remettre en cause bien des choses, en plus du travail des couturières elle même.
Il est des temps où il faut savoir être humble. Feue Béatrice Ière, elle, savait faire passer ses désirs en matière de vestures, mais laissait libre cours aux Officiers à cette charge. Après tout, n'est-ce pas ainsi que cela devrait fonctionner ?

ABD : La déplorable réaction de Son Altesse prouve une chose : il faut plus qu'une couronne pour être roi. J'ai trouvé sa réaction d'autant plus inadmissible que Sa Majesté à toujours eu une grande admiration pour l'art de la couture.
Quant à Sa Majesté, si je puis dire une chose, c'est que cette réaction lui ressemblait fort peu. Son mauvais caractère n'est plus à prouvé, mais elle a toujours su rendre justice à un travail de qualité. Je crois que la royauté l'a fortement ébranlée.

ADJ : Je n’ai jamais eu de contact avec la reine, mais des échos peu flatteurs me sont parvenus, je ne commenterai point. Pour ce qui est du Roy, son altesse royale n’a pas su tenir son rang et s’est lui-même pris a m’écrire dépassant les prérogatives de l’office en charge de telles questions. Il est dommage que nous soyons commandés par un homme privé de sens esthétique, de gout, de courtoisie, de respect donc d’éducation car il aurait su alors tenir son rang et sa qualité en s’en remettant à ceux dont c’est le rôle.

IFES : Un manque flagrant de goût et aucun tact.
Être Souverain ne veut pas dire traiter les autres comme des moins que rien, surtout quand ceux-ci ont déjà fait, par maintes fois, leurs preuves.

EA :
Elle est inqualifiable.

A : C'nul. Pas'que ils sont méchants pour rien. Ari y doit pô être content d'eux là-haut. Pas'que Ari c'est un gentil lui.

Maintenant nous nous tournons vers Alatariel du Bois Doré qui a fait la robe de Sa Majesté pour son sacre et Ayena d'Alquines qui a démissionné suite à ces événements.

RB : Qu'est ce que le travail de Maitre de la Garde Robe ?

AA : Il s'agit d'habiller la famille Royale, les Officiers Royaux, etc. Pour cela, les membres de la famille Royale proposent des modèles, émettent des choix, que le Maitre doit faire réaliser. Il peut aussi, et c'est la majorité de son ouvrage, proposer les tenues adéquat aux occasions : pour cela, il doit faire preuve d'initiative et de bon gout.
Il est aussi chargé de rassembler sous la coupe Royale les meilleurs artisans du Royaume pour toujours répondre au mieux aux commandes qu'il émet pour la Royauté.

RB : Quelle est votre expérience dans ce domaine ?

AA : Quelle "était", vous voulez dire. J'avais remplacé Icie de Plantagenet, alors Régente de France, pendant un long moment et avant même qu'elle est ce post, j'ai assuré l'intérim dans l'attente du recrutement. Enfin, je travaillais à la Maison Royale depuis de nombreux mois : j'ai habillée la Reyne Béatrice, j'ai côtoyé tous ses officiers... Rien ne m'était obscure, dans la tâche : j'avais été sous l'aile d'Alatariel de Bois Doré Penthièvre, elle même Couturière des Rois et Grand Maitre de la Garde Robe depuis de longues longues années. C'est d'ailleurs elle qui avait appuyé ma candidature.

RB : Pourquoi avoir démissionné ?

AA :
Parce que le Maitre de la Garde Robe, c'est un Officier Royal qui fait le lien entre les couturiers et les Rois. Sans couturiers, il n'a plus rien à faire, et Attia venait de démissionné par la suite d'un refus du Roy. Et de l'autre côté, mes relations avec la famille Royale n'était franchement pas des plus... agréables.
C'est un geste de soutient envers la situation des couturières, de leur talent non reconnu. Mais c'est aussi une réaction de couturière, car j'exerce moi aussi. Enfin, je crois que cela se voulait un pied de nez à la personne même de la Malemort, qui, ayant la maladie des chevilles qui enflent, n'aurait de toutes façon pas pu porter longtemps les tenues que j'aurais commandé pour elle.

RB : Pourquoi avoir fait la robe de sacre malgré tout ?

ABD : Cela s'appelle la fidélité en amitié. Sa Majesté s'est excusé auprès de moi de sa rudesse... et a réaffirmé l'admiration et le respect qu'elle a pour le travail de mes consœurs. Une amie doit savoir pardonner.
Et puis, je n'aurais pas pu laisser Sa Majesté être couronné dans une robe que je n'aurai pas faite. Malgré le sang qu'elle fait aujourd'hui versée, elle est Ma Reine. Son couronnement est l'aboutissement d'une chose qui à commencé il y a des années, au service de la France.

Et la suite ?
Que s'est il passé après la révolte ?

Une chose que l'on aurait jamais imaginé. Un regroupement. Une association. La Guilde des Fines Aiguilles est née !
Les principaux atelier français se sont regroupés au sein d'un hôtel sis rue des Agréministes pour discuter de mode, organiser des manifestations, traquer le vol et le plagiat, bref faire en sorte que la mode vive plus fort.

Vous pourrez donc y retrouver :


Rose Bertin pour les Aiguilles Déchainées


La Revue de presse 410475tendances

Citation :
La semaine de la mode d’Automne hiver a assurément laissé dans l'esprit des friands et friandes de la mode un heureux souvenir tant dans la diversité qui a pu y être observée, au niveau des modèles exposés, des ateliers représentés, ce qui représente une grande première, et des styles ainsi promus.

Nous avons donc pu voir dans un ballet de talents incommensurables, présenter main dans la main les talentueuses couturières du royaume envoyant en ces temps troublés de guerre un message d’union, de paix et d’unité aux peuples, de France , de Bretagne , de SRING ...

Au niveau des tendances, ce fut un kaléidoscope de propositions pour se parer l’hiver. Certains modèle rendent a l’automne un hommage coloré et vif tels que les modèles présentés par l’atelier DTC, en particulier Estrella et le jeune Linien, mâle parmi les femmes du monde de la mode.

L’hiver quant à lui se drape de bleu, couleur opaline et sereine se mariant avec le manteau blanc dont se pare le monde. La fourrure quant à elle reste nécessaire même si l’on se drapera avec plaisir dans des capes chaudes ou des robes au tissu abondant.
La mode sera cet hiver aux Fourrure claires, Lettice et menu vair tiendrons les nobles dames au chaud. Et si la Bretagne reste représentée au travers de créatrices ou mannequins, l’hermine est cet hiver bannie et à bannir des gardes robes. De la a y voir une manifestation politique ? Je ne m’avancerai pas.

Les modèles quant à eux sont variés. L’on pourra s’habiller de manière classique, surcotes, robe a tassel,Cotes simles… mais également de manière plus originale avec des coupes innovantes empruntées à nos voisins Hollandais, anglois , germaniques... ou tout simplement issues de l’imagination et de la fibre créative des talentueuses couturières du royaume.

L’on notera cette saison l’apparition de talents qui j’en suis sure feront bonne route.
Nous ne mentionnerons pas l’excellente Clarinha au titre des révélations car elle fut révélée lors de la première édition de la Semaine de la mode par l’Atelier des doigts d’or. Cependant, nous noterons avec plaisir qu’elle se démarque de ses consœurs en proposant cette fois au delà de parures hivernales des tenues a l’adresse des futures mères du Royaume, via le modèle qui j’en suis sure fera longue vie dit « Arnolfini » entre autres dont le modèle masculin a été réalisé par Elisel de chez DECO.

Cette édition disai je porte a la connaissance du public de nouvelles recrues du monde de la mode telles que Irma, Elizabelle Selena, et Morgannen de l’atelier des Doigts d’or, Keyan de chez DECO, Idril de Sparte de chez Peritum Perfection , Heloise de DTC et Suzan du Manoir des Artistes.
Le monde de la mode a donc de belles heures devant lui.

La patte jeune se distingue par des modèles fins et délicats. Des couleurs ? Bleu et rouge s’accordent sur des robes qui parfois pourront servir au printemps et lors de soirées d’été fraiches.

Certaines osent la couleur, nous retiendrons particulièrement à cet égard, la demoiselle d’Alquines pour l’atelier DECO et ses modèles chamarrés, Breiz Edwinson des Doigts d’Or qui ose le jaune et la dame Dumas, Jenah qui épouse des couleurs automnales et apaisantes.

Vous l’aurez compris, cet hiver, si vous mettez beaucoup de Bleu et du rouge, vous pourrez également avoir le loisir du vert, du mauve, du rose, du jaune, du Noir.

En parlant du noir, nous noterons la prestation remarquée et remarquable de la jeune demoiselle de Molières qui en plus de la tenue fort originale qu’elle arborait a démontré des talents de tragi comédienne dans sa magnifique interprétation de la prière a Saint Louis.

Enfin n’oublions pas les hommes, moins représentés que les femmes, il est indéniable qu’ils pourront sans peine s’accorder a la tenue de leur chère et tendre, car ou messieurs, la mode est aux couples !

Pour finir nous noterons la participation exceptionnelle et non a titre posthume comme beaucoup ont pu le croire, de la Barone du Bois Doré que beaucoup croyaient à tort disparue. Je dirai pour ma part que disparue ou pas, son talent lui survivra assurément. Elle reste une référence de poids dans ce monde de plus en plus représenté.

Nous noterons l’absence des podiums, de modèles griffés ADJ, que je justifierai par le présent billet que je n’aurai pu assurément rédiger en toute impartialité si je n’avais pas été qu’une spectatrice.

J’invite à présent la Guilde des fines aiguilles a poursuivre ses élans créatifs. Main dans la main les ateliers de ce royaume sont capables de présenter des merveilles.
A quand la semaine de la mode Printemps- été ?


ADJ - Chroniqueuse pour "Les Aiguilles Déchaînées"


La Revue de presse 986739Lamodesousdeuxreynes

Citation :
Comparatif de la GR sous S. M. Nebisa et sous S. M. Beatrice

Le passage du règne de la très regrettée Beatritz I à celui de la désormais trépassée Nebisa De Malemort aura apporté dans le royaume son lot de changements.

Dans le monde de la mode, les deux règnes se différencient également par des changements notoires.
L’on n’évoque plus le terrible scandale qui a marqué la rupture entre les plus grands ateliers et couturiers du royaumes et la couronne de France. Et si l’événement est passé inaperçu dans les heurts et la guerre qui ont ombragé le règne de la Malemort, sa garde robe elle, partie intégrante de sa personne et de la manière dont elle représente le royaume de France s’en est sentie.
Nous noterons donc l’absence de la garde robe de S. M. Nebisa de Malemort des modèles signés des plus grandes créatrices, nommons par la Attia des Juli, Kalopsite de Rhodes, Clarinha Brites Da Cunha sous couvert de la regrettée Jehanne C. B. et des robes issues des ateliers DECO, DO, Manoir des artistes.

Seule demeure fidèle par amitié a la Malemort, La baronne Alatariel du bois Doré qui signera les robes de sacre et de bal de couronnement. Les autres robes de la garde robe Malemortelle sont quand à elle signées de la très controversée Valeryane llobregat de la duranxie très certainement encensée par ses liens familiaux étroits avec la famille royale et qui semble avoir été plus inspirée du temps du règne de Béatritz lorsqu’elle était encore encadrée au sein du très prestigieux Manoir des Artistes par Maitre Kalopsite de Rhodes. Nous ne mentionnerons pas la manière fort peu élégante que cette dernière a eu de quitter l’atelier qui aura fait émerger son talent.

L’émancipation cependant, si les avantages en sont une exposition publique poussée ne réussit donc pas tant à la jeune couturière, et c’est sans parler des apprentis inconnus a qui l’on doit les très fades robes de chasse et de promenade de la reine Nébisa.

Aux modèles élégants, audacieux et d’inspiration cosmopolite de la reine Beatritz, succèdent de tristes robes devant lesquelles duchesses et comtesses s’habillant chez DECO, les DO ou le manoir des artistes n’auraient certainement pas à pâlir.
Aux couleurs chatoyantes et tissus luxueux, succèdent d' éternelles et moroses teintes rougeatres d'inspiration très angloise, qui collent a la peau de la reine comme le sang versé dans les tranchées de la guerre qui ravage le royaume.

Si le règne précédent celui de S.M. Nébisa avait vu s'imposer au dela des couturiers, les ateliers, qui affichaient avec fierté le prestige de servir la couronne, aujourd'hui, nous ignorons tout de ou des ateliers fournissant aujourd'hui la garde robe Royale, les plus connus ayant tourné le dos a une couronne insolente.

Lorsque Beatritz était une gardienne protectrice de l’art et en était la représentation, portant au vu et au su du monde le travail de couturiers parfois d’origine modeste sans distinction de rang ou d’appartenance et dans le respect de ce travail minutieux et passionnant, la reine Nébisa a elle laissé sa famille mépriser et piétiner les artisans de France qui avaient tant donné a la couronne. Et si l’on peut comprendre qu’elle avait d’autres préoccupations que les fanfreluches et autres froufrous, l’on ne pardonne pas au grand Maitre de la garde Robe, Icie de Plantagenet qui elle-même prétendait au trône, d’avoir ignoré sans tenter de conciliation aucune, ceux qui avaient fait la mode sous le règne de la très regrettée reine Béatritz.

Saint Louis bénisse le royaume de France et accorde à la France un souverain ou une souveraine qui auront à cœur de porter haut les couleurs et les artisans du Royaume de France.

ADJ - Chroniqueuse pour "Les Aiguilles Déchaînées"


La Revue de presse 191736Fin

Citation :
Et maintenant ? Que va-t-il se passer pour la mode ?
Nous savons que sera élu un Roy.
Que deviendra l'office de la Garde Robe ?
Aurons nous une reine consort plus à l'écoute ?

Le refus du Roy Cerberos est encore frais dans les mémoires des couturiers. Il faudra sans doute beaucoup de patience au nouveau roy ou à sa famille pour reconquérir les meilleurs couturières du royaume. Beaucoup de choses restent donc en suspens le temps des élections royales.

Pour le mot de la fin, les paroles d'une enfant. Ne dit on pas qu'ils disent la vérité ?

Aemilia : C'était plus mieux avant! Par'que avant, bah on traitait pas les belles tenues de langes pour nourrisson... Mais qui est bien, c'est que maintenant, bah même si tout le monde y travaille beaucoup, bah on essaie d'être une grande famille! Ca c'est bien une famille. Pa'que c'est mieux qu'une reyne d'abord. Pis pour après, bah pour le manoir, mais faudra demander aux grandes, mais crois qu'ell' ont dit oui si y a un monsieur ou une madame gentille, on refera des vêtements. Mais que s'y respectent quoi qu'on fait nous.

Rose Bertin pour les Aiguilles Déchainées.
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MessageSujet: Re: La Revue de presse   La Revue de presse Icon_minitimeMer 27 Fév 2013 - 22:12

Citation :
DIJON (AAP) - La guerre civile n'est pas le seul désastre s'étant abattu sur la Bourgogne depuis le début de l'année. Même si l'affrontement entre les troupes royalistes et les armées saintes a occupé les esprits, il n'a aucun rapport avec le terrible accident ayant endeuillé le monde de la mode.

Dans la nuit du 17 janvier, un incendie s'est déclaré dans un des hauts lieux de la création française, le célèbre atelier des Doigts d'Or. Les responsabilités sont encore mal tranchées. En effet, le feu a pris après la fin de la journée de travail, dans une partie du bâtiment où personne n'aurait dû se trouver à cette heure. La piste la plus plausible semble être celle d'un ou d'une employée ayant essayé de rattraper une commande en retard. Un faux mouvement, un moment d'inattention, il n'en aura pas fallu davantage pour que les réserves de tissus s'enflamment.

L'incendie a causé d'importants dégâts matériels et de nombreux blessés et invalides, mais aucune perte humaine. En apercevant la fumée au matin, de nombreux volontaires ont afflué vers la seigneurie de Saint Germain des Champs pour proposer leur aide, fouiller les décombres, sauver ce qui pouvait l'être et soigner les victimes.

Il aura fallu près de trois semaines de travaux pour que l'atelier rouvre ses portes. Les locaux, remis à neuf, accueillent à nouveau les clients, et les créateurs travaillent d'arrache-pied pour rattraper le temps perdu. Toutefois dans les coulisses, des leçons ont été tirées de ce triste épisode : plus aucune flamme nue ne subsiste à l'intérieur des locaux. Quant au personnel, il ronchonne sous cape contre les précautions drastiques régissant l'accès à la nouvelle réserve en pierre de taille. Prudence est mère de sûreté.

Nicolas de Firenze, pour l'AAP
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Elisabeth
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Elisabeth


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MessageSujet: Re: La Revue de presse   La Revue de presse Icon_minitimeVen 30 Jan 2015 - 0:35

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