[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ?

Invité

Et gnagnagna, que le khôl sous les yeux ça faisait peur, qu'il ne pouvait pas se promener partout avec son corbeau, qu'il effrayait les enfants... foutus gosses. A quoi bon vivre si on ne pouvait pas jouer les beaux ténébreux, en vérité ? L'Italien se posait la question. Il était donc grognon au moment de se rendre dans l'atelier tant vanté des Doigts d'Or.

La première réflexion qu'il se fit, c'est que c'était mieux organisé que l'AAP. Les gens arrivaient tous au même endroit et entraient directement dans le vif du sujet... qu'à cela ne tienne.

Créatrices et créateurs, le bonjour. Figurez-vous que d'aucunes ont eu l'audace de réclamer un changement de look, comme diraient les Anglois... et comme le Florentin moyen se plie volontiers aux diktats féminins dès lors qu'ils concernent la mode, me voilà.

En premier lieu, j'aimerais me diriger vers ce genre de chose. Je ne crois pas qu'un bandeau sur l'oeil droit jurerait beaucoup, ne pensez-vous pas ?

En second lieu, il faudrait que je fasse refaire à l'avenant mes cartes de visite. Je voudrais quelque chose d'exactement dans les mêmes tons que le portrait que je viens de vous montrer, il faudra donc passer quelques couches de peinture sur le tout pour harmoniser, s'il vous plait. J'aimerais qu'à gauche, empilés et mis aux mêmes dimensions, figurent mes armes familiales ainsi que les symboles de l'AAP et du Dragon.

A droite, une représentation de mon bien-aimé corbeau Malphas, ici perché sur mon bras.

Et au centre, mon nom francisé, à savoir Nicolas de Firenze, d'une écriture déliée, surmontant ma devise familiale, "Astuzia, forza e conoscenza".

Enfin, serait-il possible de mettre aux mêmes tons ma carte de visite de l'AAP ?

Concis et poli, comme il aimerait que tous les visiteurs de l'AAP le soient. Et en prime, il s'autorisa un sourire. Ah, des visiteurs avec le sourire... ce qu'il donnerait pour ça !

Elle est blonde, jeune, belle, bon il y a la "chose" mais elle s'en débarrassera dans six mois. La blonde n'avait pas à se plaindre de sa vie, elle travaillait, était mariée, avait un amant plus que performant. Lui manquait il quelque chose ? Elle ne le pensait pas à ce moment sauf que ... Oui sauf qu'elle le voit, il est là, pourquoi ? Avec tous les ateliers qui existait pourquoi venir ici. Sa blessure s'était réouverte, elle repensa à la catin et faillit tourner les talons. Seulement comment justifier auprès des autres pourquoi elle n'accueillait pas un client, qui plus est qu'elle connait. Cela aurait été louche et elle aurait du tout raconter, l'humiliation à l'Hôtel Volpone et celle à la Rose Noire.

Nicolas ...

Sa gorge se serra, son cœur battait la chamade, elle ne savait pas comment il réagirait, ni comment elle le ferait. Dieu qu'il lui manquait, plus qu'elle n'aurait imaginé. Difficile pour la blonde après ce qui s'était passé entre eux. Oui difficile de faire comme si de rien n'était. Seulement il fallait y aller.
Doucement la blonde approcha de l'homme qui ne l'avait pas vu. C'est d'une voix étrangement douce qu'elle l'apostropha.

Je vais noter votre commande et vos exigences, et prévenir les artistes.
Je me permet de vous faire patienter ici, en ma compagnie si vous le désirez.

Invité

Alors ça, c'était un détail qu'il ignorait. Et un détail de taille, si l'on pouvait dire. A se demander même s'il était possible de continuer à l'appeler un détail ! Enfin faute de meilleur mot, on s'en contenterait. Le détail, aussi blond et séduisant que d'habitude, venait de l'apostropher. Et comme une habituée des lieux, en plus. Serait-il venu ici s'il l'avait su ? Peut-être pas, mais peut-être que si. Seulement, plus moyen de reculer à présent. Son seul réconfort était qu'elle semblait aussi gênée que lui.

Je vous remercie, oui...

On avait sans nul doute déjà vu réponse plus élaborée. La situation constituait cependant une sacrée circonstance atténuante ! Au moins Elisabeth ne semblait-elle pas décidée à lui faire le même genre de coup qu'à la Rose Noire. Il l'avait soigneusement évitée depuis, et plutôt que d'attiser sa colère, cela l'avait visiblement calmée. Wait and see, comme disaient les habitants de la perfide Albion.

Ouffff aurait pu sortir de la bouche de la blonde, seulement elle ne voulait pas montrer ce qu'elle ressentait. La colère était passée et avait laissé place à une blessure assez profonde, une blessure qui ne se refermera peut être jamais. Elle pense à lui alors qu'elle va enregistrer la commande pour les filles. Elle pense à lui alors qu'elle va faire préparer un plateau avec de quoi se restaurer. Elle explique à Axel ce qu'il doit faire. Reprendre son souffle avant de retourner auprès de lui, reprendre ses esprits, et essayer de tout arranger. Elle approcha de l'homme, lui prit le bras de manière tout à fait honorable.

Allons dans un salon privé en attendant, je pense que nous devons parler.

Sur un ton plus bas.

Et non je nous vous frapperez pas.

Elle tente un sourire.

Invité

Il attendit patiemment qu'elle vaque à ce qu'il supposait être ses occupations habituelles dans ce genre de cas, puis la regarda revenir, le sourcil haussé. L'air de rien, elle lui prit le bras pour l'emmener... dans un salon privé ? Il espérait ne pas avoir besoin de remettre les choses au point. Et la tentative de la jeune blonde de détendre l’atmosphère tomba malheureusement à l'eau. Nicolas répondit le plus sérieusement du monde, sur un ton tout juste poli :

Je l'espère pour vous. Je ne plaisantais pas, à la Rose Noire.

Autant être clair dès le début.

Ils entrèrent dans un des salons privés de l'atelier. Elle lui proposa un fauteuil et prit le second. Axel entra avec le plateau le déposa et repartit sans un mot. Il avait comprit qu'elle n'avait plus besoin de lui, qu'elle voulait rester seul avec lui. Le passé refit surface, les moments passés ensembles jusqu'à ce terrible mois d'octobre.

Nicolas ... je ...

Elle ne savait pas comment lui parler, elle ne savait pas comment retrouver son ami.

Vous m'avez blessée ... je suis désolé pour la gifle ...

Que dire de plus ?

Invité

Eh bien au moins, on savait recevoir, aux Doigts d'Or. Un peu de vin n'était pas du luxe dans la présente situation, aussi le borgne, s'il bouda la nourriture, s'empara d'un verre et en but quelques gorgées. Le moins qu'on puisse dire, c'est que Lasteyrie-Stilton ne choisit pas le meilleur angle d'attaque.

Blessée ? Je vous ai blessée ? Vous avez failli me faire passer la ligne rouge alors que j'étais marié et que je vous avais demandé à plusieurs reprises d'arrêter... et une fois ma femme morte, alors que je cherchais un peu de réconfort dans les bras d'une catin, vous avez osé m'humilier en public... et c'est moi qui vous ai blessée ?

Un petit rire -jaune- lui échappa, et il s'extirpa du fauteuil dans lequel il s'était laissé tomber, pour faire les cent pas dans le petit salon.

Non la colère ne la gagnera pas ... elle apprit une chose avec lui il ne fallait pas faire ainsi. Il était surement plus orgueilleux qu'elle et elle avait trop besoin de le retrouver. Il fallait mettre les choses au point, terminer cette histoire une bonne fois pour toute quitte à le perdre. Elle respira un grand coup, se servit un verre. Oui boire pour se donner du courage et ne pas monter sur ses grands chevaux. Décidément cet homme lui aura tout fait.

Pour l'épisode au dragon je plaide coupable, les seules circonstances atténuantes que je peux invoquer sont que je savais que je vous plaisais et pas qu'un peu. Je n'aurai pas du agir ainsi, je n'étais pas moi même dans un état normal.

Nouvelle gorgée, nécessaire pour la suite.

Pour la Rose, oui j'ai été blessée, je ne savais pas que votre femme était morte, comprenez moi, ce que vous m'avez refusez vous l'avez offert à une catin.
Combien de fois ai je été là pour vous ? Combien de fois vous ai je soutenu ?
Quand je vous ai vu à la Rose ... j'ai vu un homme qui pour moi était encore marié, ravie et satisfait dans les bras d'une gourgandine, il payait pour ce qu'il m'avait refusé. Oui j'ai été blessée.

Invité

"Pas dans un état normal"... il fallait reconnaître à la jeune avocate qu'elle maniait l'art de l'euphémisme avec talent. La blonde incendiaire qu'il avait eue en face de lui durant d'éprouvantes minutes n'avait effectivement pas grand chose à voir avec la Elisabeth habituelle, et heureusement, sinon il ne pourrait plus circuler tranquillement à l'hôtel Volpone.

Mais c'était bien Elisabeth qu'il avait en face de lui à présent, une Elisabeth calme et posée, à laquelle il devait au moins une réponse débarrassée de colère.

Je n'ai pas offert à une catin ce que je vous ai refusé. Je cherchais un déversoir à ma passion, un moyen d'extérioriser mon chaos intérieur, d'oublier, aussi... aimeriez-vous que je me serve ainsi de votre personne ? Je ne le pense pas. En outre, vous êtes mariée. Et quelle que soit la valeur que vous attachiez à cet engagement...

Pas bien élevée, de toute évidence, sans quoi il ne l'aurait pas croisée dans un bordel au bras d'un courtisan. Il s'abstint évidemment de formuler cette pensée.

Pour moi, il en a.

Mais bon sang Nicolas comment vouliez vous que je le sache ?

Son ton n'était pas colérique loin de là. Elle s'interrogeait beaucoup. Elle voulait qu'il comprenne son geste, le pardon aurait été l'idéal.

Il est évident que me voir comme un exutoire j'aurais pas apprécié. Mais moi je ne le savais pas. Et oui la colère l'a emporté, vous voir au bras de cette femme m'a fait mal. Comment pouvais je savoir que vous femme était morte en si peu de temps ?

Quand à mon mariage ...

Elle fit une pause.

Vous savez comme moi que certaines parties ne sont pas parfaites dans mon mariage.

Elle le fixe, les saphirs ne le lâche pas.

Soyez honnête Nicolas, juste une fois. Le mariage a de la valeur, j'aime mon mari et plus que tout. Il n'empêche que vous me désirez et que bien souvent le pas a failli être franchi. Je ne vais pas vous rafraichir la mémoire je suis sur que vous n'avez rien oublié de nos échanges. Admettez que malgré le mariage, vous pourriez craquer.

Invité

Donc dans le doute, vous giflez ? C'est bon à savoir, et je tâcherai de m'en souvenir pour la suite, quoique cela me semble relativement peu adapté pour une femme de lois.

Arrivait à présent le douloureux sujet du mariage. Nicolas avait beau tenir Ulrich en piètre estime, notamment à cause de ce qu'il faisait ou ne faisait pas à Elisabeth, il n'en demeurait pas moins un homme marié. Et la solidarité masculine, du moins la vision qu'en avait l'Italien, prohibait les cocufiages. Il répondit en haussant les épaules.

Je vous désire, soit... j'ai failli craquer, je ne le nie pas. Mais je n'ai pas craqué. Et je ne compte pas le faire.

Résolution, là était le maître mot. D'autant que le coeur du borgne avait été ravi une fois de plus, mais il doutait que ce soit le bon moment pour en parler à sa jeune consoeur.

Invité

Un sourire en coin d'étiré à la lecture de la note laissée par Elisabeth. Que le monde est petit. Et de disparaitre un moment avant de revenir, toile sous le bras qu'elle dépose en espérant qu'elle soit trouvée au retour du client. Une petite moue en la regardant une dernière fois. C'est pas trop ce que demandait l'italien mais elle l'avait sentie comme ça et puis tout est toujours modifiable qu'on lui avait dit à l'angevine...

Spoiler:

Nicolas ... je ne souhaite qu'une chose ... retrouver l'homme qui était mon ami.
Celui avec qui je pouvais passer des soirées à parler, à rire, tout simplement.

Elle ne lâchait pas le regard de l'homme, mettre carte sur table il était temps.
Elle s'approcha de lui, lui prit la main ... elle ne voulait que son ami ...

Nous avons jouer, trop jouer et nous avons faillis nous bruler les ailes.
Je ne veux plus de cela.

Invité

Blonde repentante...

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Elle

Italien prudent...

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Mias

Il décida de lui faire confiance. Après tout, maintenant qu'elle avait trouvé une solution de secours à la Rose Noire, il n'y avait pas de raison qu'elle poursuive ses avances. Ne méritait-elle donc pas le bénéfice du doute et une seconde chance ? Nicolas lui serra légèrement la main avant de la relâcher.

Je partage votre avis. Pour éviter que cela ne recommence, vous savez ce qu'il ne faut pas faire...

Ne pas tenter d'exacerber son désir, par exemple. Il faudrait quand même qu'il lui touche un mot d'Eloane, mais lui-même ne sachant pas trop où cela allait le mener, il préférait l'éviter.

Alter Ego de Dieu sur terre Messages : 4864 Date d'inscription : 28/07/2009

Eli l'avait sollicitée, et l'italien avait fini par venir sauf que quand elle se pointa dans la salle avec ses peintures sous le bras qu'elle laissa en vrac, la blonde s'y retrouverait certainement.

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Ban-ni12

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Ban-ni12

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Ban-ni13

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Vava10

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Vava211

Toujours dans le salon, la blonde retrouva le sourire. D'ailleurs elle lui sourit comme elle ne l'avait pas fait depuis longtemps.

Et si nous allions voir si des artistes ont fait quelque chose de vos peintures ?

Elle lui déposa un baiser sur la joue.

Merci de m'avoir rendu mon ami.

Elle le prit par le bras pour l'emmener vers le salon de présentation. Prenant garde que son geste ne soit pas mal interprété. Elle avait toujours été proche et ne voulait pas changer cela. Le tout était de ne pas se provoquer car ces deux là avaient un gros défaut et passif ... un désir non feint l'un pour l'autre. Peut être qu'un jour ils craqueront ... ou pas ... seul l'avenir nous le dira. Ils arrivèrent devant de propositions.

Attia a accepté de vous faire une bannière, chose rarissime faut bien l'avouer et il y a aussi une proposition de Calyce. A vous de voir ce que vous voulez.

Quand on vous a dit qu'il ne fallait pas qu'ils jouent déjà la blonde luttait pour ne pas réagir à l'attractivité du corps de l'homme près d'elle. Elle s'était promis de rester de glace ... que c'était dur alors qu'un feu se se réveillait dès qu'elle le voyait. Vraiment elle fit appel à toute sa volonté de garder son ami avant tout.

Invité

Elle semblait rassérénée. Dix minutes plus tôt, il aurait soupçonné des sous-entendus derrière le sourire, aurait douté du caractère désintéressé du baiser, et aurait probablement dégagé son bras, mais à présent... elle méritait bien le bénéfice du doute. Il se laissa donc entraîner jusqu'au bureau où il avait déposé sa commande. Et là...

Il manqua de tomber sur le cul. Car c'était magnifique ! La proposition de Calyce -d'ailleurs il ignorait qu'elle travaillait ici, décidément, ils se croisaient tout le temps- était très fidèle à ce qu'il avait imaginé, mais celles d'Attia étaient fantastiques. Il hocha lentement la tête à l'attention d'Elisabeth.

C'est beau, très beau... j'ai bien fait de venir. Cela me donne envie de faire exécuter un panneau pour l'AAP, puis-je prolonger ma commande ?

Comme toujours Attia avait laisser tout en vrac, elle n'avait pas de contact avec le client et Eli était là pour faire l'intermédiaire. Et c'est ce qu'elle fit à cet instant.

C'est Attia ... Quand à continuer la commande oui, il n'y a aucun soucis.

Elle lui lance un regard en coin.

Faudra juste me supporter un peu plus longtemps.

Invité

Oh, cela devrait être dans mes cordes, j'ai de l'expérience dans le domaine. Alors voilà, il s'agirait d'un tableau à accrocher à l'imprimerie de l'Agence, pour rappeler quelques fondamentaux à mes chers petits journalistes...

Regard à gauche... regard à droite... puis il lui glisse discrètement le thème central du tableau.

Evidemment il ne faudrait garder que le centre, pour éviter que les détails un peu... hum... n'apparaissent, il y a déjà assez de rumeurs comme ça. Sur la gauche, j'aimerais les mots "Agence Acilion Presse" en gothique, les uns sur les autres, de sorte que les trois majuscules soient alignées et d'une couleur différente, pour faire ressortir le sigle "AAP". Au dessus de l'image, "Le chef attentivement tu écouteras", et en dessous, "Ou alors de sa badine tu tâteras".

Ben voyons ... je suis embêtante que ça.

Fait la moue plus prend le dessin avant de retenir un rire.

Oh Nicolas je vous reconnais bien là.
Je préviendrais les artistes.

Invité

La rombière, prévenue par Eli qu'il fallait honorer une commande, s'attela à la tâche avec une ardeur sans précédent. Le sujet émoustillait les sens de la royale Castelmamie...

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Aap

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Aap

Invité

A peine le temps de badiner quelques instants avec la jeune Stilton qu'une proposition arrivait déjà. L'oeil unique de l'Italien s'arrondit, et ses lèvres formèrent une moue dubitative qu'il essaya de dissimuler rapidement avant de se pencher sur la blondinette.

Heu, dites, Elisabeth... on peut dire qu'on n'aime pas ? Enfin je veux dire, ça ne vexera personne ?

Invité

Depuis longtemps Eli avait demandé que l'on s'occupe d'une fresque pour l'AAP. Fresque pas facile d'ailleurs, mais la tatouée s'y était essayé. Elle arriva alors, une fois l'œuvre terminée, toqua à la porte et entra en saluant tout le monde.

Bonjour et enchantée, je suis Rodrielle.
Voilà un essai pour vous et l'AAP...

Elle déposa la fresque sur la table et attendit la réaction de l'italien.

Code:: [url=http://bourgogne-creative.exprimetoi.net/forum.htm][img]http://img827.imageshack.us/i/aapq.png/[/img][/url]

Hmm.

Salut à peine perceptible d'un signe de tête vers le grand homme brun, sourire plus réjoui à ses homologues et la mini impériale posa à son tour son essai à côté de ceux de Jehanne et Rodrielle, des pinceaux piqués semblait-il au hasard dans ses cheveux or, le minois concentré.

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Aap-ban-26d8a49

[Clos] - T'es beaucoup trop daaark, tu vouaaa ? Aap-ban-26d8a49

Invité

Deux jeunes créatrices avaient déboulé, apportant chacune leur oeuvre... l'atelier était décidément un nid d'hyperactifs ! Nicolas salua la première tout en jetant un oeil (son seul) à sa proposition.

Le bonjour... Nicolas de Firenze. C'est un peu... sombre à mon goût, et le problème récurrent est que l'on voit les vêtements étranges de celui de gauche. Et... oh !

La deuxième création lui avait accroché le regard. L'artiste avait beau être haute comme trois pommes, la qualité était au rendez-vous.

J'aime beaucoup ! Serait-il possible de faire deux petites retouches ?Dissimuler le peu que l'on voit des vêtements à gauches, avec le bord d'une cape, par exemple... et harmoniser avec mon portrait, si vous trouvez un moyen. Peut-être via la bordure, ou une teinte violette ? Si ça n'est pas possible, la première retouche sera amplement suffisante. Bravo, en tout cas...

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