[ realisées] Eymerick et Marylune = dispute toute en couleur!

Invité

- Ouiiiii ?

C'est ce qu'avait répondu Gigi!

- Ah Signora! Veni veni votre commande est prete !

Il la conduisit alors aux mannequins portant les tenues.

Invité

C'est avec excitation que la baronne suivit Gigi jusqu'au mannequin. Elle ne pu retenir un:

Hiiiiiiiiiiii!!
Farpait! Heu... je veux dire parfait!

Voilà que Lynette l'influençait dans son langage. Rhooo cette Lynette!
Eymerick traînait derrière.

Eymeriiiiiiiiiiick! T'as vu? On sera ma-gni-fique! Bon, c'est sûr que rose aurait été mieux, mais tu vois? Hiiiiiiiii! Va essayer ta tenue! Je veux te voir dedans!

Invité

Et les voilà qu'ils devaient retourner à l'atelier... c'est pas le fait d'aller à l'atelier qui l'embêtait, c'était la présence de Mary qui lui hurlait dans les oreilles comme à l'instant lorsqu'elle cria après l'italien.

Hééé doucement !

Il se déboucha alors l'oreille avec son petit doigt alors que l'homme en question arrivait, invitant Mary à aller voir sa tenue.

Il les suivit donc, à la traine, observant tout de même le résultat du travail accomplit. La robe était magnifique et sans nul doute irait parfaitement à la Baronne.

Voui... c'est pas bleu.

Puis il enchaina.

Bah tu me verras dedans le jour du sacre. Impatiente !

Invité

Humpf! Quel... quel... quel quoi? Quel vilain! Oui c'est ça!

Bon, et bien dans ce cas...

Et la voilà qui se dirigeait vers la sortie.

Je vous remercie Gigi pour cet excellent travail. Vous féliciterez les couturières de ma part, svp.
Eymerick, je t'attends dans le carrosse pendant que tu paies la note et ramène les tenues.

Avouez que c'est toujours drôle une femme qui se tire en laissant l'homme tout payer. Ha ha!

Invité

Et hop, de nouveau un Vicomte grommelant. Rhaaa les femmes, toujours l'homme qui doit se délester de ses écus.

Oui oui c'est ça, va, va...

Remerciements également adressés à l'italien par Eymerick.

Je vous remercie également, et notamment pour votre patience. Vous remercierez et féliciterez également les couturières de ma part. Magnifique travail.

Il lui adressa un sourire sincère avant de se faire indiquer à qui il devait payer, laissant trois bourses pleines à la personne, avec un léger supplément en remerciement, puis il prit les tenues comme il pouvait, c'est que le robe était encombrante, afin de les porter jusqu'au carrosse puis de reprendre la route.

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