Pour dire merci

La rousse qui était venue réglée sa commande vit le livre d'or de la couturière de sa soeur ... Du moins il paraissait au vu des oeuvres.

Citation :

A Clarinha

Vos mains sont exceptionel !! Ma soeur et ravis de votre travail et c'est peu dire avec elle !!
Bonne continuation à vous

Amaelle d'Ambroise

La " Mini rousse" comme disait le chiffre sourit.Oh ouiiii.Joh était exigeante et c'était peu dire.Elle se souvint lors de son arrivée à Saumur ; une inspection de son physique,de son âge et de son passé pour savoir si elle était bien Berriconne et surtout si elle était bien une Ambroise.
Amaelle avait du boire,se laisse juger de haut en bas ... Rousse comme sa soeur,les yeux vert comme sa soeur,la même taille et pratiquement la même morphologie.La douce Amaelle un peu secouée et perdue au début c'était vite fait à cette vie.
C'est ainsi qu'elle retourna à ses occupations.

Un valet aux couleurs de Valençay vint à l'atelier des DO. Il portait à l'attention de Dame Clarinha, un mot de remerciement et un présent. Non pas pour « acheter » la couturière, mais simplement parce que la Baronne avait eu tellement de bonheur... oui, oui.. bonheur... en découvrant ses robes qu'elle ne pouvait le traduire que de cette maladroite mais généreuse façon.

Le laquais glissa dans le livre d'Or le petit mot.

Citation :

A Dame Clarinha,


Un énorme merci pour ces tenues toutes aussi parfaites et réjouissantes les unes que les autres.
Vous possédez un talent indéniable et vos créatiosn sont dignes des Grands de ce monde. Vos tenues sont fraîches, raffinées, élégantes et point trop ostentatoires. C'est un vrai bonheur que de les porter. Votre travail force l'admiration.. la mienne en tout cas.


Afin de vous remercier pour votre ouvrage de grande qualité, je vous offre quelques lés de soie d'Inde dans les teintes rouges, roses et violets. J'espère que ces étoffes vous inspirerons bien que je regrette qu'il n'y ait pas assez pour bâtir une robe complète... peut-être un joli bustier.


Encore merci

Respectueusement

Zoyah

Point de sceau...
Point de titre...
Point de nom à rallonge...
Ce n'était pas la baronne qui s'exprimait, mais bel et bien la femme un brin trop amoureuse des belles vestures.

Le paquet fut déposé à côté du livre... la couturière sera bien le voir.


[HRP : et un grand WouuhOoOOoO à la joueuse de Clarinha. Son travail est bluffant... c'est magnifique et inspirant. Merci à vous jd@Clarinha]

Muto obregado Clarinha

[Merci JD clarinha à bientôt ici ou ailleurs qu'aux DO j'espère^^]

Mon vrai problème, dans ces circonstances, c'est que j'aurais voulu répondre, j'aurais voulu dire combien ces messages d'admiration et d'encouragement me touchaient. Mais il m'avait fallu déjà bien du temps pour les lire - toutes les écritures sont différentes, et c'est, sous les yeux d'une illettrée, presque un nouvel alphabet à déchiffrer, à chaque nouvelle missive !
J'avais finalement demandé à Morganenn, qui était non loin, de m'aider à lire les mots, en particulier celui fort long qui accompagnait de belles pièces de soie. Lorsque je compris qu'elles étaient pour moi, et que je devrais m'en faire un vêtement, mon coeur déborda d'allégresse. Car l'argent que, petit à petit, je commençais à récolter en fruit de mon travail et autres pourboires, je le thésaurisais pour l'heure, craignant les imprévus de la vie dont on sort beaucoup mieux lorsque l'on a fait quelques économies. Mon apparence avait moins de valeur que ma santé, que la bonne chère que je m'autorisais une fois le mois, que les voyages qu'il faudrait parfois faire pour rencontrer des commanditaires, pour soigner sa réputation et son réseau, ou que l'état du toit de la minuscule maison que la rombière de Cassagnes-Begonhès m'avait laissée en apanage, à son décès, dans la burgonde bourgade où se trouvait l'atelier. Mais ces pièces de tissu qui me tombaient du ciel, c'eût été un crime de les vendre pour accroître le pécule ; on ne vend pas un cadeau, on l'expose et le valorise plutôt.

Si pour l'heure je n'avais que peu de temps à consacrer à mon loisir, je me promis de réaliser avec ces pièces merveilleuses, si assorties à mes goûts chromatiques, un vêtement de qualité, corset, ceinture, manches... Je ne pourrais coudre une jupe, il fallait trop de tissu, et j'en avais trop peu. Mais sur une jupe de drap blanc, un bustier violine zinzolin, prune et lie-de-vin, ce serait du plus bel effet !

Et je me promis, le jour où j'aurais cousu ce beau vêtement, d'accueillir la baronne lors de l'une de ses visites et lui rendre au centuple sa gratitude.

[Merci à toutes les trois ! ]

En attendant de passer commande, elle ne put s'empêcher de laisser un petit mot.

Citation :

A Clarinha,


Je sais que je vous ai déjà fait part de mon admiration pour votre talent à de nombreuses reprises, mais qu'importe. Je suis réellement contente que des personnes comme vous créent de si belles choses, mes yeux ne vous remercieront jamais assez.
Vous êtes la digne élève de la regrettée Jehanne. Je suis certaine qu'elle est fière de vous, et qu'elle repose en paix.

Continuez à nous faire rêver,

Cloé d'Albizzi

Oui, pas la peine de faire des fioritures pour dire merci.




[ Méga fan en vrai aussi
Plus tard, quand je serai grande, je veux savoir me servir d'un logiciel photo ... ]

La petite vint avec Anne et écrivit un mot de son écriture de petite fille de 9 ans :

Citation :

Bonjour Madame la couturière

Je ne sait pas si vous vous souvenez mais je vous est commander une robe pour l'anniversaire de ma maman et je vous écrie ici parce que j'aimerais vous dire qu'elle à adorer se que vous aviez cousu pour elle.
L'Atelier des grands à un nom qui lui va bien puisque vous possédez des Doigts d'or !

Jenifael Luna de Castelnau de Montmiral
Princesse Castelnau de Montmiral - d'abord! -

La princesse satisfaite s'en retourna avec Anne un peu exaspérée de devoir surveiller l'enfant aussi remuante qu'était la petite princesse ...

Citation :

A Clarinha,
Merveilleuse Couturière

Je tenais à vous remercier pour toutes les magnifiques tenues que vous m'avez créé, que ce soit pendant votre formation ou depuis peu. Ce sont de véritables merveilles, et je suis fière de dire que vous êtes une des meilleures couturières du Royaume.

Il faudra cependant ne pas hésiter à me dire stop lorsqu'il le faudra (quand les réserves de tissu seront vides ou que vos doigts seront trop meurtris pour coudre) car un tel talent ne peut que donner encore plus envie de commander !

Je ne saurais vraiment vous dire si vous avez de la chance de m'avoir comme fervente admiratrice, ou si vous ne me maudirez pas bientôt ...

En tout cas, je me tiens à votre disposition & je suis votre débitrice pour m'avoir permis de devenir une des demoiselles les mieux vêtues du Maine (Titre auto-attribué, mais jamais contesté !).


Leha Giffard.

Citation :

A Clarinha,

Je tenais a vous ecrire pour vous remercier de des merveilleuses robes que vous m'avez crée. Vous avez des doigts de fée tout ce qui glisse sous vos mains est merveille.

Toute mes remerciments, bon courage pour la suite.

Angele.

Citation :

À Clarinha, Couturière aux Doigts d'Or,

C'est avec joie que nous vous écrivons pour vous témoigner notre gratitude ! Nous ne pouvons que reconnaître votre impressionnant talent et votre souci constant du détail. Vos créations, vos modèles sont de petits bijoux que nous apprécions. Nous vous remercions sincèrement du travail fait sur nos tenues et espérons vous soumettre d'autres commandes très prochainement.

Que le Très-Haut veille sur vous et surtout sur vos doigts si habiles !




Jade de Sparte von Frayner
Duchesse de Lorraine
Duchesse Régente de Blâmont et de de Vittel, Vicomtesse de Pompey, Dame d'Autrey-lès-Gray, de Baccarat et de Châtenois

Faict au Château de Vittel le 14ième jour de novembre de l'an de Grasce MCDLIX.

La blonde avait eu vent que la talentueuse Clarinha cessait son activité. Aussi, elle se dit qu'il était temps de lui écrire, et de la remercier enfin.

Citation :

Chère dame Clarinha,

Je vous écris ce petit mot afin de vous remercier très largement pour le soin que vous avez porté à mes commandes et la beauté des robes que vous m'avez réalisés.
Vous avez un réel talent et je vous félicite pour vôtre travail que j'admire avec envie et respect.

Je vous remercie encore et vous souhaite une bonne continuation,

En rentrant à Chanteloup, en terre poitevine, Jake était à son bureau avec son valet pour rédiger une missive à l’attention de la talentueuse couturière qui l’avait accueilli à l’Atelier des doigts d’or. Il dictait ainsi cette lettre.

Citation :

Chère Dame Clarinha,

Par cette missive, je voulais vous témoigner ma plus grande gratitude pour m’avoir accueilli avec autant de compassion et de gentillesse. Notre gentillesse est égale à votre talent incontestable de couturière.

Puissiez-vous trouver le repos auquel vous aspirez tant. Et si dès lors vous vous rendiez en terre du Poitou, je serai ravi de vous héberger lors de votre séjour en mon château de Chanteloup.

Avec mes profonds remerciements,

Jake de Valombre

La Blonde s'était décidée. Enfin.
Timide soudain, elle s'avança vers le gros livre.
Elle saisit une plume et écrivit.

A la Dame Clarinha,


Comment vous le dire ?
Les créations que vous avez créées, refaites, recousues pour moi... Elles sont magnifiques, j'aime à les porter et à voir les regards de jalousies dans les yeux qui se posent sur moi.
C'est un mot tout bête que j'aimerais écrire, un mot de cinq lettres...
"Merci".
Et pourtant, ce mot, il ne me semble pas suffisant.
Pas suffisant pour exprimer la gratitude que je ressens à votre égard.
C'est pourquoi je joins un petit présent.
Cependant, dépêchez-vous de le manger avant qu'il ne soit plus bon !

Merci pour tout...

Lanceline de Valdesti

Elle posa le paquet qui contenait pains d'épice & macarons divers.
Elle aurait aimé la remercier de vive voix, la Clarinha...
D'un pas plus lourd, elle repartit sans bruit.

[Merci à la JD, je ne peux le faire que par écrit, mais...
Merci pour ce que vous avez fait !
Bonne continuation !
Ljd Lanceline]

Hersent envoya une missive pour remercier dame Clarinha pour tout ce qu'elle avait apporté aux DO et pour toutes les merveilles qu'elle avait cousues pour les clients.

Citation :

De Hersent, dame de Maizières
A dame Clarinha, fée inestimable des DO

Dame Clarinha,

C'est avec un gros pincement au coeur que je vous verrai partir vers d'autres cieux mais votre envie d'ailleurs est des plus compréhensibles et des plus légitimes.
Je ne saurais jamais assez vous remercier pour avoir fait d'un Général une accro des tissus chatoyants et des tenues féminines. C'est avec une joie sans cesse renouvelée que je porte vos robes aux tissus nobles et magnifiques...elles me rappellent votre art immense et font de moi une femme heureuse de plaire et de lire dans le regard des hommes leurs silencieux compliments.
Si vos pas vous mènent un jour en Champagne, je serai ravie de vous y accueillir autour d'une coupe péillante de vin de champagne.
Je vous renouvelle par la présente, toute ma reconnaissance pour les merveilles que je porte grâce à vos doigts de fée, tous mes remerciements ainsi que tous mes voeux pour la réussite de vos projets à venir.

Que le Très Haut vous ait en sa sainte garde,

Bien à vous

Dame Hersent

[mille et un mercis à vous JD Clarinha, talentueuse virevoltante au clavier et à la palette graphique!!! Bonne continuation!]

La petite Amellia ne savait pas encore lire et surement pas écrire. Mais de son air angélyque auquel on ne peut rien lui refuser, elle attrapait toujours quelqu'un qui passait par là pour qu'il ou qu'elle écrive ce qu'elle aurait envie. Encore une fois son stratagème fonctionnait, hop un serviteur attendrit pris la plume et s'effectua à la rédaction de ceci:

Citation :

Chère madame clarinha,

C'est très très très jolie tout ce que vous faites. Je suis bien triste que vous arretez la couture parce que moi je voudrais toutes les robes. Et puis vous êtes gentille et toujours jolie.

je voudrai vous couvrir de bisous,

Amellia

Assez contente de sa lettre enfantine la fillette sourit et remercia l'homme d'avoir écris le laissant partir et en fit autant.

[ évidement que cette lettre est un peu légère mais je suis le rp de l'enfant que j'incarne en toute logique. Je profite de ces parenthèses et du mp pour vous dire à quel point votre travail dépasse la beauté visuelle. Vous savez déja ce que je pense de vos création et de ce qu'elles m'inspirent. Sur chaque tenue on pourrait y écrire un poème rempli de sentiments complexe et variés pour en finir sur un dernier complètement agréable et satisfaisante. Je n'ai qu'un regret celui de n'avoir pu connaitre cet endroit plus tot pour vous commander mille et une tenue. j'espere à très vite]

Citation :

Très chère Clarinha aux doigts d'or,

Je vous remercie chaleureusement pour toutes les tenues que vous avez réalisées pour moi, elles me comblent de joie et je ne me lasse pas de les regarder dès que je le puis.
Elles me font penser que je m'y suis prise bien tard pour venir vous commander des merveilles et que si je m'étais réveillée plus tôt, ma garde robe serait remplie de vos oeuvres.
J'espère bien sur de tout cœur qu'un jour d'autres œuvres vous appartenant viendront rejoindre celles que je possède déjà, mais je saurais me montrer patiente et vous laisserais prendre le repos dont vous avez tant besoin.
Sans votre présence les doigts d'or perdront tout de même de leur exotisme, sachez le, car si mes pas parcourent à nouveau ses lieux c'est bien parce que j'y ait découvert votre merveilleux talent il y a quelques mois de cela!
Je devrais remercier Aristote d'avoir vu rejeté ma demande de devenir votre apprentie, j'aurais été par trop triste de perdre si rapidement ma magister, mais je vous remercie tout de même pour les brides de savoir qu'au détour d'une tenue vous m'avez transmis.
Prenez soin de vous!

Avec toute mon affection,
Plume de Fairdowns, Vicomtesse de Rochechinard, Baronne de Marsanne et Dame de Brantigny.

*Joint au petit mot se trouvait une boîte de nougats de sa production personnelle qui, elle l'espérait, ravirait la couturière.*

La jeune femme se dit,qu'il serait peut-être temps de remercier la Portugaise ... Même si celle-ci l'avait copieusement engueuler lorsqu'elle avait parler Italien ...

Citation :

Bonjour,

Sachant vos difficultés avec la langue Française,j'essayerais d'être simple.
J'ai était ravis de vous connaitre vous et votre merveilleux talent.
Sachez que vos créations,serons l'un de mes plus beaux trésor.

Merci de votre patience et tentative de compréhension

Jenifael Lisbeth Vitalis Da Roma

La Da Roma observa sont écriture fine,assez petite et aérée ... Elle déposa un présent,important à ses yeux ... Une dague.Elle l'avait fait forger avec quelques pierres semi-précieuse ... Une dague classique sert,mais les petite améthyste mauve foncé incrusté dans le manche,faisait une différence ... La Nivernaise,adorée les dague,cela n'était pas nouveau,voilà qu'elle en offre une à sa couturière préférée ... De surcroît,une forger sur le même modèle que celle de la famille Vitalis ...