[RP] La table de couture de Breiz

["c'est grave moins chiant que perdre la moitié de son travail quand on avait presque fini" erf à toi aussi Gimp t'as fait le coup? Tiens au passage sinon joli travail je suis vraiment fan du foulard sur les coudes. ]

[Choisis, j'ai testé co même pour voir. SI tu veux un fond en transpa pour un fofo qui a pas le fond beige (ou que je passe la dentelle d'une autre couleur) hésite po







PS : je trouve ça super moche la fleur, tu veux pas que je l'enlève?]

Edit : ><" j'ai oublié celle avec la couleur IG -__________-"

[j'te ferais ça demain. Attia veut que je retouche le bas aussi, c'est trop raide-droit donc je te ferais de beaux arrondis avant la manif ]

[Nad :





Perso je la trouvait mieux avant, la dentelle ça fait tout moche là. Mais pas le temps de faire mieux ce soir, désolée... Tu te plaindra à jenah, elle me force à poster à son rp de mariage ]

La Castelrombière avait travaillé dur toute la journée... Dur, dur, dur ! Ses vieux doigts engourdis, pour du travail si fin, on n'avait pas idée !

Et elle cherchait quelqu'un à qui montrer son travail. Le Sévère ? Et s'il riait de son travail ? Oh, non, elle ne voulait pas décevoir son bel amour. Attia ? La dérangerait-elle vraiment pour cela ?

Finalement, elle alla à la table de couture de la rouquine...

-"Maîtresse Breiz ?" Demanda la Castelmémère d'une voix hésitante. Oui, vous avez bien lu : hésitante.

La rombière sourit largement, et ça y est, la moulinette à paroles est lancée :

-"Bonjour Maîtresse Breiz ! J'espère que je ne vous dérange pas, hein, mais, j'ai cousu toute la journée, et mes doigts sont bien fatigués, mais enfin, je voulais vous montrer ! J'ai essayé de faire une robe à corset, et puis aussi une robe de baptême pour ma petite fille qui est venue en demander une, et je voulais votre avis, vous voyez...

En fait, la première, il faut que je retravaille la taille, ce n'est pas vraiment net, mais ça le sera sur les modèles d'exposition !

Et puis... Voilà, voilà. Je pense que vous allez me dire qu'elles sont bien amidonnées, mes robes, mais je ne sais pas faire autrement, alors, ça pourra être ma marque de fabrique, hein ? Et puis j'ai pas encore appris à broder le petit symbole de l'atelier, si vous pouviez m'apprendre..."



Edit :
[Avec quelques critiques reçues par ailleurs, j'ai supprimé les épaules de nageuse est-allemande à la robe rouge (qui n'est plus rouge sur le modèle, d'ailleurs). J'avais pris les contours d'un modèle virtuel 3D, donc j'avais laissé les épaules qui me paraissaient bizarres, mais puisque tout le monde dit que ça fait bizarre... ^^

La nouvelle version ça donnerait plutôt :

La rouquine relève la tête de son ouvrage. Fatiguée. Elle se fatigue plus vite qu'avant. Elle dit que c'est la saison, que ses enfants lui demandent beaucoup et qu'avec la nourrice, ça ira mieux. Mais la vieille Berthe n'est pas dupe, et elle redouble d'ingéniosité aux cuisines pour essayer d'ouvrir l'appétit à sa jeune maitresse. Manger, c'est ça qui lui rendrait la santé. A la place de quoi, la rouquine passait des heures à coudre, pour se perfectionner, pour devenir douée, pour être reconnue dans ces cercles parisiens ou sa Disparue aimait à évoluer.

Oh, euh, Jehanne... Vos tenues sont très bien... mais... Il y a des détails à revoir.
Vos patrons, ils étaient faussés? Les proportions ne sont pas très régulières... L'on risque de voir les chevilles des jeunes femmes à qui vous avez fait ces robes, et ça serait fort, fort inconvenant, reconnaissez le.
De même, il vous faudra revoir les mensurations au niveau de la poitrine. On a parfois un léger déséquilibre entre la droite et la gauche, mais enfin, chez personne je ne l'ai vu marqué à ce point. C'est presque comme si vous en mettiez un à moi gorgé de lait, et un à une gamine prépubère, là...
Voilà, pour un début c'est déjà pas mal.Au travail.

Et la rouquine, joignant le geste à la parole, reprit son ouvrage.



(J'ai le même modèle virtuel que toi et j'ai pas les épaules, faut faire gaffe à la corpulence qu'on note.
Attention aux proportions : le corps est pas aux proportions RRs, faut l'agrandir un poil. Et gaffe aussi à la jupe, elle est trop courte, elle devrait arriver aux chevilles de la dadame là, vu la taille qui tu lui as mise. Pareil pour la main sur le beige, elle est pas aux mêmes proportions.

Pour ce qui est des tenues à proprement parler, j'vais me pendre tellement t'es meilleure que moi, après on en parle, OK?)

(Pour la taille, peut-être parce que j'avais demandé la plus petite taille au début, et ensuite, j'ai voulu changer, et j'ai eu l'impression que ça changeait rien du tout... Je ferai gaffe la prochaine fois, la flemme de les refaire, celles-là ^^

Pour la main, je vais voir ça... J'ai remarqué, mais trop tard =)

Quant à mon talent... On en reparlera quand il faudra faire de vrais drapés, châles et autres, pour lesquels tu as une sacrée longueur d'avance !
Le logo des doigts d'or, je le trouve où ? ^^)

[dans la galerie de Nad]

(Merci )

[Quoi, d'avoir des épaules de nageuse est-allemande ?
Ok j'arrête de flooder et je retourne à mes brushs ! Hélas, si je fais deux robes par vacances universitaires, mon catalogue risque pas d'être un jour aussi fourni que les vôtres ^^]

Conseils pris, la Castelmémère avait remis son ouvrage sur la table... pas tout à fait 100 fois, mais enfin : elle avait rallongé la robe, retaillé les épaules qui, à n'en pas douter, n'auraient pas convenu à une femme normalement constituée, et puis avait avisé quelques détails sur la robe de baptême... Avant de s'en aller la livrer.

Il faudrait qu'elle songe à se trouver une table de travail près des autres couturières...

On ne le répètera jamais assez, l'ibère aime les enfants et c'est à ce titre qu'il se ramène sur le territoire de la rouquine, un paquet en main, enveloppé comme seuls les hommes savent le faire : à l'arrache. Il pourrait frapper, il pourrait mais elle appelle. Un peintre.. Pas lui, il n'est que scribouilleur à ses heures libres quand il s'ennuie ou veut intéresser la gitane, mais peut-il refuser sa présence à une femme ? Non. D'autant que celle-ci lui doit un mouchoir. Alors la porte est ouverte, et sans un mot, il la rejoint, la dépasse, dépose le présent sur une table et considère un instant la toile.

Avant d'éclater de rire.

- Les écritoures sont difficiles à lire.. Et pourtant, c'est oune toile pour enfant, alors il faut de l'imagination et y'imagine très bien ce qu'il y a marqué.

Et de rire de plus belle, à la simple pensée que cette bannière représente à merveille la vie d'un petit garçon. Sérieux qui revient à grande peine, main pensivement posée sous le menton.

- Personnellement, y'aurait mis la princesse encore plous loin, yé vous assure qué pour oune pétit garçon, c'est très dour dé la trouver.

La preuve en est, il la cherche toujours, et de rire de nouveau jusqu'à apercevoir le rouquin dans un coin, le cadeau est tendu, fébrilement, dans l'attente d'un sourire. La trentaine passée et toujours pas d'enfants à lui, déprimant, quand on aime trop les femmes, on ne s'attarde pas à en chercher une et la nature est bien capricieuse, beaucoup de maitresses et aucun résultat.

- C'est oune cheval .. Pour oune chevalier.

En bois, grossier, fait entre deux siestes.

Après avoir papoté avec la Mémère.. Plus loin, plus tard..

Sur un mannequin, il installe soigneusement la robe qu'elle lui a fourni, ajuste la collerette de tulle, l'ôte pour l'effet, puis la remet. Dieu que les femmes sont stupides, il ne lui pardonne qu'à peine, cette folie qu'il cautionne et finance pour un homme qui ne mérite pas la peine qu'elle se donne. Et pourtant, il est là, à crier dans la salle de couture pour qu'elle rapplique.

- Alma miaaaaaaaaaaa ! Ven aqui !