[RP] Une "promenade"

Invité

Première fois.

Première fois que Charles mettais les pieds en Bourgogne, ou alors plus de quelques heures au même endroit.
Première fois qu'il se fait quasi-tracter par une gamine obèse dans les rues d'une village vers une direction inconnue.
Première fois qu'il s'est fait clairement avoir par la-dite gamine, prétextant la recherche de l'escargot qui s'était "enfui" du campement monté 6 lieux et 2 jours plus loin par les GO (Gentils hOspitaliers). Ils avaient pu parler un peu durant le voyage, et il avais cru déceler entre toutes les sources d'émerveillement de la gamine un sujet qui avais un peu plus fait briller ses yeux, quand il avais aborder que durant son temps libre, il peignais un peu et dessinais. Mais bon, aucune chance que ce détail puisse être d'une importance capitale bien sûr.

"Mais bon dieu, que suis-je aller faire dans cette galère, se demanda-t-il en traînant un peu des bottes et en se faisant tirer en avant par la boule rose. On vois bien que ce n'est pas elle qui a chevauché pendant 5 jours à surveiller sans dormir ..."

Puis, arrivant devant le bâtiment qui semblais visiblement la mystérieuse destination, vu qu'on lui lâcha la main et qu'on lui permis se remettre les os du bras dans leurs cavités.

- He bien alors Yolanda, voici une bien grande maison pour un escargot ... Pourquoi m'as-tu emmener ici ? C'est la maison d'une vieille qui élève ces bêtes ? Ou alors un genre d'église escargot-esque pour prier un peu pour ton ami qui s'est perdu, lui demanda-t-il en la regardant et en souriant légèrement, bien décider à se trouver une taverne ou alors un endroit pour se reposer un peu.

Invité

Etre une Princesse des fées, cela consiste à aider son peuple, à réaliser les rêves de ceux qu’on aime d’un coup de baguette magique. Bon, elle n’a pas de baguette magique mais c’est presque comme si c’était ça, non ? Et puis, elle l’aime bien Charles, déjà, parce qu’il l’a sauvée une fois en taverne, ensuite, parce que quand elle déboule au Louvre, il ne dit rien et ne l’empêche jamais de passer pour aller voir Marraine, et finalement, parce qu’il l’aide à sauver un escargot, nommons-le Baveux Ier du nom, et l’innocente avait jugé bon alors de confier Baveux Ier au Duc de Carrouges, accessoirement, leur chef d’escorte. Etonnant ou pas, l’escargot avait disparu après une histoire de cataplasme au beurre et à l’ail, ainsi donc, notre fine équipe – qui perd en finesse dès lors que Yolanda est dans l’équipe – était partie à sa recherche.

L’arrivée aux Doigts d’Or ? Une coïncidence née de l’histoire de Charles et de son passe-temps énoncé, ainsi donc, lui aussi peint ! Baveux Ier est oublié à son triste sort, et une autre idée germe dans la tête de l’Infante, faire de Charles le nouveau peintre masculin des Doigts d’Or puisqu’elle n’y a plus vu Donatello depuis un moment – qui irait raconter à une fillette de même pas sept ans que si l’espagnol n’est plus là, c’est qu’il est mort ? – alors elle le traîne derrière lui, ponctuant sa course par des « Allez, plus vite ! Baveux y va nous distancer, j’en suis sûre ! » « Dépêche toi ! Je le vois presque ! »

L’escargot ? Non, l’Atelier ! Et à la question de Charles, elle répond par un haussement d’épaules faussement nonchalant, et un sourire naïf.

-« Je crois que je me suis un peu trompée de la route ! Mais c’est pas grave ! Je connais ! C’est l’Atelier d’Attia ! Tu sais ce qui serait trop vache-ment drôle ? C’est que tu dises que tu peins ! Comme ça, elles voudraient de toi ! Marraine, elle dit que l’Art, c’est bien pour se marier, et vu que ça tombe trop bien qu’on te cherche une fiancée. »

Bon, d’accord, l’argumentation est proprement foireuse, mais en même temps, elle est blonde, pas amatrice de rhétorique. L’arme fatale ?

-« Et ça me ferait trop tellement plaisir ! »

Un regard de Princesse des Fées qui scintille, une bouche rose sucrée qui se plisse en un sourire amoureux. Cling, cling, les cils qui papillonnent. Tu m’aimes hein ? On ne peut pas ne pas vouloir me faire plaisir !

Invité

Je vous le donne en mille, Charles faisais les gros yeux. Et ce pour plusieurs raisons.
Premièrement, elle lui annonçais tranquillement qu'elle l'avait emmener ici non pas pour "chercher" Baveux 1er, a.k.a Bavoux le Plat, mais à cause d'une discussion qui datais déjà de plusieurs jours, où il lui avais confier dessiner et ne plus être en couple. Il avais bien vu que cela avais, en un sens, attristé la petite, mais jamais il n'aurais penser quel esprit machiavélique et acéré se cachais sous son attitude enfantine.
Elle l'avais donc emmené ici volontairement ... Pour qu'il visite un atelier ? Et parler fiancée et mariage ?!

Oui oui, tout ça.

Après les gros yeux de circonstance, il la regarda un peu durement, mais bon pas trop quand même, ça part d'un bon sentiment.

- Tu as bonne mémoire Yolanda ... Tu pense à ce plan depuis longtemps, lui demanda-t-il en souriant légèrement. Eh bien dis-moi, il ne faut pas te sous-estimer à ce que je vois. J'entrerais donc, uniquement si tu peux m'affirmer que je pourrais m’asseoir et éventuellement boire un petit quelque chose. Je suis asser fatigué du voyage *surtout à cause de toi*. Donc, tu dis connaitre la créatrice de l'atelier, Attia ... Quel est le nom de cet atelier ?"

Éludant savamment la question des histoires de coeur, dont il n'avais ni envie de parler ni de vivre actuellement, il s'approchais du bâtiment et en détaillais la façade, puis frappa vigoureusement à la porte et fit signe à Yolanda de venir. L’accueil serais surement plus chaleureux - et donc plus susceptible de lui faire obtenir un peu d'eau - si un visage ami étais présenté en premier lieu.

Invité

Vrai qu’il est dur d’être une enfant ! Aussi vrai qu’il est dur d’être au service d’une Infante. Alors votre narratrice compatit à la misère de Charles, la gosse quant à elle lui offre un sourire qui mange tout son visage. Non, j’ai pas oublié, et pire, je sais que ça t’embête, mais ça m’amuse !

-« Promis, je te trouve pour t’asseoir ! C’est les Doigts d’Or ! »

Elle cherche du regard, l’entraîne à sa suite dans la salle où ont lieu généralement les entrevues, un siège dégotté qu’elle traîne jusqu’à son infortuné garde du corps avant de prendre une profonde inspiration.

-« Y a quéqu’uuuuuuuuuuuuuuuun ? Youhouuuuu ! C’est moiiiiiii ! »

Moi ? Qui moi ? La question se pose-t-elle ? Elle est chez elle ici, comme elle l’est au Louvre, ou à Corbigny et Château-Gonthier. Elle est toujours la fille d’un Pair de France et de la Petite Reyne d’Anjou, mais elle est avant tout Yolanda Isabel, Sa Gracieuseté la Princesse des Fées d’Attia, La boule rose du boulier d’Elisabeth, l’Enfant terrible de Breiz, la Rivale ès Macaronneries de la Castelmamie, la Nièce Chérie de Calyce.

-« Tu s’asseois là ! Je vais chercher à boire et quéqu’un ! »

Et de partir en courant et en chantant.

[…]

Quelques instants plus tard, c’est une gosse rose et souriante qui revient en prenant garde au pichet de grès qu’elle tient à bout de bras.

-« J’ai trouvé de l’eau ! Et j’ai dit à Eli qu’il y a quelqu’un .. Mais j’aimerais bien voir Attia cômmême.. »

Alter Ego de Dieu sur terre Messages : 4864 Date d'inscription : 28/07/2009

Y a comme un parfum de rosy princesse, un parfum de framboise, un parfum de fraise, un parfum de cerise, un parfum de gatisme quand au détour d'un couloir la des Juli capte le doux son de la voix yolandesque.
Qu'est ce qu'elle la rend gâteau cette gamine quand même ?
Rien que pour les doux baiser, les etreintes des bras potelés et délicats, rien que pour entendre ce babil qui n'en est plus vraiment un, ce ton assuré et pourtant si tellement enfantin.
Alors elle suit la voix, essaie de savoir ou pourrait aller l'infante angevine. L'anjou n'a pas pondu que des rombières il faut croire.
Salle de vetements ? non.
Salle des bannieres ? Non.
Salle de travail ? Non plus.

A t'elle revé ? Serait ce les affres de la maternité ? Les hallucinations ?
Elle va a l'entrée, peut etre est t'elle deja partie ?

- Yolandaaa ? Votre gracieuseté ?

Invité

Promesse de siège : check
Promesse d'eau par procuration : check ?

Au moins, il pourrais se "reposer" un peu ... Ou pas, comme d'habitude avec Yolanda. Et c'est sous le choc de l'entrée fracassante de la-dite gamine sans même attendre une quelconque réponse de son coup à la porte qu'il entendis à peine le nom de l'atelier dans lequel il pénétrais, tracté une seconde fois par la sur-mentionnée boule rose. Et voilà qu'elle se mais à crier maintenant ! La honte complète quoi vu que sur eux deux, au moins la moitié étaient des intrus. Et que pour le coup, c'était lui le maillon faible de la bande.

- Allons Yolanda, ne crie pas comme ça ! On est pas dans un vulgaire tripot !

Oui voilà, le nom lui étais revenu en tête. Il étais dans l'atelier d'où provenais les magnifiques habits qu'il avais vu au défilé des pelouses du Louvre. Mission facile et passablement agréable ... Pas comme cette escorte quoi ! Enfin, presque. Il sourit en voyant la petite lui ramener une chaise qu'il accepta gracieusement en la remerciant de la tête. Et à peine assis, la petite repartais ... Mince, si quelqu'un venais maintenant, il passerais vraiment pour l’intrus de service. Et puis bah justement, alors qu'il se levais pour ouvrir une fenêtre - non non, pas pour fuir lâchement - pour respirer un peu d'air frais, il entendit une voix de femme dans son dos, la-dite femme arrivant vers lui en cherchant la gamine. Il regarda un peu autour de lui pour vérifier si celle-ci étais dans le coins ... Eh bah non. Il regarda donc la dame et s'avança vers elle, prenant les devants histoire de ne pas se faire virer immédiatement.

- Donà, bonjorn, lui dit-il en s'inclinant. Vous devez vous demander ce que je fait là ... Pour tout vous dire, j'ai plus ou moins été forcé de venir, enfin presque, par une gamine à la couleur préférée des plus percutantes. Je veux bien sûr parler de celle-la même que vous appeliez. Ah heu au fait ... Je me présente. Charles de Warenghien, actuel garde du corps, on vas dire, de Yolanda.

Et voilà que la gamine revenais avec un broc d'eau. Charles souriais, mais sans récipient pour boire, disont un verre, il ne boirais bien sûr pas. Pourquoi pas directement au broc pendant qu'on y est, non mais qu'est-ce qu'il faut pas voir. Mais il souriant quand même.

- Mercé héra Yolanda, j'apprécie le geste, lui dit-il en lui prenant le broc des bras et en le posant sur une table alentour.

Il espérais bien ne plus avoir à parler pour meubler pendant au moins quelques secondes. Remarquez que de toute façon, vu que les deux se cherchaient elles se sauteraient au cou ou n'importe quoi d'autre. Bref, arrêter un peu de parler quoi.

Invité

[Dans l'atelier]

Le petit dernier arrivé à l'Atelier des Doigts d'Or était en train de travailler sur son ouvrage, quand à la périphérie de sa vision une boule rose surgit, à toute berzingue, avant de repartir aussi sec pour une destination inconnue.

Et Linien, à chaque fois qu'il voyait un truc rose potelé et petit, ne put s'empêcher de lâcher un :

Tiens, ya le bacon qui s'fait la malle...

Avant de se remettre à son tissu.

Invité

Elle revient à lui, elle revient à elle, dépose le broc avec un sourire à Charles et soudain réalise. Attia est là ! Attia est là ! Elle ne l'a pas vue depuis au moins la Semaine de la mode ! Et ça remonte ! Alors elle oublie Charles et sa peinture, Baveux Ier est foutu au placard, elle, elle court autour d’Attia en chantant gaiement.

-« J’ai revenu, tululululu ! J’étais partie, lalalalaliiiii ! Et j’suis avec Attia, lalalallala ! »

Trop de sport tue le sport et fatiguée d’avoir couru en chantant, elle se laisse aller contre les jupes de la gitane, l’oreille collée contre le ventre, les bras autour des hanches. On grandit avec l’âge, et pourtant, il reste des souvenirs de la petite enfance, et certaines expressions reste aussi.

-« Ama ! »

A elle, rien qu’à elle, Son Attia, à personne d’autre que le premier qui la touche, elle en fait du confit de pas gentil, frit dans l’huile rance qui sert à huiler le corps ancestral des vieilles femmes du royaume qui s’obstinent à se croire jeunes encore. Au fait pourquoi elle est là ? Pourquoi elle est venue ici ? Ah oui ! Charles ! L’infante de s’écarter pour se consacrer au garde.

-« Attia, Charles y peint ! Et bien en plus ! »

Z’en faites ce que vous voulez de ça, Yolanda quant à elle continue à courir en chantant autour d’Attia ponctuant ses chansons de « Elle est où Breiz ? » « T’as vu j’ai une jolie robe. » « Eli elle a fâché un monsieur ! » « Je veux être brune ! »

Alter Ego de Dieu sur terre Messages : 4864 Date d'inscription : 28/07/2009

Si la gamine redouble de cajoleries, l'Attia ne cache pas non plus la joie et le gatisme latent qu'eveille en elle la vue de la petite fée potelée douce et a croquer.

- Yolandaaaaaa comme je suis contente!

Oui elle l'est la gitane qui referme ses bras tendre autour de la gosse qui lui pose la tète contre le ventre. Jamais elle ne se sera sentie aussi mère qu'a cet instant, entre la gosse qu'elle adore et admire le plus et le petit etre qui commence a lui dessiner un petit profil. Elle se sent gonflée de beatitude.
Elle pourrait rester longtemps comme ça, a s'approprier reciproquement la rosy princesse. Tout comme elle se l'etait acaparée une fois pour une sieste, elle voudrait pouvoir prolonger ce calin, mais les bonnes choses ne durent jamais, c'est le propre meme du plaisir, sinon ça n'en serait pas.

Le sourire bienveillant passe de la blonde a l'homme qu'elle a amené.

- Bonjour Charles je suis Attia des Juli bienvenue...

Elle aurait pu poursuivre si elle n'avait pas mis un point d'honneur a repondre aux questions de l'infante.

- Breiz est chez elle votre gracieuseté, et votre robe est magnifique sauf qu'elle n'est pas de moi, Eli elle est vilaine parfois, quelle idée! vous etes tres bien blonde...

Ahem...passé cet elan pueril , elle en revint a l'adulte qui bien constitué devait ronger son frein.

- A ce que dit Yolanda vous peignez ? Vous nous montrez ?

Invité

Le répit avais été de bien courte durée. Cependant, Charles avais pu s’asseoir sur la chaise que la gamine avais traîner jusqu'à lui. Il les avais regarder avec un léger sourire, étant témoin de la complicité entre la femme et la demi-femme. Puis l'attention revint bien vite sur lui. Puis repartit. Puis revins. Waou, à vous tourner la tête ! Alors qu'Attia s'adresse à lui, il se relève histoire d'être au même niveau qu'elle.

- He bien, oui je peint quand j'en ai le temps ... Hélas, ce n'est pas souvent. Et vu que la petite m'à emmené ici sans rien me dire, je n'ai rien sur moi. Enfin, j'ai bien un petit quelque chose que j'arbore, mais cela ne devrais pas vous suffire j'imagine. Cependant si vous avez des pinceaux et des toiles, ainsi que quelques pigments, je serais heureux de vous faire une petite démonstration si vous le souhaitez.

Alors qu'il parlais, il lui remit le parchemin qu'il gardais toujours sur lui (voir la signature) et lui sourit.

Invité

On arrête de chanter pour entendre la réponse aux questions, Attia a le don pour tout faire en même temps et notamment s'occuper d'elle et s'occuper de l'Atelier, et pour une enfant inconsciemment égocentrique, c'est un don qu'on ne peut qu'apprécier, n'est-ce pas ? Et elle continuerait bien à sauter si Charles n'avait répondu pour montrer sa propre fresque et proposé d'en faire une pour démontrer ses talents, alors un sourire qui grimpe jusqu'aux oreilles de la fillette.

-« ‘Ttia ? Il peut essayer la bannière de Marraine ? Personne arrive à en faire de jolies ! »

Ca, c'est clair que les précédents essais par les postulants n'étaient pas des plus glorieux.. Et déjà, Charles est oublié encore, et un sourire en coin et malicieux à Attia.

-« Oui, c'est pas une robe à toi, mais c'est fait exprès pour que tu penses que je suis malheureuse parce que j'ai plus que des robes pas de toi, et que tu m'en fais une. Ca marche ? »

Oui, bon, évidemment, ne demandez pas à une enfant de faire dans la subtilité hein..

Alter Ego de Dieu sur terre Messages : 4864 Date d'inscription : 28/07/2009

Aux demandes de l'infante, la gitane aquiesce, ce que Yolanda veut, Dieu le veut. Car on sait toutes que selon Breiz, Attia c'est Dieu, mais chuuuut.
Alors la gitane passe sa main dans la tignasse blonde.

- On l'emmenne dans la piece a coté ? Celle ou il ya tout le matériel ? Il essaiera la toile de marraine la reine .

La gitane lache un petit rire pathétique.
Alors qu'elle attrape la main de l'infante elle fait signe au jeune homme de les suivre.
Puis se penche pour souffler a l'infante.

- Ce n'est pas bien votre gracieuseté de me rendre triste en me disant que vous etes malheureuse. Je vous ferai toutes les robes que vous voudrez vous le savez...

Oui bon la... elle s'avance un peu... Juste assez pour faire diversion de suite.

- Vous aurez tout ce qu'il vous faut, et bien d'autre themes de travail compilées par nos artistes. Vous vous fournissez chez qui en pinceaux et pigments ? (*)

La petite compagnie poussa la porte de la salle de travail des nouvelles recrues.
La le jeune garde pourra demontrer son talent.

- Voila vous avez tout ce qu'il vous faut ici!

Elle avisa Yolanda.

- Pendant que vous travaillez Yolanda et moi allons prendre ses mesures, c'est qu'elle a bien grandi la mini duchesse... Et si elle est sage... je lui dirai un secret!

Et de gratifier la rosy fée d'un enieme sourire gateux.

- ça ira ?

Citation :: (*) Quel logiciel ?
Sujet deplacé dans la salle de recrutement.

Invité

Alors qu'on l'invitais à les suivre, Charles se disais que le repos avais été de bien courte durée. Décidément en acceptant la mission d'escorte du groupe de Yolanda, il ne pensais pas qu'il lui arriverais tout cela. D'abord d'être pris en grip par la gamine dans son rôle de protecteur, à devoir la coller non-stop, puis d'être manu-tracté ici. Pas reposant, mais finalement plutôt enrichissant il faut bien dire. C'était d'ailleurs ce qu'il aimais dans ces mission d'escortes. On rencontre des gens, on tisse des liens un peu partout, on découvre des opportunités, on apprend ... Mais on est loin de sa famille.
Légère vague de nostalgie en pensant à ses enfants à la Trémouille alors qu'il suivais les deux femmes et quart-femme, aussi radicalement opposées physiquement qu'elles semblaient s'apprécier. D'ailleurs, il souriais de les voir converser, puis la Chef lui addressa la parole.

- Mon fournisseur vous dites ? He bien, je me fournis généralement chez Abbott Van Toshop et fils, si vous avez. J'adore ce que font ces flamands, du travail très soigné, et ils ont panel de couleurs très large. Enfin bon, c'est normal que le matériel de ces régions soient d'une qualité supérieure, après tout c'est bien l'endroit où les artistes sont les plus actifs.

Puis arrivant dans la salle de travail, il sourit. Effectivement il y avais le matériel qu'il avais l'habitude d'utiliser. Enfin "habitude" est un bien grand mot, mais qu'il utilise quand il fait quelques toiles.

- Mercé héra, j'ai effectivement tout ce qu'il me faut ici. Vous êtes particulièrement bien équipé, remarquez que je n'en doute pas vu la renommée de votre atelier. Je vais m'y atteler si vous permettez, comme ça je vous laisse un peu tranquille avec Yolanda.

Il leur distribue à chacune un sourire franc, prend une petite toile qu'il pose sur un chevalet, et prend un fusain qui traine. Il réfléchit in instant et dessine légèrement sur la toile pour placer ses éléments. Il s'arrête à plusieurs reprises et atténue certains de ses traits pour les reprendre. Une fois que tout ses éléments étaient bien placés et dessinés, il se recula et prépara ses couleurs et pinceaux. Une fois fait il se mit réellement au travail. Après un certain temps, il reposa ses pinceaux et sa palette puis se recula.

"Moui, pas trop mal. Voyons si cela plaît."

- Mesdames, voilà où j'en suis. Je sais que ce n'est pas un portrait fidèle de Sa Majesté ... Mais bon, c'est voulu et n'est presque pas du tout dût à mon manque d'entrainement récemment à la peinture ... Vous aimez ?

Et une seconde fournée de sourires, pas de jalouse.

Invité

Marraine la Reine, Mesures, Secret..
Ce qui est merveilleux quand Attia parle à Yolanda, c'est qu'une fois sur deux, elle emploie des termes qui plaisent à l'Infante Le reste du temps, il est question de Robes, Amour, Défilé.. Ce qui revient plus ou moins à la première partie du temps, comprenez donc que Yolanda ne peut que chérir la gitane. Alors la main d’Attia est attrapée et l’Etoile de l’entraîner dans une danse des fées, si, si, ça existe, j’ai décidé, le tout en riant du bonheur de l’avoir retrouvée. Ca faisait longtemps ! Au moins une semaine !

-« C’est quoi le secret ‘Ttia ? T’as vu j’ai grandiiiiiiiii ! »

Et au moins pris cinq kilos de plus.. Si ce n’est plus, d’ailleurs. Va prendre les mesures d’une puce géante et obèse gonflée au bonheur et à la joie de vivre et dans l’attente du secret.

-« Allez c’est quoiiiiiiiiiii ? Dis moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

Des fois, elle peut être extrêmement chiante.. Et en ce moment, plus souvent que des fois, en plus, le pauvre garde royal en a fait les frais. Et alors que la gitane prend les mesures, l’Etoile se penche en arrière pour voir la toile réalisée par Fallgor.

-« Oh c’est beauuuuu ! »

Et vas y que je tourne sur moi-même pour mieux voir, comment ça la gitane mesure ? Ah bah ça.. C’est le jeu ma pauv’ lucette !

-« Et Mamie l’est où ? Et Calyce ? Et Trella l'est oùùùùù ? »

Bonjour, vous êtes actuellement sur le répondeur de Yolanda Isabel, si ce message enregistré vous irrite, c’est normal, il est fait pour. Attachez vos ceintures de sécurité, pour éviter de tuer l’individu le plus proche de vous. Bon vol !

Alter Ego de Dieu sur terre Messages : 4864 Date d'inscription : 28/07/2009

Entrainant a coté une Yolanda surexcitée la gitane fouille dans les affaires de la salle de travail des recrues pour saisir un ruban gradué qu'elle deploie.
Il fallait deja que Yolanda se calme.

D'abord la hauteur...
La gitane se met a genoux pour etre plus a l'aise, notant mentalement les mesures qu'elle prend.

- Ah le secret vous voulez le savoir hein ?

Quelle question ? A cette seconde la gamine semble ne vivre que pour ce secret.
Un sourire aux levres la gitane joue la carte de la subtilité.

- Eh bien le secret...

Elle profite de prendre le tour de taille de la petite fée pour se pencher à son oreille et lui murmurer de manière inaudible.

- Je vais recevoir bientot un cadeau de la cigogne...

C'est pathétique hein ? Oui mais c'est Attia en mode Yolanda Love. C'est choupi, c'est Yolanda.
Elle rit doucement de sa propre connerie en se demandant si l'enfant pourra comprendre quand celle ci a deja changé de centre d'interet.
Les yeux se levent sur le travail du peintre qui se precise. C'est vrai que c'est pas mal.
Elle tente d'attraper un bras pour en prendre la mesure parce que la aussi ça a "grandi" et alors qu'elle force d'une petite pression sur le bras une pirouette a se retourner en face d'elle a nouveau.
Et de repondre au nouveau ballet de question.

- Elles doivent trainer quelque part, je ne sais pas!

Et de se lever d'un bond dynamique.

- Ayé c'est bon j'vais pouvoir travailler sur votre prochaine robe.

Elle se laisse interpeller parle garde qui vient de finir, admirant la toile, l'observant longuement.

- Elle est tres belle, elle me plait beaucoup. Qu'en pensez vous Yolanda ?

Comme si la gamine pouvait etre objective.

- Je la trouve vraiment originale.

Invité

Ah, apparement des réactions plutôt positives. Charles souriais en les entendant, lui qui avais peur d'être trop rouillé pour pouvoir produire quelque chose de potable. Cependant il repris la parole.

- He bien, tant mieux si cela vous plait. J'était quelque peu angoissé voyez-vous, cela fait des mois que je n'avais plus touché à des pinceaux. Vous avez dit originale dòna Des Juli, cependant originale dans quel sens ? Car les qui pro quo se font rapidement sur cet adjectif, lui dit-il en souriant. Que souhaitez-vous de moi maintenant ? Des modifications ou je ne sais quoi ? Ah, et félicitation pour votre enfant.

Hé oui, ça ne lui avais pas échappé, aussi il lui fit un plus grand sourire, puis regarda Yolanda qui continuais à bouger dans tous les sens sans sembler pouvoir s'arreter d'endiguer le flot de paroles.

"Cette infante à décidément beaucoup d'énergie !"

Invité

Clair que l’objectivité, ce n’est pas le maître mot qui gouverne l’esprit de Yolanda. Premièrement, la bannière est de Charles, elle est forcément belle. Deuxièmement, la bannière concerne Marraine, elle est forcément royale. Troisièmement, Attia vient de lui confier un secret, croyez vraiment qu’elle en a encore quelque chose à faire de la bannière ?

Elle essaye de réfléchir à ce que vient de dire Attia. Une cigogne, c’est un gros z’oiseau.. Avec un bec encore plus gros que cui d’un canard, tu parles d’un cadeau déjà.. Un oiseau qui fait un cadeau ? Un œuf ? Elle va avoir un gros z’œuf ? Il ne faut pas trop en demander à Yolanda, oui, elle est perspicace, mais elle n’a que sept ans et les expressions d’adultes qui se veulent accessibles pour les enfants ne le sont pas toujours, alors, elle essaye de comprendre, quand enfin Charles vend la mèche. LE cadeau de la cigogne, c’est un bébé ? Attia va avoir un bébé !

-« Oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooh ! Je dirais rien ! Rien du tout ! Rien de rien de rien du tout ! »

Et de tourner autour de la gitane avant de poser son oreille sur le ventre au tout petit renflement.

-« Bonjour Bébé à ‘Ttia ! Moi, c’est Yolanda ! Tu m’entends ? »

T’sais on sait jamais, des fois que ça répondrait ! Perspicace mais pas trop, on a dit.

Alter Ego de Dieu sur terre Messages : 4864 Date d'inscription : 28/07/2009

Elle regardait l'enfant amusée qu'elle soit en train de réfléchir au mystère de la stupide phrase qu'elle avait pondue.
Elle ne retint pas une moue quand le peintre qui avait capté leurs échanges lé félicita.

La moue disparut très vite remplacée par un sourire amusé quand Yolanda compris enfin. Soudain elle fut aussi heureuse que le jour ou elle avait réalisé la première fois qu'elle attendait un enfant et le geste de le rosy fée sur son ventre lui arracha un rire sincere.

- Oh vous savez il est encore tout petit je ne suis pas sure qu'il t'entendes... Mais je lui parlerai de vous promis, mais on a dit que c'est un secret hein ...

Et le regard de fixer le peintre.

- Oui un secret!

De quoi le tenir au silence. Apres tout elle ne le connaissait pas, ils ne frequentaient pas le meme entourage du moins pas encore, et il etait loin de savoir qu'elle portait cet enfant sans etre mariée au père ce qui pourrait en choquer plus d'un.
Aussi changea t'elle volontairement de sujet.

- Pas de modifications pour ma part, mais je vais vous laisser avec Eli, vous aurez a choisir parmis nos themes et faire un autre essai, qu'on soit surs qu'il ne s'agit pas de la "chance du débutant" , mais je vous fais confiance, vous etes doué!

Et de se retourner vers Rosy princesse.

- Et si on allait manger des macarons ?

Un nouvel artiste postulait et d'après ce qu'elle avait compris des paroles d'Axel, c'était à elle de s'en occupé pendant que Attia se goinfrait de macaron avec la boule rose.
La blonde arriva tranquillement, ba ouais pourquoi se presser.
Donc après avoir prit le temps de passer dans la salle des commandes, d'avoir régler un soucis ou deux, d'avoir envoyé sa lettre incendiaire au camerlingue, bon pas tant que ça juste râleuse la lettre, elle finit par dériver vers la salle de recrutement.
Cela faisait un moment qu'elle n'avait pas mit les pieds ici.
Elle salua les personnes présentes.

Bonjour Yolanda, Attia, Messire.

Et oui elle ne savait pas son nom, et donc il ne savait pas le sien non plus.

Je suis Elisabeth Stilton de Lasteyrie, l'intendante et votre interlocutrice dans le futur on dirait.
Avez vous eu à boire ? Nous allons passer un moment ensemble autant ne pas se dessécher.

Sans attendre la réponse, elle envoya Axel leur chercher un bourgogne, pendant ce temps elle se mit sur la peinture en prenant soin de regarder avant la commande et ses exigences.

Très beau travail en effet. Je vais pinailler car effectivement je ne vois pas grand chose à redire, mais la commande n'est pas respecté.
Faites attention à cela. Essayez de faire ma commande, il parait que je demande toujours l'impossible.

Invité

Aurait-elle voulu jouer un peu plus avec le cerveau de la gamine ? En voyant sa petite moue désolé, il lui fit un petit sourire d'excuse. De toute façon, elle aurais bien trouvé un jour ou l'autre ... Oui mais, peut-être que justement, Attia aurais voulu lui dire la chute elle-même. Hm, une bourde apparemment, mais elle s'en remettra. Ou pas, vu le regard qu'elle lui lance en insistant sur le secret. Il lui sourit et acquiesça pour lui signifier qu'il ne dirais rien, et elle était aussi loin de penser que Charles avais déjà eu trois enfants hors mariage. A chaque fois un grand bonheur ... Des enfants qu'il ne voyais pas beaucoup hélas ...

Un vague nuage de nostalgie passa dans son regard, mais il se repris vite quand elle repris la parole.

- Mercé mèstra pour votre compliment, lui dit-il en souriant. Et désolé d'avoir tirer la mèche, de l'avoir couper en morceau et enfin vendue, c'est qu'une naissance est tout de même un évènement que je me devais de féliciter. Mais ne vous en faites pas, je serais une tombe.

Puis une autre femme arriva, qu'il salua en s'inclinant alors qu'elle lui donnais son nom.

- Enchanté dòna, je suis Charles de Warenghien. Et ne vous en faites pas, Yolanda m'à déjà amener de l'eau, ça sera parfait. Après un long voyage, je préfère me désaltérer plus efficacement. Mais déjà elle avais fait passer le mot. Cependant, j'accepte volontiers, lui dit-il en souriant.

Puis arrive le reproche qu'il attendais, toujours souriant.

- Oui, je suis conscient que plusieurs éléments ne correspondent pas exactement à la commande. Cependant, le client n'à parfois pas autant d'idée que nous pouvons en avoir et je pense qu'il est bon de faire ... hm, disons une version alternative, afin de pouvoir lui donner un choix différent, vu qu'il paye pour obtenir sa commande. Enfin, s'il est justifié bien sûr et qu'il correspond à l'âme que nous souhaitons mettre dans nos peintures. Et je serais ravi de tenter l'impossible, lui dit-il en souriant et en examinant la commande.

Invité

La vache, effectivement cette commande n'étais pas simple. Des contraintes ardues surtout quand associées aux éléments. Cependant, Charles avais fait un petit quelque chose tout de même, en écremant un peu les éléments proposés, sous peine de sur-surcharger la peinture. Il se recula un peu pour mieux voir et se tourna vers Elisabeth.

[RP] Une "promenade" BanEliSMALL-1

- Qu'en pensez-vous ? Votre contrainte de faire une petite peinture à compliqué les choses pour moi qui ai l'habitude de bien aérer mes peintures, surtout à cause de tous les éléments verticaux que vous proposez. J'ai donc un peu simplifier, mais j'ai respecter la commande. Qu'en pensez-vous ?

La blonde avait laissé tranquille l'homme pendant qu'il peignait et était aller faire un tour voir les clients. Elle avait eu le temps de revenir avant qu'il n'eut finit mais elle n'alla pas regarder par dessus son épaule. Elle même n'aimait pas cela aussi elle ne l'avait pas fait. Quand il l’appela, elle se dirigea vers la peinture un verre de Bourgogne à la main.

Vous avez parfaitement réussi à utiliser l'image de base. C'est une forme tout ce qu'il y a de plus classique mais qui est parfaitement exécuté. L'harmonie des couleurs est là et la manière d'étaler la peinture pour la calligraphie est une très bonne idée.

Elle fixa la peinture et regarda le bas.

Décidément ces éléments gâchent tout mais ça n'est pas votre faute. Techniquement parlant rien à dire.
Alors j'aimerai vous tester toujours sur cette peinture parce que étant mon choix c'est plus facile pour moi. En fait j'aimerai que vous la fassiez comme vous le sentez, sans contraintes d'aucune sortes, ni de taille, ni d'éléments, rien, vous êtes totalement libre. Est ce que cela vous tente ou préférez vous réaliser une autre commande test ?

Invité

Charles sourit en l'entendant et inclina la tête pour la remercier du compliment.

- Ma foi, pourquoi pas ... Vous avez tout de même une idée de quelle ambiance vous voulez que j'y mette ? Non parce que, une peinture est tout de même faite pour un client spécifique, il faut que cela lui corresponde un minimum.

La blonde hésita ... en fait non elle n'avait point d'idée car le couple représentait ce qu'elle voulait faire passer.

Et bien non, en fait c'est le couple qui donne le ton dans cette commande. En plus il arrive que des clients vous fasse le même coup que moi maintenant. Je suis curieuse de voir ce que vous aller nous produire.

» [rp] promenade dans les couloirs.