[rp] promenade dans les couloirs.

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Il est vrai qu'elle ne proposait pas ce genre d'attente à tout les clients. Mais il faut dire que Hubert était son premier client homme, dommage qu'il n'ait pas commandé quelque chose pour lui, la blonde l'aurait aidé volontier à se vêtir. On ne pouvait pas dire qu'il avait l'allure d'un prince, toutefois il avait l'air gentil et regardait la sulfureuse de manière très flateuse. Le prenant par le bras elle trouva pretexte de lui montrer les différentes salle où travaillaient dur les artistes.

Vous voulez voir un peu les dessous de l'atelier? Les artistes travaillent dur.

Elle lui sourit et montre des tableaux accrochés qui étaient aussi réalisé par les grandes peintres. Guettant la moindre réaction de l'homme, espérant qu'il apprécie autant qu'elle la promenade.

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[rp] promenade dans les couloirs. Hubert10

Comment Hubert fut entraîné dans un atelier de couture ? Je vous explique ! Tout commença quand la blonde Élisabeth lui demanda –voir même à la limite d’un ordre- de se rendre aux Doigts d’Or pour commander pour elle deux robes. Évidemment, il n’aurait pas à parler ou sinon, très peu, il avait juste à donner la lettre que la blonde avait écrit et hop, roule ma poule ! Bien… tout se passa très bien jusqu’à son arrivée dans l’atelier. Un peu perdu –un peu beaucoup, dirais-je- il demanda s’il y avait quelqu’un. Tadaaaaam ! Une ravissante jeune femme fit son entrée dans la salle des commandes. Comment réagit Hubert ? Oh bah… n’allez pas chercher bien loin ! Le Hubert, lui, se rince l’œil depuis qu’Aphrodite a fait son entrée dans la salle. Il faut dire que l’hôtesse n’était pas mal du tout ! Heureusement que la blonde n’était pas là car sinon, il aurait eu droit à une tape sur la tête…

Mouaaaaaaahhh !! Bref ! Après avoir rapporté la première partie de la commande, voilà que le page était entrain de se promener avec l’hôtesse dans les couloirs. Au premier abord, il trouvait l’atelier particulièrement bizarre mais au fur et à mesure qu’Aphrodite et lui avançaient, il se dit que finalement, c’était l’univers des créatrices. Il adressa un sourire à la jeune femme et lui répondit :

Si cela peut vous faire plaisir alors oui, je serai ravi de voir les dessous de l’atelier !

[Edit : Rajout de l'avatar de Hubert]

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La ballade était agréable, tout du moins pour la blonde qui adorait les coulisses de l'atelier. Les portes entreouverte laissait aperçevoir les couturières sur leurs retouches ou en pleins essai.Quant aux peintres ils élaboraient de magnifiques toiles... Certaines pièces étaient fermés pour préserver la surprise de nouvelle créations. La sulfureuse fit signe de son index porté à sa bouche de ne pas faire trop de bruit. Cependant elle invitait Hubert d'un geste de la main à se pencher pour faire le curieux s'il voulait voir ce qui se tramait dans les pièces.
Un couloir, puis deux, puis finalement ils se retrouvèrent dans le couloir où chaque tenues étaient mises sur des mannequins de bois afin que l'on puisse se faire une meilleure idée du rendu. Ici le bruit ne posait aucun soucis, ce qui arrangeait la pipelette qui mourrait d'ouvrir la bouche pour lui poser maintes questions.

Alors messire....euh? M'avez vous dit votre nom? D'ou venez vous?

Elle s'arrêtait dejà là pour ne pas frenchir les limites....ces fameuses limites dont elle se contrefichait au final mais la politesse était la politesse. Elle respecta donc le conventionnalisme.

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Hubert continuait donc la promenade avec la ravissante Aphrodite. Tout se passait bien, pour le moment… Sur invitation de la blonde, Hubert se pencha légèrement pour entrevoir les couturières en plein travail, ainsi que les peintres sur leur œuvre. Il sourit de plus belle en voyant la blondinette fait signe de ne pas faire de bruit. Décidément, il aimait de plus en plus cette balade !

Il regarda la blonde après avoir entendu ses deux questions et ne put s’empêcher de sourire :

Oui, charmante demoiselle, je vous ai dit mon nom. Hubert, je me nomme Hubert…

Comment lui dire que le nom de famille qu’il portait était d’un ridicule ?

Hubert… tout simplement !

A nouveau, un sourire se dessina sur ses lèvres puis il reprit :

D’où je viens ? Je viens du Saint Empire ! Plus exactement de la Lorraine ! Cela fait quelques temps que je ne suis pas retourné dans ce duché…

Une légère pointe –oui oui, vraiment ! Une toute légère pointe- de tristesse ce fit entendre à la fin de cette phrase. Il toussota et sourit :

Et vous jolie demoiselle ? Cela fait longtemps que vous travaillez dans cet atelier qui est très charmant, d’ailleurs !

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