[IMPAYE] Plus la courronne est lourde, plus il faut de froufous.

Invité

Tagada tagada tagada. non ce n'était pas les sabots d'un cheval sur les pavés mais le bruits de ses doigts qui courraient sur l'établis de bois. Elle n'était plus venue passé commande depuis un moment, réalisant jusque là ses propres vêtements elle-même, mais il lui fallait reconnaitre que porter du made in DDO, ça faisait du bien aussi de temps à autre. Son époux lui se serait probablement passé, mais c'était jour de liesse et toutes les folies étaient donc permises.

- Excusez-moi... Y aurait-il quelqu'un ?

Invité

Elle n'était pas là, elle cousait des robes, quand elle pensait qu'elle avait besoin de quelques bijoux pour cette robe. C'était un costume très cher, une robe d'une femme noble, et elle était fière de le faire. Mais soudain elle entendit quelque chose. Quelqu'un.

- Excusez-moi... Y aurait-il quelqu'un ?

Peut-être qu'elle était une cliente? Elle est allée à elle. Il n'y avait personne pour le faire, donc elle a dû.

- Excusez-moi, ma dame, je suis Adela Figueros, je suis une couturière de l'atelier. Puis-je vous aider, ma dame?

Elle était nerveuse. Comme nerveuse comme elle n'a jamais fait auparavant. Elle n'avait pas à faire celui-là, de sorte qu'elle ne savait pas quoi faire. Mais parfois elle a entendu Gigi, même Jehanne. Mmmmmh... Jehanne... Où était-elle?

Invité

Un grand sourire s'afficha sur sa face alors que l'une des couturières de l'atelier venait à sa rencontre.

- Oh mais je vous connais, j'ai eu la joie d'observer votre travaux, ils sont réellement bluffant !

Ses doigts cessèrent de marteler le bois de l'établis, et elle fit tourner l'une de ses lourdes bagues autour de son index avant de poursuivre.

- Je souhaiterai renouveler quelques pièces de ma garde-robe. Serait-il possible de passer commande ?

Invité

Adela a souri, et asintiendo avec la tête elle lui a répondu.

- Naturellement, dites-moi ce qui est ce que vous voulez et je me chargerai de le faire savoir à las couturières de l'atelier.

Invité

Bien j'ai apporté quelques patrons avec moi. J'espère que cela suffira.

Ce faisant elle les disposa sur la table.

Il n'y a pas d'ordre de priorité, je sais trop comme l'inspiration est une petite fille capricieuse, aux couturières donc de choisir le ou les modèles qui les inspirent le plus.

[Seuls les modérateurs ont le droit de voir ce lien] Attente couturière

[au niveau des teintes et des coiffures tout pareil, en roux bien entendu. Elle a de très très longs cheveux. je vous passe sa tronche ce soir.]

Invité

Vous avez choisi des modèles très beau! Je vais dire à las couturières, quand las robes sont faites je vais vous dire, ma dame.

Elle a essayé de faire une révérence. Pour quoi? Parce que la Renarde semblait d'être une personne très importante, et elle était si pauvre... Alors, elle fait la révérence et se rendit immédiatement à dire à propos de la nouvelle commande.

Invité

[Un peu à la bourre voilà le screen : [Seuls les modérateurs ont le droit de voir ce lien]

Invité

Parce que l'inspiration était plus importante qu'un ordre sur un registre, j'avais commencé par la troisième tenue. Il avait fallu commander beaucoup de perles et de bijoux pour ce très riche ouvrage.
Je le plaçai finalement sur un mannequin, laissant Gigi prévenir la Duchesse, qui était, j'avais du mal à le croire, également ma collègue...

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Invité

J'apportai, quelques temps plus tard, une autre tenue. Belle et fastueuse, mais somme toute, simple à coudre. C'était une tenue parfaite pour l'hiver, car elle était de velours doublé de soie, et j'aurais donné cher pour avoir de quoi m'en offrir une semblable... J'espérais qu'elle plairait, elle aussi, à la Duchesse, et je la plaçai sur un mannequin. Je ne prévins pas Gigi, cette fois. La Renarde devait déjà avoir reçu un courrier pour la première robe, elle trouverait la seconde par la même occasion.

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Invité

Elle avait reçu un courrier pour la prévenir que sa commande avait en partie réalisée. Sans se faire prier donc, elle accourue pour se rendre à l'atelier. Sa surprise fut grande quand elle pénétra la pièce de la salle de commande et qu'elle vit entreposée deux somptueuses robes. Il n'y avait pas à dire, les voir en vrai, sortie tout droit de son imaginaire et des patrons qu'elle avait fait apporter, c'était quelque chose. Pour un peu elle en aurait été verte de jalousie.

Instinctivement elle se mordit la lèvre, tourna plusieurs fois autour des modèles pour les regarder sous toutes leurs "coutures", avant de lâcher un soupire d'aise.

- Je n'ai pas besoin de demander qui est la couturière qui a réalisé ces toilettes, je reconnais sans hésiter la griffe de l'apprentie de feue Jehanne. Cette femme à de l'or entre ses mains...

Un tel ouvrage l'avait émue au plus au point, aussi se laissa-t-elle choir sur un siège, à présent dépitée en constatant le chemin qui lui restait encore à faire pour atteindre cet excellence.

[Bon je suis super bluffée, et j'ai noté deux détails qui m'ont fait beaucoup sourire, d'abord les tâches de rousseurs. C'était bien vu ! J'en met sur les réalisations de mon perso du coup J'AIME, et le petit L en or et en perle autour du coup de la première réalisation. ça aussi je valide !]

Invité

Et l'apprentie - l'ancienne apprentie ! - arriva. Car durant le voyage de la Renarde, la Portugaise - moi - avait, de son côté, achevé la dernière tenue. Le tissu était chatoyant et riche, et j'avais pris grand soin au moment de le coudre pour n'en rien gâcher. Je savais les problèmes financiers de l'atelier... La robe n'était, du coup, pas posée sur un mannequin, mais soigneusement emballée. J'avisai la Duchesse et, la tête baissée, lui tendit le paquet.

-"Pour vous essayez..."

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Invité

Et de s'empresser d'essayer cette merveille, aider de sa suivante qui ne la quittait jamais.

- Magnifique ! Magnifique ! Ce gris perlé est chatoyant ! Me voilà parré pour affronter l'hiver ! Oh Brivael touche donc cette fourrure, c'est merveilleux !

Se tournant alors vers la créatrice.

- Qu'est-ce donc ?

[serait-il possible de lui rajouter quelques bagouses aux doigts ? Généralement elle en a pas mal. Si c'est trop de boulot, laisse tomber c'est aussi très beau comme ça. ]

Invité

Cet assaut de mots, cette question, cela me mit mal à l'aise. La duchesse était magnifique, dans cette robe, et moi, je ne savais trouver comment dire ce que je souhaitais. Je parlais vite, et la Bretonne aurait eu bien du mal à tout saisir :

-"Não sei o diser, é pele... é lobo ! Lobo... Loupe ?"

Spoiler:

Invité

De longs jours d'été plus tard, ma collègue ibérique, qui se faisait discrète, plus souvent en voyage chez les siens - comme je l'enviais ! - avait achevé la tenue rouge, avec une coiffe sublime. Je la dressai sur un mannequin, et Gigi prévint la Renarde, la Bretonne... Mais tant que la guerre durerait, pourrait-elle venir la chercher ? Mystère...

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Une nouvelle robe s'ajouta à la précédente qui était en attente de sa propriétaire. Vic la présenta soigneusement et envoya une missive à la cliente.

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Et une autre tenue arriva et c'était la dernière. Une robe attendant la cliente, elle renvoya une missive à la cliente.

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Une petite dernière missive pour prévenir de la réalisation complète de la commande.

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» [impayé] Paraît qu'il faut souffrir pour être belle.. ben non, il faut venir au DO, c'tout...
» [IMPAYE] Bannière.
» [RP] Faut qu'on parle
» [Impayé] Bannière...
» [IMPAYE] une robe