[RP] Un retour ou comment être en cloque ou ...

Va voir ailleurs si on y'est ! Messages : 3081 Date d'inscription : 07/03/2011

... Ou comment avoir perdu deux enfants,perdu tous les hommes que l'on à aimé et être toujours en vie !

Oui,comment être en cloque,après s'être laisser approcher par un Italien.
Comment avoir perdu le dernier homme que l'on aimer,car il c'est tué.
Comment avoir perdu ses deux enfants temps aimé ...

Comment être Sélèna? Vêtu d'une tenu cousu par ses soins,elle vint à l'atelier.Une houppelande des plus sublime,le tissu n'étant pas en reste,la couleur profonde du bleu nuit coule sur le sol,comme consteller.C'est du brocart.Un brocart d'argent,ses longs cheveux blond son laisser lâche,une tresse fine autour de l'arrière du crâne,son ventre est visible,presque 6 mois de grossesse pour cette belle blonde.Ses malles sont là.Nombreuse,elle coud beaucoup et à décidée de vivre désormais aux Doigts d'Or.

La voilà donc dans le salon public,pièce plutôt spacieuse,celle-ci est envahit des malles de la bonde,remplit de tissus,de tenus,d'objets,d'arme … Remplit de se qu'elle possède.Le géant Keihlan est derrière,grand,blond,les cheveux long,les yeux claire,la peau dorée,la quarantaine … C'est lui son gardien,à sa main,un lourd trousseau de clé.
Une maison à Valence
Deux établissements de bains laisser à l'abandon
La clé du domaine de la « sœur » celle,qui durant des années de vie à partager la sienne.
Et une dernière,petite menant à un repère au sein des miracles,enfouit aux quartier basilik …

Elle est là,fatiguée,au milieu des malles.Elle est là est désormais restera ici …

« - Les filles ? Gigi ? Aphro ? Vic ? Scylla ? »

Sa voix résonne comme un appel au secours,ses larmes sont retenu depuis le début du voyage,refusant que le LD les voient,mais les Doigts d'Or,c'est devenu son second chez elle,les Doigts d'Or peuvent voir ces larmes.

Invité

Et ce n'est ni une fille, ni Gigi, ni Aphro, ni Vic, ni Scylla qui pointe le bout de son nez, oh non. C'est un maladroit, les traits tirés d'être resté enfermé toute la journée pour porter les dernières touches à la dernière tenue en cours de création. C'est un blond à la chevelure soyeuse & de plus en plus longue, aux grands yeux d'un bleu passé, au visage d'ange descendu tout droit de la Lune.

Sur ordre d'une Irma prévenante, il a donc laissé sa robe, son taffetas & ses aiguilles pour prendre l'air. Juste une minute.
Le temps de tomber sur la grande blonde Selena, celle qu'on nomme la Sauvageonne, celle qui lui semble déjà enceinte jusqu'au cou, celle qui a tant d'assurance & de colère.

Comme un idiot, il s'arrête en la voyant, les bras ballants, fasciné par sa beauté. Non, ne croyez pas que Lubin tombe amoureux de toutes les jolies femmes qu'il croise, oh non. Il a juste l'oeil & la sensibilité qui sied aux artistes des Doigts d'Or, & l'intime conviction qu'au-delà des robes & peinture, c'est la femme & son charisme qui est Art & Beauté.
Elle a l'air si seule, malgré son ventre rond & l'homme qui la suit comme une ombre. Elle a l'air si triste, si désœuvrée...

- Maître Vikilord ?

Il n'ose pas, non, l'appeler par son prénom, il n'ose pas, non, s'approcher & poser une main compatissante sur son épaule, & encore moins la serrer dans ses bras pour lui jurer que tout ira mieux. Il ne sait pas ce qui lui arrive, en vérité, & ne veut pas savoir.
Il se contente de voir qu'elle a apporté malles & bagages, & de supposer qu'il faut l'installer.

- Je vais vous aider...

C'est teinté d'une promesse, peut-être, alors qu'il s'approche & attrape la poignée d'une malle. Tout gringalet qu'il est, il va sans doute se casser le bras, mais ça n'a pas d'importance.
Lubin est maladroit, oui, Lubin est boulet & traîne avec lui une armada de catastrophes. Mais Lubin a le coeur plus sensible & touché que n'importe quel homme.

Invité

La maigrelette où était-elle? Dans un coin comme souvent! En effet l'ancienne fille des rues avait pris pour habitude de se nicher dans un coin pendant son temps libre, une vieille habitude n'est ce pas, surement une mauvaise, elle se m'était dans un coin noir et discuté avec elle-même enfin plutôt c'est autre "elle"

Tu devrais te faire plus belle pour attirer les regards sur toi

Ouiii comme l'riches ici j'suis d’accord avec la vilaine pour une fois !

Mais ...mais comment ?

Commence donc par te laver, frottes-toi fort pour enlever cette crasse et faire briller tes cheveux noirs, ta peau pale tes lèvres rouges et tes cheveux noirs ébène ne peuvent qu'attirer les regards !

Pas trooooop fort non plus faut pas qu'tu te fasses bobo hein !

Elle hocha la tête et alla en cuisine, endroit peu fréquenté à cette heure et se fit chauffer de l'eau, elle bloqua la porte avec une chaise, ne pouvant pas pousser la table, elle était bien trop impuissante pour cela.
Puis elle se lança et la ou les femmes lavaient les vaisselles dans un grand bac, elle, elle y entrer nue pour se laver, se frottant encore et encore l'eau devint pale mais sa peau elle, devint brillante comme un sous neuf !

Elle termina enfin et sorti de la dedans avant de se regarder dans le reflet d'une vitre

Oui tu es bien mieux comme cela

Oui troppppppp beau !

Belle tssss ....

Oui belle c'est pareil d'abord !

Elle se sécha un instant avec ce qui passa par la avant de remettre ses affaires et voila que sa tête tambourine à nouveau

Tu te fiches de moi, tu ne vas pas remettre ça, c'est une honte même pour les clients que tu sors, Gigi aurait pu te fagoter quand même !

Gigi c'est grâce à lui que nous sommes ici au chaud avec de quoi manger ne l'oublie jamais ...

Oui c'est le plus fort je l'aime ! Ne l'oublie jamais !

Trouve de quoi t'habiller pas un truc de luxe mais un vieux vêtement tu trouveras cela dans la réserve j'en suis sur

Ça couté coute rien de regarder Scylla !

Voler ce n'est pas bien

Tu voles par tu emprunter et c'est pour le bien de l'atelier aussi

Elle soupira avant d'aller voir et trouva très vite son bonheur, elle essaya, alluma une bougie se regarda en entendant :

Spoiler:

PARFAITE

Elle sourit

Bien maintenant retourne travailler

Elle hocha la tête partie pour travailler quand elle entendit un bruit venant de la salle publique, elle glissa la tête à la quête d'un éventuel client perdu quand elle vit Séléna et un homme encore inconnu, en effet elle connaissait les artistes par leur prénom et leurs œuvres, mais pas par leur visage, du moins pas sans les avoirs vus au moins une fois !
Elle regarda la scène un instant; la dame gentille qui la comprenait elle et les autres voix dans sa tête pleuraient

Elle semble triste, j'laime bien elle en plus

Triste comme nous Scylla ...

Avance essaie d'avoir un sourire

Et Scylla avança mal à l'aise; elle si discrète d'habitude ...

Bon...jour

Puis regardant celle qu'elle appréciait tant

Ça ne va pas?

En ce moment elle trouva que l'atelier roulait bien, étais-ce les clients qui venaient en nombre réduit ? Non, mais plutôt le recrutement efficace de ses maitres. Que ce soit au niveau des toiles, que des vestements, l'attente des commandes diminuées rapidement, laissant donc plus de temps mais aussi de plaisir aux artistes de réaliser leurs travaux.
Et comme cela allait de paire, Vic prenait plus de plaisir avec la clientèle ayant moins d'excuse à trouver pour rassurer mais aussi moins de relance auprès des couturiers. Car fallait le dire, ce n'était pas agréable comme situation mais cela faisait parti de son travail, alors elle mettait les rondeurs là ou il fallait pour faire passer les pilules de chaque côté.
Alors qu'elle regardait le registre des impayés non loin de l'entrée, elle entendit son prénom... Elle regarda du côté de la clientèle, personne ! Elle alla donc du côté du personnel et vit Selena accompagnée d'un grand homme et de quelques malles. Lubin était déjà là ainsi que Scylla.

Elle savait bien que la vie de Selena était douloureuse, elle avait toujours eu cette sensation de femme torturée, brisée mais n'avait jamais posé de question.
D'un ce n'était pas son genre de se mêler de ce qui ne la regardait pas mais de deux, elle n'aimait pas s'incruster dans la vie des autres, cette sensation au fond de toujours gêner. Par contre, elle avait toujours une oreille attentive lorsqu'on souhaitait se confier à elle ainsi qu'une langue coupait pour garder les secrets. Mais comment les gens pouvaient ils le savoir si elle ne se proposait pas ? Dur dilemme pour la rousse de faire le premier pas.

Lubin proposa son aide tandis que Scylla prenait des nouvelles. Que pouvait elle bien faire de plus ? Elle resta donc prêt d'elle, ne sachant quoi dire. Peut être n'avait elle pas envie qu'on la plaigne ? Peut être voulait elle être seule ? En tous cas, elle était là pour elle...

Va voir ailleurs si on y'est ! Messages : 3081 Date d'inscription : 07/03/2011

La jolie blonde vit Lubin arrivée et su qu'elle ne serait jamais plus seule,Aux DO il y avait toujours quelqu'un,elle posa légèrement sa main sur sa joue,plongeant ses yeux emplit de reconnaissance dans les siens et Keih aida le jeune homme à porter la malle.Puis vint Scylla et Victory,Selena ne remarqua pas le changement d'allure de la triple hôtesses mais lui sourit et répondit simplement,alors que Vcitory rester silencieuse.De cette voix,sans joie,sans once d'émotion :

"- Aidez-nous ... Je m'installe à l'Atelier,je préviendrais ma suzeraine pour la prévenir et je demanderais à 'tia et Elisabeth plus tard ... Je ne veux pas ... plus être seule "

Les derniers mots avaient trébucher,elle avait eu du mal à les dires.Sa gorge lui faisait horriblement mal,elle la sentait nouée,sèche.La blondinette fit quelques pas tremblant vers les coins aux artistes,ces coins de l'atelier,fermer la plupart du temps aux clients,ces coins qui permettaient aux artistes de se reposer,de vivre loin de chez eux,dans l'atelier quelques temps,pour travailler,ces coins qui abriter les permanents de l'atelier.L'un de ces coins,où verraient surement le jour son enfant.

En faite une lettre avait déjà était envoyer avant son arrivée en Bourgogne à Voiron,une à Varce,une à Alix et une Roynac ... Au cas ou :

Citation :: A vous Axel d'Irissarri,Baronne de Voiron & Varce,Dame d'Alix & Roynac,vous qui êtes ma Baronne.
De moi,Selena Vikilord,

Je suis désolé,mais je doit faillir à se que je vous est promis,en devenant votre vassale,je doit quitter le Lyonnais Dauphiné,je m'en vais en Bourgogne,en voilà les raisons,elles sont simple,Aïna et Killian son récemment mort et Chris c'est suicider,ma vie se résume à la couture depuis quelques mois,depuis que ma grossesse et visible et m'empêche de faire grand chose,comprenait que les difficultés que je rencontre à être enceinte,à enfanter,je tien à préserver cet enfant.

Si vous me chercher sachez que je serait en Bourgogne,à l'Atelier.

Bien à vous Baronne

Selena

Alter Ego de Dieu sur terre Messages : 4864 Date d'inscription : 28/07/2009

Ce Matin La la gitane s'adonnait à un rituel plus qu'ennuyant puisqu'elle le faisait uniquement pour prouver à la Stilton sa bonne volonté dans la gestion des ressources de l'atelier.
Le rituel consistait a lever son divin popotin de sa salle de travail pour faire le tour des salles de travail, sous atelier pour ensuite finir a la salle des stock faire un similis d'inspection et d'inventaire.

Elle en profitait pour faire porter a Gigi les quelques tissus les plus beaux qu'elle caressait des doigts signe qu'elle les choisissait pour ses futures créations.

C'est donc en revenant de la chambre aux tissus, talonnée par un Gigi portant à l'épaule une pièce de drap de flandres noir pour les futures tenues du prince Charlemagne qu'elle prit part à l'attroupement formé autour de Séléna.

Elle avait haussé les sourcils et fait la moue avant de se rapprocher, claquant des doigts pour que Gigi la suive.

- bonjour...

Annonca t'elle d'une voix claire et forte se delectant des regards qu'elle attirerait.

- Que se passe t'il ici ? Séléna , y a t'il un problème ?

La Di Juli ne connaissait pas bien la Vikilord, elle savait qui était la couturière, puisqu'elle aimait a arborer les robes créées par celles ci, elle connaissait la mère, pour avoir quelques fois aperçus ses enfants, mais elle ne savait rien de la femme.
Pourtant son intuition lui indiquait que la jeune italienne n'était pas dans son assiette et c'est un visage inquiet qui s'adressa alors à la jeune femme dont le ventre ne pouvait tromper une mère, une des Juli fort envieuse d'encore porter la vie après son précédent echec.

- Allez vous me répondre !?

Elle le montrait fort peu, mais la Di Juli était toujours soucieuse du bien être des membres de l'atelier qu'elle considérait comme une grande famille.

Lui, il se cache.
Lui, il se terre.

C'est qu'il n'a plus aucune légitimité ici.
Et d'ailleurs, si jamais il en a eu un jour un peu, c'était seulement parce que Maitre Breiz l'avait imposé, et depuis son départ, il s'était fait tout petit pour ne pas se faire remarquer.
Il y avait des jours qu'il ne cousait plus rien et que sa main le faisait souffrir.
A l'été, peut être qu'un peu d'habileté lui reviendrait.
Quand l'humidité partirait.

Alors quand du remue ménage retentit, il glissa la tête hors de sa chambre, tendit l'oreille.
Puis, poc, poc, poc, il descendit voir ce qu'il se tramait.
Lentement, il s'avança.
Le temps pour lui de comprendre ce qu'il se tramait, puis un murmure, vers Dieu.

Il y a encore une pièce de libre dans l'aile ouest, Maitre.

Invité

Et elle, elle regarde
Et elle, elle ne dit rien
Et elle .... Elle ne connait pas dieu ...

Elle venait pour aider, mais voila que beaucoup de monde arrivait, et Scylla, ben, elle n'aime pas les mondes, enfin, pas trop ... Elle recula donc légèrement ce m'étant dans un coin d'ombre et observant la scène en silence, comme un fantôme, sans un bruit, sans un son, mais les yeux grands ouverts et prête à intervenir en cas de problème prés de celle qu'elle estimait plus que tout : Séléna
Puis la Attia arriva, Scylla leva un sourcil, elle voyait bien que les gens changeaient en sa présence, elle, ça ne lui faisait rien, elle ne savait pas qui c'était, pour elle, son Dieu, c'était Gigi : son sauveur ! D'ailleurs il était là, elle lui sourit, comme pour lui dire " bonjour" mais en silence, puis un autre homme arriva, Scylla le fixa une seconde, il n'avait qu'une jambe et elle ne l'avait jamais vu également, elle pensa " mais c'est un village ici ma parole ... "

Que faire, que dire... rien pour l'instant, la dame qui était rentrée en compagnie de Gigi venait de poser les questions essentielles et pour Scylla il ne restait plus qu'à attendre, tranquillement, dans son coin.

Va voir ailleurs si on y'est ! Messages : 3081 Date d'inscription : 07/03/2011

La blonde leva le visage quelques instants vers Attia qui venait d'apparaître.Tom sortie de sa cachette,et pris la parole.Elle se retourna vers Attia et dit,quitte à laisser un silence de mort sur l'assemblée :

"- J'aimerais vivre à l'Atelier,maître Di Juli. Mes enfants sont morts,Chris,leur père aussi,il c'est tuer."

Une larme roula sur la joue caramel de la belle.Le silence serait peut-être présent.
Peut-être.
Les yeux de la Vikilord virèrent à un inquiétant vert,et sa vue se brouilla,d'autres perles glissèrent sur sa peau.Elle pleure,sans le savoir,les larmes coule sans qu'elle le souhaite,sans que son expression change,son visage resta comme si de rien n'était sur l'Italienne,les larmes sécheraient,sans qu'elle est à les essuyer,déjà elle sentais sur ses lèvres leur goût salé.

Alter Ego de Dieu sur terre Messages : 4864 Date d'inscription : 28/07/2009

Une pièce de libre ?
Une sauvageonne sortie de nulle part?
Selena qui a perdu mari et enfants ?
Trop d'information d'un coup, trop de choses à analyser et comprendre d'un coup. Une demande claire et précise.
Des larmes.
Celles d'une mère qui comme elle a perdu la chair de sa chair.
ça elle comprend.
Tout de suite, violemment, sans détour, sans autres explications à donner.
ça fait mal, très mal. ça fait remonter des souvenirs, elle comprend, trop bien, trop fort.

Sa lèvre inférieure tremble des larmes qu'elle retient.
Aucun mot ne peut franchir la barrière des lèvres.
Elle fait un pas en avant et les bras mats se lèvent pour entourer la jeune italienne.

Si la Des Juli n'a jamais été tres proche de la Vikilord, à cet instant, elles se reconnaissent, elles se ressemblent et l'etreinte en est le témoin.

Doucement les lèvres murmurent au creux de l'oreille amie.

- Tu es ici chez toi...

L'etreinte se poursuit et alors qu'une larme roule sur la joue attiléenne, elle se recule, l'essuie, et plonge regard de charbon dans l'azur de la blonde.

- Choisis la pièce que tu souhaites. Tom... vous ferez savoir à Elisabeth que je souhaite que maître Séléna ne manque de rien.

Elle jeta un coup d'oeil aux autres personnes présentes, souriant tristement, consciente que chacun essaierait à sa manière de soutenir la jeune femme.

Va voir ailleurs si on y'est ! Messages : 3081 Date d'inscription : 07/03/2011

La blondinette sentie l'Italienne s'approcher d'elle,elle la laissa faire,ses larmes brouillant de tout façon sa vue,l’étreinte et légèrement rendu,timidement,hésitant à la toucher.Puis l'azur de la blonde rencontre le charbon de la brune.un "merci" fût murmurer à l'Italienne.
Dieu dit la chose,l'intendante n'a qu'a bien se tenir ! Les mots sont dit,Selena vivra désormais aux Doigts d'Or,elle prend la main d'Attia,une main qui la secourut,elle ne veut pas s'en défaire,et entraîne l'Italienne vers une des pièces vide désigner,et fait signe aux autres :

"- Ici,ça ira "

La pièce est loin d'être grande,mais bientôt la jeune femme l’aménagerais,elle qui aime à dormir dans son immense lit blanc,voilé et prendre des bains parfumée aux huiles.Cette pièce peut-être froide,elle deviendra tout autre,un cocon,un cocon de réconfort pour un esprit fou,un cœur brisé et un corps tout aussi brisé.

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