[Attia realisée / Jehanne réalisées] La morte rouge qui passe

El Sol brillaba en lo alto. Sabía que ella estaba muerta, que Béatrice jamás regresaría, pero no se podía creer que fuera verdad. Y ahora ella estaba en Francia, porque quiso acudir inmediatamente a dar el último adiós a su buena amiga. La apreciaba tanto... Recordaba la primera vez que la había visto en Louvre, cuando acudió a la semana de la moda, y le pareció sentir el abrazo con que la propia Reina de Francia le había recibido. Lo sentía aún reciente, aquel afecto que se profesaron entre sí y que hicieron oficial al firmarlo sobre unos papeles. Ahora, papel mojado. La verdadera amistad se comprobaría en aquel momento. Se acercó al taller por el que había pasado la última vez que pisó Francia. No había cambiado en nada, y por un segundo eso le alegró. Al menos aquel taller permanecería.
Miró de un lado a otro después. Su comitiva necesitaría trajes de luto, pero ella no: ella ya había sufrido el luto en sus propias carnes y ya tenía suficientes vestidos negros, por lo que nada más entrar al taller avanzó hasta una sala que, tal y como le indicaron, se recogían los pedidos que tuvieran que ver con el Luto Real.

- Mis señoras... -dijo, apesadumbrada- Quisiera hacer un gran pedido, y también dar el pésame a la abuela de la difunta reina. He oído que se encuentra aquí. -concluyó, sin especificar quién era. Los guardias reales apostados a los flancos lo indicaban bastante bien, sin tener en cuenta que habían dejado a descubierto el escudo de armas de la reina castellana y que en aquel taller ya le conocían bastante bien.

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Le Soleil brillait dans le haut(grand). Elle savait qu'elle était morte, que Béatrice ne reviendrait jamais, mais on ne pouvait pas croire qu'il fût vrai. Et maintenant elle était en France, parce qu'elle a immédiatement voulu arriver à donner le dernier adieu à sa bonne amie. Elle l'appréciait tant... Elle rappelait la première fois qui l'avait vue dans Louvre, quand il est arrivé à la semaine de la mode, et elle lui a semblé sentir l'embrassade avec laquelle la propre Reine de la France l'avait reçu. Elle le sentait encore récent, cette affection qui a été professée entre oui et qui elle faire officielle après l'avoir signé sur quelques papiers. Maintenant, un papier mouillé. La vraie amitié serait vérifiée dans ce moment. Elle s'est approché à l'atelier par celui qui avait passé la dernière fois qui a marché sur la France. Il n'avait pas changé dans rien, et par une seconde cela l'a réjoui. Au moins cet atelier resterait.
Elle a regardé de long en large après. Sa suite aurait besoin des vêtements de deuil, mais elle ne pas pas: elle avait déjà subi le deuil dans ses propres viandes et déjà avait assez des robes noires, par ce qu'entrer à l'atelier elle n'a rien de plus avancé jusqu'à une salle que, tel et comme ils lui ont indiquée, on reprenait les commandes qu'ils avaient à voir du Deuil Réel.

- Mes dames... - elle a dit, très triste - Je voudrais faire une grande commande, et aussi donner les condoléances à la grand-mère de la reine défunte. J'ai entendu qu'elle se trouve ici. - elle a conclu, sans que spécifie qui est-ce qui était. Les gardes réels pariés aux flancs il indiquaient assez de bien, sans tenir en compte qu'ils avaient laissé à un découvert les armoiries de la reine castillane et que dans cet atelier ils connaissaient déjà assez de bien.

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HRP: Je voudrais faire une commande pour 5 personnes, seulement adaptations. Je vous donne ses visages et les modeles que je veux pour ils, tous des catalogues de Jehanne (sorry ) sauf un!

Pour la dame Froda, le numéro 46 (toute en noire, s'il vous plâit)
Pour la dame Natassha, le numéro 24 (toute en noire, aussi)
Par l' Infante Alanna, la robe E sur le catalogue d' enfants, peut être? (Elle a 8 ans, alors la robe F elle ne peut pas lui porter). Toute noire + or.
Pour l' Infante Byron, la tenue I Maolas sur le catalogue d' enfants, tout noir. Il a moustache, se peut-il effacer? Il a 8 ans aussi. Merci.
Finelement, du catalogue d' Attia, hommes de la noblesse, le numéro 15 s'il vous plâit. Pour Williamwetminster, tout en noire.

La grand-mère de la Reine, en plus d'être préposée à l'accueil, était grande connaisseuse d'héraldique, et un tel érudit ne peut faire l'impasse sur les grandes armes des royaumes de Castille & Léon...

-"Votre Majesté !"

Et bien que peu révérencieuse d'ordinaire, la vieille s'aplatit en une révérence de circonstance.

-"L'honneur est incommensurable, de vous recevoir ici. Je suis Jehanne de Cassagnes-Begonhès."

Elles s'étaient déjà aperçues à la Fashion Week, mais la Reine castillane en avait-elle souvenir ?

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The Queen's grand-mother, in addition to being the stewardess, was in touch with heraldry ; and such and erudite had to know the Realms of Castilla and Leon's great arms...

-"Your Majesty !"

And even if she often has an irreverent attitude, the old woman deaply curtseyed in front of Elena Ruth.

-"There is no greater honor than welcoming you there. I am Jehanne de Cassagnes-Begonhès."

Elles s'étaient déjà aperçues à la Fashion Week, mais la Reine castillane en avait-elle souvenir ?

[Plus tard - Later]

J'apportais, les doigts douloureux et le front brûlant, toutes les tenues, quelques temps plus tard. Je laissai à ma maîtresse le soin d'étiqueter la commande et d'en informer la Reine...

Elle regardait quelqu'un lui parlait. Elle était une vieille femme, très bien habillée, et elle semblait avoir des caractéristiques très similaires à la reine morte et bien-aimée de France. Oui, c'était vrai, elle était sa grand-mère. Elle était en face de Jehanne de Cassagnes!

La reine a fait un geste avec la tête et essaya de sourire de la vieille femme, mais elle ne pouvait pas. Elle se sentait si triste de la mort sa petite-fille...

- Je suis tellement désolée à ce sujet, dame. Si je pouvais vous aider avec tout ce que vous voulez, assurez-vous me dire si elle vous aide à déplacer toutes les douleurs loin de vous. -elle lui dit, puis elle baisa la mai de la vieille femme- J'ai venue ici pour faire quelques ordres pour le deuil, alors voici je vous laisse tout ce que je veux et d'argent pour le payer.

Puis elle donna à sa un peu de papier et lui a demandé combien il serait pour tout ce qu'elle a commandé.