[RP - Phase Jour] C'est jour d'inventaire les DO sont fermés

Invité

Il sentait les pas des personnes courant et aidant les différents bléssés, des paroles s'échangeaient et soudain une qu'il reconaitrait entre toute, sa grande soeur. Il en avait deux grande, et sa c'était la voix de l'ainée, il s'adorait mais les coups bas était légion entre eux, et cela durait depuis... Depuis toute sa vie enfaite quand il avait pus être présent avec ses frères et soeurs. Comme quoi avoir une jeunesse dorée pouvait être bien util, cela permettait de se moquer de tout et de se concentrer sur l'essentiel, l'amusement.

Il se releva en l'écoutant puis lui répondit.

Angel, je veux bien mais les autre personnes ont l'air d'être déjà bien entouré, si tu vois quelqu'un qui a besoin d'aide, dis moi...

Déjà de une, il ne voulait pas que sa soeur imagine quoi que ce soit avec la belle hotesse car il n'y avait rien, qu'un simple jeu de séduction, mais qu'en plus, elle ne le lacherait pas avec sa. Et aussi, sa magnifique soeur avait un coté jalouse et peste, même si au fond, Loguen savait trés bien qu'elle était adorable mais en éxtérieur, elle pouvait faire fuir. Rien qu'a voir son dernier mariage arrangé, enfin pas vraiment, car elle l'avait littéralement sauvé de ce mariage, avec un talent foux, elle avait réusi à la faire fuir en quatre minutes.

Dans le même temps, le médecin arrivait, il l'écouta avec attention. L'amener a l'auberge, cela, il pouvait faire, il la laissa partir vers l'auberge et s'abaissa auprès d'aphrodite, resserant son mantel autour d'elle, il passa ses mains au niveau de ses épaules et de ses cuisses pour la tenir le mieux possible. Puis se releva délicatement en la tenant fermement, direction l'auberge. Il se retourna vers sa soeur:

Bouge pas, je reviens.

Des qu'il franchit la porte, le tenancier comprit tout de suite pourquoi il visitait sa jolie petite taverne. Il lui indiqua ou aller directement, une foix dans la chambre, il posa délicatement Aphrodite sur le lit. Il se mit de coté pour laisser agir le médecin. Elle avait l'air de prendre les choses en main, quand elle le chercha du regard et du couple trouva, il lui dit:

Je ne vais vous embéter plus, je vais tenter de voir si je peux aider ailleurs et je reviendrais dans peu de temps voir si vous avez besoin d'aide.

Redescendant au rez de chaussé de la taverne, il parla avec le propriétaire, il lui expliqua ce que lui avait dit la responssable, qu'elle se chargerais de le rémunèrer pour les demandes et qu'il allait recevoir d'autre bléssé. Une foix fait, il partit rejoindre sa soeur. Il ne voulait pas rester près d'aprhodite, le fait qu'il ne pouvait rien faire l'énerver au plus au point et autant ne pas donner une arme a sa soeur adorée. Une foi devant elle:

Alors, t'a trouvé un autre bléssé qu'on pourrait aider ?

Dans la vie, il y a des morts cons.
Ça arrive.
Regardez, Lully, lui, il a tapé son orteil avec son bâton de chef d'orchestre, et puis, bah... il est mort. Après un passage gangrène, mais tout de même, il faut l'admettre, mourir en se donnant un coup de bâton sur le pied, c'est ballot.

Bah là, ça va être un peu ça.

Parce que, là comme ça, on dirait pas, mais tout autour de nos protagonistes, ça vire, tourne et volte. A toute allure.
C'est l'agitation.
C'est tout de même la moitié du village assemblée devant les décombres fumantes.
C'est les secouristes affairés autour des uns et des autres.

C'est qu'on a un géant évanoui.
Un sévère sévèrement brûlé.
Un Gigi complètement paniqué.
Une engrossée sérieusement évaporée.
Un Lulu et son Irma portés disparus.

Bref, c'est la panique.

Et pendant qu'on s'occupe de la belle blonde à peine blessée, tout ce petit monde là reçoit aussi, sûrement, les premiers soins.
Enfin, j'imagine.
On ne va pas les laisser périr là, tout de même, non ?

Donc, ils sont pris en charge.

Dans l'agitation absolue.

Et Tom ?

Bah lui, il va plutôt bien.

Il se fait tout petit, il est parfaitement ridicule dans son coffre, mais il ne peut pas en sortir, n'est-ce pas ? Ses béquilles ont brûlé dans l'incendie.

Il est là, dans le coffre ouvert, et il se fait tout petit au milieu de toute l'agitation.

Et paf !

Non, ça ne fait pas des chocapics. Ça referme net le coffre. Est-ce une grosse infirmière, du fondement ? Un vigoureux porteur, du coude affairé ?

En tout cas, ça referme net le coffre. Paf !

Sur les cervicales du rouquin.

Des fois, il y a des morts cons. Celle là en est assurément une.

La journée touchait à sa fin, elle était éreintée, tout mener de front n'était pas une mince affaire. Cependant l'incendie était maitrisé, les blessés soignés, tout le monde avait un toit pour la nuit, elle aussi d'ailleurs elle n'était pas en état de rentrer chez elle ce soir. L'auberge allait faire un bon chiffre du coup. Le malheur des uns fait le bonheur des autres.

D'ailleurs elle en était à l'inventaire des personnes pour négocier les prix avec l'aubergiste quand elle se rendit compte qu'il manquait quelqu'un à l'appel. Tom. Mais où était il donc passé celui là. Elle alla demander aux différentes personnes si elles avaient vu l'éclopé de l'atelier. Breiz lui en ferait baver même dans la mort en lui imposant un poids pareil. Non mais elle était trop bonne la meyre. Toujours est il que le boiteux n'était pas dans les parages. Dieu qu'elle en avait marre.

Une fois finie ses tractations elle s'assura que tout le monde avait ce qu'il lui fallait mais aussi leurs affaires personnelles qu'ils avaient pu sauver. Le coffre d'Elizabelle trainait au milieu de son passage, Emmanuel s'en chargerait mais elle allait le déplacer car il la gênait. Sauf que le dit coffre était tout sauf léger, la blonde pestait contre Emmanuel, contre Elizabelle, contre les clients qui avaient fait des commandes, bref un peu tout le monde. Elle se décida à ouvrir le dit coffre pour savoir ce qu'ils avaient emporté d'aussi lourd.

Et là un cri ...

Elle était installée dans cette auberge bien avant l'incendie . C'est dans celle-ci qu'elle était descendue depuis qu'elle était chez les DO. Elle et sa fille y séjournaient depuis. Il y avait depuis quelques temps aussi la nounou de la petite qu'elle pouvait se payer grace à la prime de fin d'année assez conséquente que les do avaient versé à chaque couturier et couturière. Finie de se trimbaler sa fille de partout avec elle, fini aussi de la cacher lorsqu'elle l'emmenait dans son atelier. Elle pensait que personne n'avait été dupe parce que la gamine n'était pas tous les jours trés calme, personne ne lui avait fait de réfléxion mais elle avait l'esprit pus tranquille ainsi avec une nurse à domicile.

En d'autre circonstance, elle aurait trouvé ça chouette d'avoir pour voisins de chambre, les couturiers des Do mais ce soir, c'était plutot triste. Après avoir papoter avec ses voisines, tantot l'une, tantot l'autre, que chacun raconte sa version des faits, qui avait vu quoi, qui a sauvé qui ou quoi... la nuit ayant été longue et éprouvante, chacun regagna sa nouvelle chambre et elle en fit de même.

Sauf... sauf que deux minutes après, la porte de sa chambre s'ouvre doucement et elle sort sur la pointe des pieds, en chemise de nuit, bougie en main, traverse le couloir pour se rendre aux lattines. Elle croise en cours de route Elisabelle qui s'affaire avec un coffre, elle lui sourit , elle allait même lui demander si elle avait besoin d'aide mais l'envie était assez pressante, elle le fera au retour. Elle s'éloignait lorsqu'un cri la fit sursauter. Elle se retourna instinctivement . Elisabeth regardait le coffre ouvert. L'dxpression du visage de la jeune intendante incita Imagine a venir voir de plus prés. Que pouvait-il y avoir de si affreux dans ce coffre. Elle rejoignit Eli et y jeta un coup d'oeil dans le coffre . Elle poussa exactement le même cri qu'Eli mais en plus aigu.

A qui le tour ?

Oui, bon bah ça va, je suis mort, on va pas en faire une maladie aussi...

Hin hin hin hin hin...

Ca ricane au dessus des crieuses.

Bien fait !

Regardez comme je suis joli, la tête renversée en arrière hors du coffre, si bien renversée qu'on reconnait bien la marque qui a été faite par le couvercle ?

Paf !

Je suis mort.

Au moins, j'ai deux jambes à moi, maintenant.

Fini de ricaner dans mon dos !

Fini de se moquer !

Et puis je préfère vous le dire tout de suite : le Soleil, c'est pas pour moi, et la Lune non plus. Moi, je reste là.
Et je suis pas près de vous lâcher !

A la lueur de la bougie, la scène prend une dimension démoniaque. Crispée sur la bougie, elle ne peut soutenir plus longtemps le regard sans vie qui semble la fixer. Elle ne sait ce qui a pu lui arriver , ne comprend pas ce qu'il fout dans ce coffre mais elle a bien vu que quelque chose n'allait pas sur ce visage, un truc qui n'était pas comme d'habitude, comme si.. comme si.. oh mon dieu ! comme si on lui avait défoncé sa gueule !! Elle panique et essaie de remettre ses idées à l'endroit. Déjà procédons par ordre :

- Oh my God !! il est mort ?

et pour le cas où Ely n'aurait pas entendu :

- Ce n'est pas possible.. il est mort ?

La lueur de la flamme fait danser les ombres sur le visage du pauvre Tom. Elle n'en mène pas large , elle est à deux doigts de lacher un autre cri quand elle réalise qu'il se peut que.. même s'il n'y a pratiquement pas de chance pour que .. il se peut que ... et là son esprit se ressaisit immédiatement quand elle comprend ce qu'elle doit faire pour le vérifier. Elle entend sa voix hurler dans sa tête "N'y pense même pas ! il est HORS DE QUESTION que je le touche... oh mon dieu et pourtant il faut bien que quelqu'un le fasse ? " . Et dans ces cas là, son esprit est plus que réactif. Son visage se lisse d'un coup. Ses grimaces d'horreur s'évanouissent. Une image lui apparait, son sourcil se lève... et sa tête tourne lentement , très lentement vers la jeune intendante.

- Ely, peut-être qu'il respire encore ..un peu ! Allez-y vérifiez, il faut faire vite, je vous tiens la bougie !

Elle n'attend pas sa réponse parce que ... pas sure qu'elle lui plaise. Aussi, elle se met sur le coté, passant la bougie au dessus du coffre et fixe Ely genre "moi j'ai fait mon boulot , fais le tien !!!''. Elle lui fait signe de s'activer. C'est que ça urge alors bon , on comprendra qu'elle bouscule la Ely et puis franchement entre toucher le cadavre et se prendre les foudres d'Ely , elle a fait son choix .

- Ely, s'il vous plait , il vous faut réagir, reprenez-vous bonsang ! !

Bon voilà ! elle a fait son maximum maintenant si Ely lui dit d'aller se faire voir chez les grecs , elle sera bien obligée de crier pour ameuter du monde mais faudra pas se plaindre, ce ne sera pas de sa faute !

Le moment de surprise étant passé, la blonde se reprend. Le comportement d'Imagine l'exaspérait mais comment lui en vouloir vu la situation. Alors oui elle avait entendu et oui il était mort. Pas besoin de le toucher pour savoir cela. Maintenant, en plus d'un mort elle avait une hystérique sur les bras qui voulait absolument qu'on touche un cadavre pour lui prouver qu'il était bien mort.

Imagine, il est hors de question que je touche cet homme. Il est mort et ça ce voit.
Il faut prévenir la maréchaussée et le curé aussi afin qu'on puisse enterrer ce pauvre homme.
Il a du être agressé durant l'incendie.