[Rp vente] Revenir pour mieux partir

Castelnau de Montmiral était un nom voué à disparaître, la jeune Jenifael s'y était fait. Elle était la dernière du nom, petite-fille de Loöys, fille d'Angèle et Modjo, arrière-petite fille de la défunte Jehanne de Cassagne. Du haut de ses quatorze ans, de nombreuses résolutions remplissait sa tête, perpétuer sa ligné, son nom, son sang et le faire connaître était devenu ses premiers soucis, depuis sa conversation entre Paris et l'Anjou lors de sa rencontre avec la Lune anvgevine. Son apparence entre sa douzième et la fin de sa treizième année c'était considérablement féminisé. Devenue plus grande, pas de beaucoup mais c'était toujours ça de pris, elle n'était pas spécialement grosse, mais ses os étaient visible à pas mal d'endroit, donnant l'impression qu'elle était fragile. Ainsi son cou paraisse plus long, ses membres fins, sa poitrine un peu plus développer que se qu'elle n'était réellement. Son sourire en revanche, remplit d'innocence et de quenottes n'avait pas changer d'un pouce, lorsque les lèvres qui semblaient gercées oubliaient la moue boudeuse pour dévoillé les dents de la jeune fille, l'on ne pouvait s'empêcher de sourire devant. La jeune fille avait retrouvée avec enchantement sa sœur, heureuse que celle-ci ne soit plus la maladive et marquée qu'elle avait connut une époque, une époque où elle seule pouvait approcher la fragile adolescente.

Elles arrivèrent à Saint Germain les Champs, c'était le fief ou c'était établie les nouveaux Doigts d'Or, un fief offert à la patronne des lieux, Attia, un fief qui appartenait sinon à leurs cousin royal. Jenifael laissa sa sœur parler, puis alors qu'on aller chercher qui il fallait, elle dit à Elizabelle :

"- Dit Eli, tu coudras toujours pour moi? Où ta suzeraine ne voudra pas? Tu reste ma soeur hein? "

Puis comme une enfant, elle s'empara de la main de sa cousine de sang/ soeur adoptive.Puis pensive, elle ajouta :

[b]"- Il parait que nous avons une cousine ... Et que tante Selena est morte ici "

Ses yeux se lèvent vers Elizabelle, elle n'a plus peur de la mort, la mort les à forcer à grandir toutes deux depuis toujours, bercer leurs enfances, pour l'une par son frère, mort juste après la naissance, puis les parents de l'autre, tuer sous ses yeux, vint ensuite leurs père, adoptif pour l'une, de sang pour l'autre. Puis de leurs deux petites soeurs, puis de leurs frère et enfin leurs mère. Il y à également eu leurs tante et leurs arrière-grand-mère, alors pourquoi avoir peur des mots? De plus, n'étaient-elles pas Castelmaure? Et quel est la dernière syllabe du nom de la première maison royale de France?

Hersent avait reçu une misse de dame Elizabelle, la créatrice qui avait réalisé tant de jolies tenues pour sa garde-robe. C'est avec regret, tristelle qu'elle apprenait son départ mais la vie était ainsi faite: les chemins bifurquaient pour emmener nos pas vers d'autres aventures.
C'est le sourire aux lèvres, cachant ainsi sa tristesse, qu'elle entra dans la salle réservée à la vente des modèles.

Elle aperçut l'artiste avec une jeune femme qu'elle avait croisée souvent dans les salons de l'Atelier. Elle les salua:

Bonjour dames. C'est avec tristesse, Dame Elizabelle, que j'ai appris en vous lisant, que vous quittiez les DO pour d'autres horizons. Je pense que vous savez combien vos créations ont ravi mes yeux et vos tissus caressé à merveille mes formes. C'est un bonheur sans fin que de vêtir une de vos tenues. Pour tous ces petits bonheurs grappillés à la vie, je vous remercie mille et une fois, et encore ce ne sera jamais assez.

Elizabelle, serait-il possible pour moi d'emporter un ultime souvenir de votre talent?
Elle se dirigea vers un mannequin portant fièrement la tenue Saphir: cette robe est très belle et si jamais personne n'a jeté son dévolu sur cette dernière, je serai touchée de voir mon nom à côté d'elle. Elle glissa encore vers un autre mannequin portant la tenue Etoile de printemps. Les yeux brillants d'émotion, elle demanda: j'aimerais également ce modèle mais en deuxième choix si la demande est trop forte.

Elle déposa sur une table d'appoint un énorme paquet remplit de... macarons bien entendu!

Pour vous remercier de tout ce que vous avez apporté à l'Atelier et au bien-être des clientes.

Spoiler:

Elle déposa également un bouquet de fleurs, même si elles sont périssables, elles embellissent toujours une pièce:

Spoiler:

Votre suzeraine peut être fière de vous et vous avez mérité amplement de prendre quelque repos en cousant pour elle à votre rythme. Elle fera des envieuses, c'est certain.

Un dernier regard sur toutes ces belles choses, elle salua les deux jeunes femmes et s'éclipsa dans un léger bruit de froufrou.

Fin aout, début septembre. Le soleil deviendrait ocre et les feuilles marrons. L'automne apporterait la saison nostalgique et un air frais déprimant. L'occasion pour Enguerrand Mirandole de profiter des dernières journées d'aout avant que cela n'arrive fut de rencontrer Elizabelle d'Irissarri. Quelques semaines plutôt il avait eu une correspondance avec la couturière afin de lui demander - ce fut limite une supplication - d'obtenir d'elle un bouquet de réalisations personnalisés. Par chance ou force de conviction, le borgne put obtenir une réponse positive à sa demande. Alors, quand il voulait bien faire les choses, c'était jusqu'au bout. Par ailleurs, très investit dans son rôle de père de famille, sa commande vestimentaire fut destinée à être l'objet d'un cadeau pour sa fille bien-aimée Luna. En usant de subterfuge, il réussit à obtenir des coloris et des détails précis sur les gouts et les préférences de sa fille. De cette manière, la surprise n'en serait que plus grande.

Allant à la rencontre de deux jeunes femmes inconnues, Enguerrand Mirandole retira son chapeau plume et, d'un air désinvolte, salua ces dames.

« - Bonjòrn donà ! Dit-il en inclinant le buste. Une troisième femme Hersent intervenait quelques instants avant lui. Le jeune homme prit la parole lorsque l'occasion se présenta. Les détails donnés par Hersent lui permirent de mettre un visage sur le nom de Elizabelle. Je m'appelle Enguerrand, et je suis honoré de notre correspondance. »

Il sait combien son visage pouvait surprendre. Le borgne n'en dit pas plus pour l'instant.

Alors qu'elle sont encore deux, Jenifael répond à Elizabelle :

"- Tu est gentille Eli, tu sais, si j'arrive à survivre sans revenue c'est parce que tu est là ! Parce que sinon je n'aurait plus d'argent avec toutes les robes que tu m'a déjà cousu ... Dit, comment pourrait-je gagner de l'argent d'après toi? Je ne suis pas titré "

Elle en oublie même de répondre aux questions, elle semble réfléchir quelques instants, pensive.Des instants brefs. Elle répond enfin :

"- Oui, la fille de Selena, c'est comme une cousine, vu qu'elle était comme une soeur pour maman ... Et oui je veut d'aider, j'adore t'aider ! "

Mais voilà qu'une intruse - oui une intruse, toute personne extérieure à leurs moments seule l'est - débarque et se retrouve à parler avec sa soeur, un messire est passé également, presque ignoré, Jenifael écoute l'asiatique et lui répond ensuite, à la place d'Elizabelle, les olivines posé presque froidement sur celle-ci, les cheveux soigneusement coiffé dans un filet argenté, perlé. Un filet royal s'il vous plaît !

"-Dame, laissez s'il vous plaît ma sœur se reposer un peu, la couture à déjà tuer notre feue Jehanne et notre tante, je ne tiens pas à se qu'il en soit ainsi de ma sœur. "

Elle ignore la vérité sur la mort de Jehanne, qui la connaît en faite? Puis elle se souvient, du haut de ses quatorze ans :

"- Au faite, je suis Jenifael Luna de Castelnau de Montmiral, ravie "

Elle s'adresse également au borgne, resté là, silencieux, jusqu'à que la brune aux mèches lisses se taise.

"- Nous sommes ravie, messire Engurrand "

Elle parle, elle protège, elle aime, elle vouvoie, elle est froide. Oui froide, presque comme la mort dans ses paroles et attitudes, elle à lâcher la main d'Elizabelle, la voilà droite, le menton relevé, les yeux emplit de défis, les lèvres prêtent à s'ouvrirent pour en découdre, les mains soigneusement poser sur sa robe simple mauve.

Tandis qu'elle présentait ses compliments à l'artiste, la jeune femme, qui se dévoila être une jeune fille, l'aborda, furibonde et l'agonit de mots durs. Si l'Ar Sparfel était présente icelieu, c'était suite à une missive privée. Elle avait du commettre l'impair d'oublier de mentionner ce fait. C'est calmement et tout aussi froidement que la jouvencelle qu'elle répondit:

Heum, damoiselle, je n'avais point l'intention de provoquer votre courroux qui m'étonne un peu. De plus, je n'ai aucunement l'intention de tuer à la tâche votre soeur, si talentueuse. Si j'ai bien saisi la teneur du message, il n'y aura pas de couture à effectuer ni d'yeux à user.
Je peux comprendre que vous soyez épuisée par les multiples allées et venues dans les couloirs et salons de l'Atelier mais de là à vous en prendre à moi de cette manière, il y a quand même un pas immense à franchir.
Je pense que votre soeur sera seule et unique juge concernant mes demandes qui ont le malheur d'être venues trop tôt d'après ce que je viens de comprendre.

Diantre, que la jeunesse pouvait être fougueuse et rageuse, elle imagina Sarah, sa fille, en pleine crise existentielle, ce qui devrait arriver plus vite qu'elle ne le comptait.

Enchantée, également, de vous rencontrer damoiselle Jenifael Luna de Castelnau de Montmiral, je suis Dame Hersent d'Ar Sparfel, Vice Chambellan de Champagne.

Elle fut un brin offusquée quand elle entendit la donzelle gratifier le Messire qui entrait à sa suite de mille politesses... comme quoi, les hommes avaient toujours la préséance surtout quand les titres étaient conséquents.
Elle salua d'une inclinaison de la tête l'homme borgne, puis continua son chemin, froufroutant vers la sortie. Avait-elle fait les choses à l'envers? Pourtant, en relisant la missive, elle ne voyait pas où elle avait mis les pieds dans le plat... la date peut-être??? Oui voilà la date, elle s'était trompée de jour!




[HRP: j'espère que ma poupée ne s'est pas trompée dans l'ordre des choses du RP, sinon ce fut vraiment involontaire]

[Je vous rassure, Jenifael est de caractère ainsi :)Elizabelle est sa perle à elle, elle à l'habitude de côtoyer du froid aussi bien que de la chaleur, mais pour elle, le froid est pour les étrangers, la chaleur pour sa famille
Hormis cela : " - La vente débute le 1er septembre une fois que j'aurai indiqué dans mon rp que la vente est ouverte, et se terminera quand le dernier modèle sera vendu. "
Peut-être qu'il aurait était mieux d'attendre le 1er ...]

La jeune fille, future femme, future belle et grande dame, l'adolescente, l'enfant, la Violette, resta froide, fermé. Elle avait pu faire face à Charlemagne devant la famille presque entière, elle avait pu faire face à une famille décimée, aux mésaventures Elizabellesque. Puis elle ajouta :

"- Lettres ou non, qu'importe. "

La discutions est à ses yeux fini, elle n'a pas à s'excuser, pas à réfléchir. Elle ajoute tout de même :

"- Je ne m'en prend à personne, je n'est pas était agressive "

Elle est à la limite de l'insulte, envers la femme aux yeux qu'elle trouve étrange.Un sourire? Aucun ne naquit sur les lèvres de la petite fleurs, mais elle continue, dans une organisation minutieuse, une organisation acquise en aidant parfois au château de Lyon en hérauderie :

"- Vous n'auriez pas du papier? Ainsi qu'un fusain, peut-être que nous pourrions prendre comme des bons de commande, qui permettrait à ma soeur de s'y retrouver "

Genre ses yeux annonces : " On est pas surhumaines ! "

"- A qui est adresser la lettre? "

Un sourire naît cette fois sur les lèvres boudeuses. Elizabelle à très bien pu écrire une lettre pour plus de monde qu'on ne le pense :

"- Alors, voyons, nous pourrions indiquer sur chaque papier, le modèle ,la cliente, les mesures. De toute façon les couleurs sont déjà choisit. "

Jenifael Luna de Castelnau de Montmiral, un nom voué à disparaître, l'on se demande pourquoi? Et pourtant la gamine est fiancé.

[Peut-être en HRP les coiffures également? ]

La brune avait reçu une lettre qui l'a toucha..oui la brune avait découvert un peu tard l'Elizabelle, mais elle avait un talent indéniable. Comme elle devait justement se rendre à l'atelier pour la commande d'une amie, elle se promit de passer à cette vente privé, afin de peut être obtenir la robe de ses rêves et surtout féliciter la créatrice.

Sara déambula dans les couloirs dans l'espoir de chercher la pièce "privé", après quelques recherches, elle finit par entendre plusieurs fois, elle se dirigea vers celle ci, un petit coffret de bois sous son bras.
La brune sourit lorsqu'elle se rendit compte qu'elle avait enfin trouvé ! Elle s'inclina respectueusement pour saluer tout le monde.

Bonjour..Mesdames, Mesdemoiselles, et Messire. Je suis Sara Tancredi Gall Costa, Dame des Moutis.

Elle s'approcha de la créatrice au doigt d'or et lui tendit le présent.

Je ne pouvais venir les mains vide pour votre dernière..je vous est découvert trop tard à mon gout..c'est bien dommage, mais je tiens tout de même à vous montrer que votre talent est indéniable..
Donc voici quelques confitures..une aux cerises, à l'abricot et aux fraises elle murmura : si cela peux vous rassurer ce n'est point moi qui les ai faite, mais ma cuisinière.

Elle lui sourit.

Je vous avoue que ma venue n'est pas seulement pour vous féliciter de vos magnifiques créations, mais aussi pour espérer obtenir la robe de mes rêves. Quand je l'ai vu, malheureusement 6 Dames étaient déja passée avant moi..elle était donc indisponible..pour mon plus grand malheur.
Aujourd'hui vous offrez une dernière possibilité de l'obtenir.. Alors je voudrai savoir si la robe Chasseresse n'a pas encore été demandé par une autre cliente invitée. Si non, je souhaiterai pouvoir la porter..

La brune respira, elle avait enfin émit son souhait en espérant que la Couturière allait lui accorder.

[Ce n'est pas grave pour les rapides^^ Merci de passer ensuite sur l'autre suje pour les mensurations et coiffure. Et merci de vérifier la liste des robes disponibles avant de poster ici. ]

L'Ange n'eut pas le temps de répondre à sa cadette sur le sujet de l'argent. Jamais elle ne la laisserait dans le besoin. Elle trouverait bien une solution pour lui permettre de vivre mais en se ménageant tout de même. Elle ne permettrait pas que sa petite soeur fut une simple servante. Mais comme dit, Elizabelle n'eut pas à répondre car déjà sa lettre envoyée aux clients de l'atelier faisait des émules. Sans doute des clients déjà présent à l'atelier. Qu'importe, elle était heureuse de les voir et de pouvoir saluer chacun et chacune en personne. Enfin sans compter sur Jenifael...

Jenifael Luna, sois gentille tu veux ? Ces gens sont mes invités, pas des brigands agresseurs sur les routes. Veuillez l'excuser Dame Hersent, elle ne pense pas à mal. Je suis heureuse d'avoir pu vous rencontrer avant de quitter l'atelier. Vos compliments me touchent beaucoup. Ce fut un plaisir pour moi que de réaliser ces robes pour vous. Je vous remercie infiniment pour les présents, c'est très gentil à vous.

Un doux sourire éclaira son visage. Que cela lui avait manqué de ne plus être en contact avec la clientèle. Les fleurs étaient magnifiques, et les macarons avaient l'air délicieux. Elle les fit porter tout deux dans son carrosse afin qu'ils ne soient pas abîmés.

Je prend note de votre demande donc. Saphir et Etoile du printemps donc. Deux modèles splendides dont un fait partis de mes préférés.

Laissant le soin à Jeni de noter les commandes et les noms, Elizabelle se tourna vers son mystérieux correspondant qui avait réussis par un tour magistral à acheter deux tenues avant même la vente. La frêle couturière lui adressa un sourire et inclina la tête. Non point qu'elle manquait de respect, que ce soit à Hersent ou à Enguerrand, mais ici, elle était Maîtresse couturière et eux des clients, certes d'exception, mais le rapport de la Noblesse ne comptait pas pour l'heure.

Heureuse de faire votre connaissance Messire et de mettre enfin un visage sur ce nom. Vos tenues pour votre fille sont prêtes, j'espère qu'elle vous plairont.  Je vous invite à patienter un instant le temps que l'un des serviteurs les retrouve parmi toutes les malles que j'ai emporté.

Dame Wendy s'avança à son tour. Elle avait été la première à commander le modèle Ephémère, la robe qu'Elizabelle porterait pour le mariage de sa tante Axel. Elle avait eu la patience d'u. Ange durant plusieurs mois pour obtenir ce modèle en particulier.

Merci beaucoup Dame Wendy. J'ai été heureuse de coudre pour vous. Je ne doute pas que vous continuerez à trouver votre bonheur auprès des autres couturiers de l'atelier. Je note pour vous les modèles Grace et Altesse donc.

Nouvelle cliente, une toute récente. Elle se rappelait avoir reçue ces mesures il y a peu de temps.

Merci pour ces compliments Dame Sara. Je suis heureuse d'avoir l'occasion de faire votre connaissance avant mon départ.  Je vous remercie pour les confitures vraiment, mon fils sera plus que ravie d'y plonger les doigts. Par contre, j'aimerai vous faire plaisir mais sa Grâce de la Mirandol a déjà fait l'acquisition du modèle Chasseresse... Je suppose que c'est pour pouvoir aller aux cérémonies des Haras ?

Elizabelle était ennuyée de décevoir la jeune femme. Surtout qu'une tenue de monte était en effet indispensable pour ce métier. Elle se pencha et murmura "Choisissez un autre modèle. Et pour Chasseresse, nous verrons ce qu nous pouvons faire ensemble après la vente. Je vous écrirai. "

Bonjour Dame Valendra. Merci beaucoup pour vos compliments. J'espère que vous trouverez votre bonheur parmi mes créations.

Pendant ce temps la liste se remplissait.

La brune ne remarqua pas tout de suite sa blonde d'amie, puisqu'elle était en pleine conversation avec la creatrice. Son sourire s'envola lorsqu'elle celle ci lui apprit que malheureusement elle était déja prise.

Oui je connais ça les enfants aiment tremper leur doigts surtout dans la confiture. Je comprend..je suis malheureusement encore arrivée trop tard..Ce modèle est tellement beau.
Effectivement, Madame vous avez très bien supposez, elle aurait été parfaite pour les cérémonies du Haras...une robe sublime je vous assure.

Elle retrouva son sourire lorsqu'elle lui murmura qu'elles verraient cela plus tard aprés la vente. La brune lui repondit en murmurant.

Trés bien Madame, mais je ne voudrai abuser..

Puis Sara regarda les autres robes..une retient son attention..la robe rossignol.

Oh Dame Elizabelle..si possible j'aimerai La robe rossignol..et si possible là encore, une robe pour ma fille, pour dans quelques années, la robe Printemps.

Elle lui sourit. Sara sursauta lorsqu'une voix familiale l'interpella.

Oh..Valandra, comment va tu ? Oui le modèle Belle au bois dormant est trés belle, mais je t'avoue que le modèle rosignol est plus dans mes couleurs et fut un petit coup de coeur.

Elle sourit à son chuchotis, tout en lui répondant..

Je t'avoue que mon époux préfére que je porte point de robe mais juste une de ses chemise.

Elle savait que cela allait faire encore plus rosir les joues de la blonde, ce qui l'amusait fortement.

Et toi quel est ton coup de coeur ? Choisis là, fait toi plaisir, puis bientôt, ton statut va changer, donc il faut des robes adéquates..Promis je t'en ferai cadeau !

Les mains vides dans la précipitation, parce qu'il fallait bien le dire, être dans les temps lors d'un pareil évènement, relevait du miracle et puis, rien ne l'empêchait de revenir pour récupérer les robes ou celle en attente du côté des création, avec quelque chose à faire parvenir à la couturière qui quittait les lieux. Il lui semblait que la demoiselle était avant chez DECO où de nombreuses années, Lin avait été cliente mais il fallait croire que la fidélité ne comptait pas beaucoup là bas et puis la qualité s'était faite sentir en d'autres endroits où ses pas l'avaient mené du fait de plusieurs liens d'amitié.
La valten n'avait que très peu de robes car cela prenait du temps d'en faire confectionner et il fallait bien avouer que son travail lui prenait la très grande majorité de son temps même si une certaine épuration avait eu lieu quelques mois auparavent. Epuration qui avait servi à récupéré un peu plus de travail qui devait être ponctuel et qui au final, durait depuis bien deux à trois mois, pfeu, alors les robes, bien qu'elle devait refaire son stock, le temps ne s'y prestait que très rarement.

Entrant dans la salle indiquée d'où s'échappait plusieurs voix, Lin y découvrit déjà plusieurs femmes arrivées avant elle et - ne se rappellant pas qu'Hersent travaillait ici - elle en déduit que la jeune demoiselle prenait les commandes, ou quelque chose du genre, aussi quand chacun termina sa présentation, qu'Elizabelle fut localisée de par les compliment qu'elle recevait, Linoa prit la suite après avoir salué les présentes du chef.
Le bonjour à vous dame, je suis Eléïce de Valten di Maggio, au plus court et indicatif, assez dur quand elle avait même l'habitude de joindre le d'Astralgan, à son nom quand elle le donnait en entier, rare certe mais elle ne pouvait toujours y couper, et d'ajouter pour la commande car il ne s'agissait pas des moins chers loin de là, Duchesse du Lavardin.
Marquant ainsi une courte pause, de celle se souvenant des coups de coeur qu'elle avait eu et de la beauté de l'ouvrage, je dois dire que vous avez des doigts d'or si j'ose me permettre une telle remarque, accompagnée d'un sourire, se disant que peut être même sa cousine rouquine trouverait son bonheur ici elle qui portait une robe une fois l'an, et encore.

Puis-je vous indiquer mes deux choix? Si tel est le cas, j'aurais souhaité les modèles Nuit d'hivers et Princesse de Jade. Puis sortant un bout de parchemin de sa besace où se bataillaient ses pinceaux, ses parchemins, son nécessaire d'écriture et quelques ouvrages héraldiques, lequel morceaux était noircit de ses mensurations et de la coiffe espérée selon qu'elle allait ou non avec les modèles.

Spoiler:

C'est en intégrant les Doigts d'Or comme apprentie couturière, qu'Imagine a fait la connaissance d'Elizabelle. Les Doigts d'Or étaient alors à l'ancienne adresse, avant que tout ne parte en fumée. Sacré Lubin ! Elle en sourit à présent mais à l'époque , quel choc ! Le temps a  passé depuis et elle aborde le sujet quand la conversation s'y prête, avec plus de légèreté, parce qu'elle est ainsi. La mort a toujours fait partie de sa vie . Le suicide de sa mère alors qu'elle n'avait que 7 ans lui a fait faire connaissance assez tôt avec l'Ankou. L'Ankou a pitié parfois et accueille ceux qui s'offrent à elle. Même s'ils n'ont pas de carton d'invitations. L'impolitesse ne recule pas même devant la mort. Mais ou va t'on, je vous le demande ?

La bretonne, elle, en tous cas, a bien son carton d'invitation comme la plupart ici. Quelques mois qu'elle ne s'est plus rendue aux DO. Elle s'est accordée une pause pour retrouver la passion qui l'a amenée à la couture : la création. Comme tout le monde , elle a eu son lot de changements durant ce temps. Elle a certainement perdu son époux qui a disparu alors qu'elle voyageait en Irlande. Les recherches menées alors  sur Tréguier et les alentours n'ont rien donné. Puis là bas, au pays du Kilt, elle a découvert sa grossesse et dans l'ordre des choses, a mis plus tard leur fils William de Brasco, au monde. Tout comme elle, il est né la-bas, à Port Lairge.

La missive d'Elizabelle tombait à point. Il était temps pour elle de faire sa rentrée aux Do. C'est donc la veille, valises en mains, qu'elle a retrouvé son atelier. Toujours au fond du couloir, bien caché. Elle est "Maitre couturier" mais s'obstine à rester à l'étage des apprenties. Ca lui convient. Certainement gênant pour sa collection qui du coup reste elle aussi terrée dans l'ombre mais d'un autre coté, ne croulant pas sous les commandes, elle se permet de travailler à son rythme, sans réelles contraintes. Elle est satisfaite de sa clientèle. Des personnes assez aisées, amoureux de la mode, du beau, du rare et ..et.. simples et humbles. Trés important ça. Oui on peut être riches, polis, généreux et rester agréables, sans ressentir le besoin de faire des cacas nerveux pour se sentir exister. Alors bien entendu, elle trie et choisit sa clientèle. Et ça lui va bien, ces gens là sont curieux, audacieux et partagent avec elle, leurs voyages à travers le monde en lui ramenant des gravures ou esquisses de la mode au delà des frontières.

Pour l'heure elle abandonne son atelier pour se rendre à la journée d'Elizabelle. Habillée simplement d'une robe de saison mise en valeur par quelques breloques typiquement bretonnes, elle se faufile à travers quelques groupes d'invités qui commencent à se former. Les saluant au passage, elle cherche Elizabelle. Des lustres qu'elles ne se sont vues. Elle l'aperçoit un peu plus loin en train de converser. Elle n'a pas changé, elle est telle qu'elle l'avait gardée en tête. Douce, fragile, réservée et.. jolie comme un coeur. Elle attend le moment propice pour s'avancer , le visage éclairé d'un large sourire.

- Eli, quel plaisir de te revoir !

Elle lui prend les mains, ravie.

- Alors ça y est, tu nous quittes ? Tu vas nous manquer. Je sais que tu pars pour de bien jolies raisons et je te souhaite de tout mon coeur beaucoup de bonheur, tu le mérites. Je ne vais pas te retenir longtemps, il y a du monde qui attend. Je tenais à te remercier de vive voix pour tout ce que tu as fait pour moi, ici, tu m'as beaucoup aidé. Tu fais partie de celles et ceux qui ont cru en moi et m'ont soutenu, je n'y serai pas arrivée autrement. Je le sais. Alors voilà, un grand merci à Toi, Elizabelle.

Elle s'apprête à la laisser enfin quand elle sursaute à l'idée qu'elle a failli oublier.

- oh ! dis, tu ne m'oublies pas pour ton mariage ? je n'ai pas l'intention de rater ça !

La jeune fille eu le nez qui se fronça sec, lorsque sa sœur lui réclama d'être gentille le tout, en la tutoyant devant d'autres, devant des intrus. Puis une foule vint, parla, se présenta, Jenifael grimaça et se mit à noter le tout, tant bien que mal.Un papier fit son apparition, comme une liste :

Citation :

Hersent : Saphir en 1er choix, Etoile de printemps en second choix
Wendy : Grâce en 1er choix, Altesse en second choix
Sara.T : Rossignole en 1er choix ( pour elle ) printemps en second choix ( pour sa fille )
Virgina : Mystère de Bretagne en 1er choix, tenue de voyage en second choix
Eléïce de Valten di Maggio ( Linoa ) : Nuit d'hiver en 1er choix, princesse de Jade en second choix

La jeune Castelnau de Montmiral avait décidé de ne pas être aussi gentille qu'avant désormais. Plus question que ses pieds soit écraser par des nouvelles têtes portant une simple couronne seigneurial, prétextant leurs sang pur et de longue lignée noble, se permettant des folies astronomique pour une terre qui en réalité ne rapporter presque rien. Oui sa mère était bâtarde, mais qu'importe, une bâtarde avec l'un des plus beaux sang dans ses veines. Jenifael reste fière, froide, droite et belle, personne ne lui écrasera ses petits petons.

"- Mesdames, calmez-vous, on dirait des chiffonnières ! "

Ne savent-elles point rester calme? Elles sont toutes à parler en même temps, se battant presque, tirant les cheveux, la Violette voit devant une réplique de se que sont la plupart des enfants. Pas de belles et grandes Dames, noble et éduqué comme lui avait expliqué son feue père.

[HRP : Si ma liste contient une erreur, envoyez-moi un MP ! ]

Et il en arrivait encore. Elizabelle savait son travail apprécié car ses créations étaient toujours parties rapidement, mais elle ne pensait pas que tant de monde ferait le déplacement aussi rapidement pour la voir. Elle se sentait un peu dépassée, surtout que Jenifael se braquait. Il était plus que temps que l'adolescente vienne vivre chez son aînée. Certes, elles étaient cousine d'un prince de France, mais elles-même n'avait pas une montagne de titre. Et puis, si la cadette souhaitait gagner de l'argent, il allait lui falloir arrondir les angles de son caractère. Dans la cohue, l'Ange ne put consacrer le temps qu'il fallait à Enguerrand, mais la patience de l'homme était grande puisqu'il s'écarta de bonne grâce. Dans quelques instants, quand tout cela se serait apaisé, elle lui dévoilerait les trésors pour sa fille.

Bonjour Dame Virginia, je suis heureuse de vous voir. Je suppose que vous étiez déjà présente pour récupérer vos commandes. J'avais en effet rapporté la robe que vous m'aviez demandé durant ce voyage. Je vous remercie pour vos appréciations, j'aime à faire plaisir, c'est ainsi que je me fais plaisir. Je note donc, Mystère de Bretagne et Voyage. La première fut commandé par une Duchesse de Bretagne justement, et qui n'est jamais venu la prendre. Cette couleur n'a donc jamais été portée. J'ai préféré la vendre telle qu'elle plutôt que de la laisser prendre la poussière dans mes armoires. Je vous l'ajusterai.

Le temps de réflexion accordé à Dame Sara fut suffisant et la jeune couturière heureuse de voir un sourire revenir sur son visage.

Vous n'abusez en rien. J'ai proposé moi-même. Bien, j'ai noté pour Rossignol et la robe Printemps. Il faudra me dire l'âge de votre fille. Je lui ferai la robe de façon à ce qu'elle puisse la porter plusieurs années.

Se tournant vers la personne suivante, car ne voulant négliger personne, Elizabelle salua une nouvelle Duchesse. Elle se rappelait avoir réalisé quelques robes, quoi que peu comparé à Cassandre, mais c'était normal car elle était sa Suzeraine.

Bonjour votre Grâce. Merci beaucoup. Je crois qu'en cet atelier, toute couturière ou apprentie à les Doigts d'Or, alors je ne pense pas que le compliment soit déplacé. Je vous inscris donc pour Nuit d'hivers et Princesse de Jade. Deux modèles magnifiques. Princesse de Jade me permit de rencontrer celui avec qui je vais me marier. Pensezz donc que ce modèle est important pour moi et je suis heureuse qu'il vous revienne.

Arriva ensuite, et bien Sofja ! La personne justement pour qui elle avait créé Princesse de Jade, sa future belle-soeur. Lui adressant un sourire chaleureux, elle lui offrit une étreinte un baiser sur la joue, comme à une soeur, puisqu'elles allaient l'être bientôt.


Bonjour Sofja, je suis heureuse de te voir. Je vais bien, surtout depuis que Nikolaï va mieux... Je crains de devoir le tenir à l'oeil... As-tu fais bon voyage ? Comment va ton bébé ? Alors quelle robe te ferait plaisir ?


A peine le temps de quelques questions qu'Imagine arriva. La jeune couturière Bretonne avait de l'or dans les mains. Pas pour rien qu'Elizabelle avait jeté son dévolu sur elle pour la réalisation de sa robe de fiançailles.


Je suis heureuse de te voir aussi Imagine. Je te remercie pour tes voeux, j'espère qu'ils se réaliseront car il est plus que temps de cesser de pleurer. Et je suis heureuse d'avoir pu t'aider. Tu as un talent fou alors n'en doute jamais d'accord. Et puis je passerai de temps en temps te voir à l'atelier, tu me montreras tes progrès. D'ailleurs tu devrais prendre l'emplacement de ma galerie. Je n'en aurai plus besoin. Et tu as bien intérêt à venir à mon mariage. Je t'enverrai une invitation.

L'Ange ne releva même pas la remarque enflammée de Jenifael. Il fallait vraiment qu'elle reprenne en main sa cadette. Parler ainsi à des clientes ne se faisait pas... Valendra revint vers elle, finalement conquise par un modèle.


Je suis contente que vous ayez trouvé votre bonheur. Je note donc pour vous Perce-Neige. 

Une tornade bleu suivie.

Il y a des missives qui vous font prendre la route toutes affaires cessantes. Et, pour la quintefeuille, une missive émanant des Doigts d'Or appartient toujours à cette catégorie. D'autant qu'il faut avouer que rien d'essentiel ne la retenait en Lorraine. Elle avait donc gagné la Bourgogne aussi vite que le permettait l'état des chemins et constata rapidement, en arrivant à Saint Germain des Champs, qu'elle n'était pas la seule à avoir répondu présente. Quelle foule se pressait là! Il faut dire que la perspective de bénéficier une dernière fois du talent d'Elizabelle expliquait largement une telle cohue dans laquelle elle distingua ça et là quelques têtes connues qu'elle ne manquerait pas d'aller saluer par la suite.

Son gabarit et son caractère la disposant peu à participer à une foire d'empoigne, elle s'approcha avec circonspection de la maitresse couturière. Celle-ci était fort occupée à deviser avec les personnes déjà présentes, aussi la poupée se tourna-t-elle finalement vers la jeune fille qui se tenait à côté de la créatrice, fusain et papier en main.

Le bonjour damoiselle, je suis la duchesse Elianor de Vergy. Est-ce à vous qu'il faut s'adresser pour les choix des tenues? Je voix Elizabelle fort occupée et m'en voudrais de troubler ses conversations avec des personnes qui lui sont, sans nul doute, plus intimes que moi!

Depuis combien de temps n'était-elle pas revenue au Doigt d'Or? Plusieurs mois déjà... Non pas qu'elle appréciait moins les lieux, mais les temps étaient difficile pour la Tornade Lorraine. D'une elle était enceinte, et cela elle détestait. Obligé de rester allonger, et ne pas quitter les terres, à cause de ses foutues contraction qui ne la laissait pas en paix, ainsi que son mari étouffant et maniaque du contrôle. Vivement qu'elle le ponde cet Héritier et qu'elle soit enfin en paix, libre de ses mouvements et de ses choix. Mais en plus de tout cela son frère était mort, son propre mariage était... non, elle ne savait plus mettre de mot sur son mariage. La tornade n'était plus... la tornade allait mal. Elle si explosive, entrait dans la moule de la parfaite potiche, et seigneur.. ce que cela lui allait mal !

Une lettre changea tout. Elizabelle... la fille de son Angèle, la vassale de sa Blondie, mais surtout sa couturière préférée quittait les DO. Plus jamais elle ne pourrait porter une création de la Irissarri. Il n'y avait aucun hésitation à avoir, tant pis si son époux hurler au scandale, tant pis si l'héritier avait besoin de repos, tant pis pour tout, elle avait besoin d'une dernière fois.
De plus quel bonheur de quitter la Lorraine où elle étouffait complètement, oui rien n'aurait pu la faire changer d'avis. Le carrosse fut préparer rapidement, ses affaires emporté, la d'Acoma Talleyrand, ne perdit aucun instant avant de se mettre en route.

A son arrivée la salle était déjà pleine, et plusieurs femme se battaient comme des chiffonnier pour voir qui aura telle robe en première. Cela criait, marchandait, piétiner, ce qui arracha une grimace à la glaciale. Non vraiment... elle ne se rabaisserait pas à participer à cela. Un coup d'oeil circulaire dans la pièce lui permit de repérer Jenifael et Elizabelle. Les deux filles de feue sa meilleure amie. Angèle serait si fière d'elles à présent... un sourire émue prit place sur le visage de l'Egérie. Un vrai sourire qui réchauffait enfin son visage si froid depuis quelques temps. Elle serait donc fière pour elle. C'était la tache qui lui était du, après tout du trio infernal il ne restait plus qu'elle... La glace se déplace dans la pièce, la main posé sur son ventre imposant, et suivit de près par Sébastian qui ne la quittait pas d'une semelle. Devant la couturière et sa soeur, la sombre folle comme aurait dit leur mère et leur tante courba respectueusement la tête, et afficha un léger sourire.

Jenifael, Elizabelle, quel plaisir de vous revoir. Bien que les circonstance ne soient pas très gaie. Du moins pour moi. Je vous regretterais grandement Elizabelle, j'ai porté vos création avec beaucoup de fierté, que cela soit pour le défilé, pour mon mariage, pour le sacre, mais aussi pour tout évènement divers. Vous avez des doigts réellement en or, à l'image de votre arrière grand-mère Jeanne.

Elle les regarda toute deux avec émotion, comme elles avaient grandit... jeni était qu'une enfant quand elle venait voir angel chez les Castelnau, à présent elle était presque une femme. Fiancée même d'après ce qu'elle lui avait dit à leur dernière rencontre.

Alors, les deux soeurs vont bientôt se marier.. Je vous souhaite à chacune beaucoup de bonheur. Vous savez Angèle serait vraiment très fière de vous, je n'en ai aucun doute.

Oui Angèle serait fière de voir qu'elle sorte de jeune femme étaient devenue ses filles, bien plus calme qu'elle même l'eut été. Angèle lui manquait énormément, au même titre que Séléna. Dans cette période de trouble ou rien n'allait, elle aurait grandement eut besoin de ses deux folles auprès d'elle. Combien de fois avait-elle pensée à les rejoindres... mais il y avait toujours se foutu héritier!