[Rp vente] Revenir pour mieux partir

[Jd Jenifael, pas de souci j'avais bien saisi l'impétuosité de votre pantine;) ]

Heureusement, Dame Elizabelle vint apaiser l'échange un peu vif qu'elle venait d'avoir avec la jeune Jenifael qu'elle ne pouvait complètement blâmer car l'impétuosité de la jeunesse était un passage obligé. Et puis, faut bien me dire, le courrier reçu avait fait accourir la plupart des clientes des DO: c'est qu'une tenue d'Elizabelle était un trésor à admirer tout comme les tenues d'Imagine ou encore de la diva divinissime Clarihna, partie vers d'autres cieux.
L'Atelier perdait une de ses grandes artistes et Hersent était triste.
Elle sourit lorsque la jeune soeur d'Elizabelle proposa de noter choix des tenues, coiffures avec les mensurations des clientes. Quant à sa remarque sur le côté chiffonnières des Dames couronnées, elle ne put s'empêcher de glousser en regardant son amie Wendy:

Dis-moi Wendy... je crois que la jeune Jenifael Luna n'est pas très loin de la vérité en parlant de chiffonnières. Nous sommes limites à nous crêper le chignon pour emporter une tenue "collector" d'une de nos couturières préférées. Tu sais ce que nous diraient nos chers compagnons s'ils nous voyaient ici??? Je connais un blond barbu qui serait rigolard au possible, soulagé de ne pas encore être devant Aristote et les hommes, mon seigneur et maître: ainsi je ne suis pas en train de dilapider ses écus.

Elle quitta pour quelques instants Wendy et s'approcha de la jeune fille impulsive:

Damoiselle, j'ai noté sur un papier les noms des robes, les coiffures désirées ainsi que les mensurations. Elle montra un billet où tout cela était noté. Elle lui sourit et lui glissa à l'oreille: je comprends que Elizabelle soit votre perle à vous, elle est si douce, si agréable, elle est une grande soeur admirable et vous êtes chanceuse. Aussi, prenez bien soin d'elle et de son bonheur, elle est un ange qui ne mérite que la beauté du monde.

Elle retourna auprès de Wendy et papota avec elle de choses en d'autres en attendant la fin de la vente. Elle saluait d'un signe de tête et d'une révérence les personnes qu'elle connaissait pour les avoir souvent croisées dans les salons de l'Atelier ou encore lors de joutes.

Niceaux avait reçut la missive de Dame Elizabelle . Elle avait longtemps hésité avant de répondre à l'invitation , elle était quand même venue voir toutes les jolies robes.
Elle ne fut pas déçut, elles étaient toutes magnifiques.

Le bonjour Dame Elizabelle , je suis Niceaux une mini de l'atelier, je suis époustouflée par votre talent.

Elle lui sourit .

Le bonjour Dame hersent, je suis ravie de pouvoir enfin vous rencontrer mon époux Ptifou m'a si souvent parlé de vous .
Le bonjour mesdames, messires.

Elle sourit à tout le monde.

Son regard s’arrêta soudain sur une robe caché derrière d'autre toutes aussi belle .

Puis-je savoir si vos doigts d'or pourraient créer cette robe " raiponce" pour moi ? Ou est-ce impossible ?

Allez, hop ! Petit voyage jusqu'en Bourgogne, c'est pas si loin, et puis... Et puis... Et puis c'est maintenant ou jamais. Le courrier était très clair, et c'était déjà adorable de l'avoir envoyé à tous les clients réguliers. En tant que VIP, Tempérance se faisait un devoir d'honorer une dernière fois le talent d'une créatrice, et par cette vente de tout ce qui lui restait en stock, contribuer à son pécule.

C'était en tout cas ainsi qu'à tort ou à raison, elle avait compris la chose.

Jouant des coudes dans la foule, pas impressionnée pour un sou mais soucieuse d'arriver à temps, elle alla jusqu'à la couturière cernée de monde et se présenta :

Bonjour, j'a suis Tempérance d'Amilly, Vicomtesse de L'Aragne, Baronne de Montauban en Dauphiné, et Dame de Saint-Amé. J'a encore jamais eu de vos créations et c'est maint'nant ou jamais, n'est-ce point ?

Et comme elle regardait ce qui l'entourait, elle désigna deux modèles :

J'a voudrais lui... Et lui... Si c'est point jà pris ?

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Ainsi le bébé était un petit garçon. C'était Breval qui serait content, un futur chevalier de plus !

Je suis contente que ton fils aille bien. Quand à ton mari, tu vas pouvoir le remplumer. Je lui offre ma part au repas de fiançailles pour aider si tu le souhaite. Je note donc pour toi ces deux robes là. Et surtout, il ne faudra pas hésiter à venir me voir. L'Empire, ce n'est pas si loin après tout.

A peine le temps d'un baiser pour se saluer que les clients suivants s'avancent. Apercevant la Duchesse Alienor, elle laissa le soin à sa soeur de noter sa commande, décidant de la saluer ensuite. C'est qu'un couple s'avançait, elle reconnaissait la Baronne a qui elle avait fait une robe de chasse. Elle inclina la tête pour les saluer alors que Madame la complimentait, Monsieur se contentant d'un bonjour pour ne point gâcher la tirade de son épouse.

Je vous remercie pour vos compliments. Votre éloquence me touche. Mon arrière-grand-mère Jehanne travailla ici et s'en alla avec le Très-Haut, Clarhina, son apprentie et mon professeur, s'en alla vivre sa vie. Il semble donc logique que je parte à mon tour, comme il est de tradition. Nul doute alors que je prendrai apprentie qui viendra à ma suite vous régaler de son talent naissant. Je suis heureuse en ce jour de pouvoir offrir aux gens qui ont su me soutenir et apprécier mon travail, une dernière chance de pouvoir compléter leur collection. Je note donc pour vous ces deux modèles.

Quand à votre mari, je lui propose de regarder la seule tenue homme que j'ai jamais créé, préférant les jupons aux braies je dois bien l'avouer.

S'avança ensuite Hellina. L'Ange se rappelait de cette femme, souvent en visite au domaine maternel, du vivant d'Angèle. Elle lui adressa un sourire de bienvenue à la jeune femme qui portait sa grossesse fort avancée. Tendant la main, elle serra la sienne brièvement, en signe de reconnaissance et d'affection.

Soyez la bienvenue Hellina, je suis heureuse de vous voir. Ce fut un plaisir pour moi de vous voir porter mes tenues, et accepter d'être mon mannequin pour le dernier défilé. Je regrette de n'avoir pas eu l'occasion de coudre à nouveau pour vous, mais voilà qu'avec cette vente, je vais pouvoir le faire.

J'ignore si Mère aurait été fière de moi puisqu'aux derniers moments de sa vie, elle a décidé de me renier. Bien qu'elle demeure ma mère en mon coeur, je ne sais ce qu'elle aurait pensé de moi maintenant. Aurait-elle approuvé mon mariage ? Aurait-elle approuvé ma carrière de couturière ? Tant de questions sans réponses. Quand au mariage de Jenifael... Rien n'est encore fait, et bien que notre cousin se plait à croire qu'il peut tout décider, j'estime tout de même avoir mon mot à dire sur la question.

Autrement dit, Charlemagne, tu peux aller te brosser, ma Jeni, elle se mariera qu'avec un homme que j'aurai approuvé.

Je vous laisse choisir des tenues à votre convenance. Je les ajusterai selon vos mensurations d'avant votre grossesse et s'il faut faire des retouches une fois l'enfant né, n'hesitez pas à me le dire.

Valendra semblait heureuse de ma réponse, et c'était tout ce qui comptait. Une robe pour une fillette, Elizabelle le nota sur sa liste.

Entendu pour Dame Valendra.

D'autres clientes encore. Une inconditionnelle d'abord. Dame Constance faisait partie de celles qui possédaient le plus de ses créations. Et la jeune couturière était touchée de tant de fidélité.

Je vous remercie pour vos compliments et pour vos voeux de bonheur. J'espère en effet mener une vie plus épanouie qu'elle ne le fut jusqu'à présent, en dehors de la couture j’entends. Je serai très heureuse de vous compter parmi mes invités lors de mon mariage. Revoir tout ces visages me touchera. Je note donc volontiers ses deux tenues pour vous.

Se présenta alors Niceaux, jeune peintre de l'atelier arrivée depuis peu dont Elizabelle avait entendu parlé sans jamais l'avoir rencontré.

Je suis heureuse de faire votre connaissance Niceaux, même si c'est pour se dire au revoir. J'ai cru comprendre que vous aviez du talent et que vous progressiez chaque jour. Je vous demanderai sans doute avant mon départ de me réaliser une toile, ainsi j'aurai un souvenir de vous aussi. J'adapterai volontiers à vos mensurations la robe Raiponce. J'espère qu'elle vous plaira.

La dernière cliente lui était inconnue. Mais cette vente était l'occasion ou jamais de rencontrer de nouvelles personnes. Elizabelle adressa un sourire à la jeune femme.

Enchantée de faire votre connaissance Baronne. Je suis touchée que vous ayez fais le déplacement pour une couturière que vous ne connaissiez pas. Je crains malheureusement que la robe Renaissance n'est déjà été choisie. Par contre la robe Brise est pour vous dès à présent. Peut-être pourriez-vous jeter votre dévolu sur une autre tenue ?

La foule s'éclairait un peu, lui permettant de souffler. Laissant Jenifael finir de noter les commandes de chacun, Elizabelle vit arriver le serviteur avec les deux tenues prêtes pour Enguerrand. Le pauvre, elle l'avait un peu négligé, au milieu de toutes ses femmes. La frêle jeune fille s'avança donc vers lui accompagnée des précieuses robes. Lui adressant un sourire un peu hésitant, car ne sachant trop ce qu'il penserait de son travail car il n'avait pas choisi lui-même les couleurs, elle commença.

Messire de la Mirandole. Veuillez m'excuser. Je ne vous ai point accueilli comme il fallait, j'en suis navrée. Voici donc l'objet de vos désirs pour vos filles. J'espère qu'elles auront l'heure de vous plaire. Sans quoi, n'hésitez point à me le dire surtout. Voici donc Chasseresse et Fleur de Lotus.

Elle dévoilà donc les deux premières tenues ajustée sur mesure. Viendrait ensuite le moment des essayages pour toutes ses dames et Messire aussi, afin d'ajuster chaque tenue à la taille de chacune et chacun.

Les mannequins de bois arrivaient avec les tenues achetées par les clientes des DO et Hersent regardait ces merveilles remplir la salle.
Elle vit une jeune femme venir vers elle et la saluer: Niceaux... mais oui c'est bien sûr! Elle avait entendu prononcer ce nom plusieurs fois aux DO et il avait titillé sa mémoire. Niceaux!!! L'épouse de son cher cher GES Ptifou... c'était il y a un siècle, une autre vie mais elle gardait au fond de son coeur l'image de cet homme si adorable:

Dame Niceaux, c'est donc vous!!! Que je suis ravie de faire enfin votre connaissance et surtout mettre un visage sur votre nom. Le général Ptifou m'a tellement parlé de vous au temps béni de l'Ost des Loups. Comment va-t-il??? Il me manque vous savez mais je sais qu'il est enfin heureux auprès de vous, après de si longues années de séparation. Elle serra les mains de la jeune artiste entre les siennes, tout sourire: il est chanceux notre Ptifou d'avoir une épouse comme vous. Vous lui ferez part de toutes mes amitiés, n'est-ce pas?? Quant à nous, nous aurons certainement le loisir de nous croiser dans les couloirs ou salons de l'Atelier. J'ai ouï dire que vous étiez une artiste très prometteuse. Continuez sur cette belle voie et prenez plaisir à peindre et dessiner.

Un silence puis elle reprit: je ne sais pas si le Général a toujours le plan pour venir jusqu'à Maizières. S'il l'a encore, sachez que je serai enchantée de vous y recevoir en famille. S'il l'a perdu, qu'il me le fasse savoir afin que je lui en envoie un autre. Tout bas, en un doux murmure: je suis si heureuse d'avoir fait votre connaissance, si vous saviez! Il sera encore plus amoureux quand il vous verra vêtue de la belle robe que vous avez réservée auprès de Dame Elizabelle.

Le Vicomte etait arrivé le matin meme afin de commander quelques tenues pour lui meme et sa fiancée. Quand une nouvelle lui parvint aux oreilles. L'une des couturières a qui il avait parfois commandé des merveilles, partait de l'atelier. Et ses dernières tenues seraient vendues aux enchères. l'occasion de faire de bonnes affaires n'etant jamais loin, il se dirigea vers la salle adequate.

Beaucoup de monde dejà, et quasiment plus de robe , mais heureusement deux modèles encore la. Une pour Marie et une pour une autre personne qu'il aimait beaucoup. Il ne savait trop a qui s'adresser pour poser ses demandes. Il se racla un peu la gorge essayant de se faire remarquer mais pas trop non plus

Bonjour .. Mesdames , oui quasiment toutes les personnes presentes etaient des demoiselles, Savez vous ou nous pouvons poser nos demandes? Et un regard qui disait.. Aidez moi je suis perdu dans les froufrous

Un autre client arrivait, mais trop tard, la couturière avait disparu derrière le rideau avec la première des privilégiées. Jenifael saurait bien s'en occuper, sinon quelqu'un d'autre s'en chargerait. Les hommes au milieu des froufrous sont tellement rares, qu'il faut les chouchouter. Faisant monter Dame Hersent sur un petit tabouret, Elizabelle commença par l'aider à retirer sa robe.


Surtout, si je vous pique, n’hésitez pas à me le dire. 

Il faut dire qu'en dehors des défilés où elle connaissait ses mannequins personnellement, elle n'avait jamais fais d'ajustement directement sur une cliente. D'une main habile, elle aida la jeune noble à passer tour à tour les deux robes, piquant de ci, resserrant de là, afin que les deux tenues aillent parfaitement. Finalement satisfaite, la couturière demanda son avis à la cliente.


Est-ce que cela vous plait ?


Moins de quinze minutes pour l'ajustement de deux robes, Elizabelle, mieux qu'une Singer ! 

Elle était rieuse car elle venait d'apprendre que son GES se portait à merveille et goûtait aux joies de la vie civile.

Juchée sur le tabouret, Hersent, aidée d'Elizabelle, ôta ses vêtements pour enfiler la première robe. L'artiste avait des doigts de fée: pas une aiguille à chatouiller sa peau délicate.
Les essayages et ajustages se passèrent sans encombre et Hersent fut ravie du résultat:

Elizabelle, le résultat me plait hautement. Merci beaucoup! Je vais faire rire mon barbu blond en rapportant ces deux belles tenues. Il se fera un plaisir de m'aider à les mettre.

Elle glissa à l'oreille de l'artiste en partance: maintenant je me dirige vers Dame Elisabeth, n'est-ce pas?

Spoiler:

La cliente était satisfaite, la couturière était donc heureuse, effet papillon en somme. Adressant un sourire ravie à la jeune femme, Elizabelle laissa échapper un petit rire après la remarque sur le mari barbu.

Je suis heureuse que le résultat vous convienne. Cela a été un plaisir de vous voir et de pouvoir vous faire profiter de mes talents une dernière fois. Voilà le billet à remettre à Dame Elisabeth avec la somme. Je vous invite ensuite à profiter du buffet à loisir. Et je vous remercie encore pour les présents que vous m'avez offert, ils m'ont fait très plaisir.

Elizabelle remit un billet où sa fine écriture avait tracé la somme de 2000 écus pour les deux robes. Elle emballa avec soin les deux tenues avant de les remettre à un serviteur. Elle ouvrit le rideau pour permettre à Hersent de sortir.

Un serviteur va porter votre achat à votre attelage, ainsi vous n'aurez pas à être encombrée et les tenues ne risqueront pas d'être abîmée.

Un coup d'oeil lancé vers le Duc pour vérifier qu'il ne s'ennuyait pas trop à attendre qu'elle ait terminé, puis, se penchant rapidement sur sa liste, elle appela la cliente suivante.

Dame Wendy, si vous voulez bien vous donner la peine de venir, je vais ajuster vos robes.

S'effaçant pour permettre à la jeune noble d'entrer à son tour, Elizabelle commença à préparer les deux tenues choisies.

[Je vais essayé, mais vu que le fichier d'origine de cette robe a disparu, je ne pourrai pas trop l'agrandir sous peine que cela devienne flou. Je vais faire au mieux. Mais par contre ce sera pour la semaine prochaine, car je n'aurai pas le temps ce soir. ]

Son amie Hersent réapparait, essayages positifs à voir son sourire. Puis Dame Elizabelle l'appelle à son tour. Sans se faire prier compte tenu des personnes qui patientent derrière elle, elle s'empresse de rejoindre la jeune couturière qui l'invite à passer derrière un rideau qui fait office de paravent.

Elle se libère de la tenue qu'elle porte, monte sur le tabouret ; c'est qu'une robe de Dame Elizabelle ça se mérite !!

Je n'ai pas fait l'école du cirque mais c'est physique les essayages aux D.O

Elle lance un petit clin d'oeil à la jeune femme qui lui fait face et l'aide à passer la première robe

Les arrivées et commandes s'étaient succédées gentillement car il ne fallait pas le croire, ce n'était pas des chiffonières présentes ce jour mais bien des dames bien élevée, peu importait leur rang, certe cela donnait un semblant de bazar mais elles passaient chacune les unes après les autres comme de bons petits soldats, si on oubliait les deux trois cris poussés de temps à autres.
La réponse d'Elizabelle la fit sourire au final, quoi? Elle avait de la chance? C'était bien rare alors autant en profiter quand cela se produisait!
Je n'en doute pas une seconde, en ce qui concerne princesse de jade, j'en prendrais encore plus soin cen ce cas, recevez mes futures salutations pour votre mariage, lui répondit elle à la suite, peu de chance qu'elle aille au dit mariage, ne connaissant pratiquement pas la personne et puis, pas qu'elle en avait bouffé tout le printemps mais presque alors sui elle pouvait se soustraire à une... La Valten laissa ensuite la place aux suivantes, toutes aussi avides de belles robes et il y avait de quoi.
Une voix bien connue tout à coup, il était amusant de constater que malgré le temps, la duchesse de l'Aigle et de Bellesme restait celle qui l'avait introduite à l'héraldique puis l'hérauderie. Un sourire quand leur regard se croisèrent, à croire qu'en sus, il n'y avait que des gens qu'elle connaissait au moins de nom, enfin pour la majorité ce qui la rendait largement moins dépaysée. Sa réflexion s'arrêta là lorsque sa filleule entra à la suite, ça pour une surprise! D'un autre côté, autant elle ne s'attendait pas à voir des personnes véritablement connues autant la probabilité que cela soit le cas, n'était pas anodine.
Hochement du chef tout d'abord, en effet, j'ai reçu la missive, tu vas bien? A mon avis il faudra te presser pour avoir une robe à ton goût. Même si que deux par personne, ça partait vite, autant que la jeune Orsenac quand elle eut repéré sa cible.
Elizabelle présenta les deux première tenue adaptée, il semblait qu'elles étaient pour le Mirandole, cela la fit sourire de le voir sur les lieux.
Un échange respectueux des bribes qu'elle avait entendu puis Elizabelle les invita au buffet préparé pour l'occasion, nul doute que là encore, les dames seraient attirées telles des abeilles avec du miel, aussi avisant Elisabeth que la couturière avait littéralement vendue, mouahaha, Lin choisit de la rejoindre.
On a peur que le mur ne s'affaisse? Le tout, bien évidemment accompagné d'un sourire.
Comment va?

[merci Jd Elizabelle, faites au mieux]

Hersent se dirigea vers Dame Elisabeth, après avoir récupéré sa besace ouvragée où elle rangeait ses écus. Elle salua Dame Stilton:

Le bonjour Dame Elisabeth, j'ai cru comprendre que c'était à vous que nous devions remettre le billet où est inscrit le montant de l'achat et bien entendu les écus correspondants. Elle rit: vous êtes plus aimable que Sévère. Et de remettre deux jolies escarcelles solidement cousues contenant chacune 1000 écus. Une folie, littéralement une folie mais après tant de morosité, au diable l'avarice: elle vendrait plus de remèdes et serait plus chiche sur sa consommation de macarons.

Voici ces deux escarcelles avec la somme demandée, 2000 écus.

Elle s'assura que les écus étaient entre de bonnes mains avant de s'approcher du buffet où de très appétissantes gourmandises attendaient d'être dégustées.

Elizabelle esquissa un sourire à la remarque de la cliente. Il est vrai qu'il n'était guère commun de percher la précieuse clientèle sur de dangereux tabourets... Imaginez qu'ils tombent et dépensent leur or en soins et non en robes. Elisabeth en ferait une attaque. Piquant les aiguilles, ajustant la première robe, elle répondit.

C'est qu'aujourd'hui est un jour particulier. Alors il faut des mesures particulières.

La deuxième robe suivit la première afin de s'ajuster au mieux aux mesures de la cliente. Et oui, même si les tenues avaient été préparées à l'avance, la perfection était de mise pour sa grande dernière.

Et voilà, j'espère que cela vous conviendra.



Et d'attendre le verdict, une fois encore.